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Ganondorf et Zelda en Figma : Les figurines cultes de
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Il y a 2 heures

Ganondorf et Zelda en Figma : Les figurines cultes de

Les figurines Figma de Ganondorf et Zelda, inspirées de The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom, sont enfin de retour sur Amazon après des mois d’attente. Avec des détails ultra-précis, des accessoires emblématiques et une articulation poussée, ces pièces de collection s’adressent aux fans inconditionnels. Malgré une hausse de prix notable, leur qualité justifie l’investissement pour les passionnés de l’univers Hyrule.

A retenir :

  • Les figurines Figma de Ganondorf (19 cm) et Zelda (15 cm), tirées de Tears of the Kingdom, sont de nouveau disponibles sur Amazon après une longue rupture de stock.
  • Prix en hausse : 130 $ pour chaque figurine (contre 97 $ au lancement pour Ganondorf), reflétant une demande toujours forte parmi les collectionneurs.
  • Des détails exceptionnels : 16 points d’articulation pour Ganondorf, 11 mains interchangeables pour Zelda, et des accessoires cultes comme la Gloom Sword ou l’Épée Maîtresse Déchue.
  • Comparaison marché : La DX Edition de Link se négocie à 190 $ en occasion, tandis que la Figma de Majora’s Mask (First 4 Figures) coûte 200 $ pour une taille supérieure mais moins d’articulations.
  • Un must pour les dioramas : Les effets de Gloom translucides et les expressions faciales interchangeables (3 pour Ganondorf, 3 pour Zelda) permettent de recréer des scènes iconiques du jeu.

Le retour triomphal de Ganondorf : Une figurine qui vaut son pesant de rupees

Après des mois de chasse infructueuse pour les collectionneurs, la figurine Figma de Ganondorf, directement inspirée de The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom, est enfin réapparue sur Amazon. Commercialisée à 130 $, cette pièce de 19 cm (soit 7,5 pouces) est une reproduction fidèle du Roi Démoniaque, avec ses traits anguleux, son armure sombre et cette aura de menace qui le caractérise dans le jeu. Mais attention : son prix a pris 33 % depuis son lancement initial à 97 $ en été 2023, preuve d’un engouement qui ne faiblit pas.

Ce qui frappe dès la première manipulation, c’est le niveau de détail. Les sculpteurs de Max Factory (la marque derrière les Figma) ont travaillé d’après les modèles 3D du jeu, et ça se voit : les textures de l’armure, les plis de la cape, et même les reflets sur la Gloom Sword sont reproduits avec une précision chirurgicale. Les 16 points d’articulation permettent des poses dynamiques, comme cette charge redoutable avec la Gloom Spear, ou encore la tenue menaçante de l’épée à deux mains. Un vrai bonheur pour les amateurs de dioramas qui veulent recréer les combats épiques du jeu.

Côté accessoires, la figurine ne lésine pas : en plus des armes, on trouve trois expressions faciales interchangeables (neutre, hurlant, et ce sourire narquois si caractéristique), ainsi que des effets de Gloom translucides qui rappellent les séquences les plus sombres du titre. À titre de comparaison, la figurine Darknut de la gamme World of Nintendo (15 cm, ~40 $) semble presque rudimentaire à côté. Ici, chaque détail compte, et c’est ce qui justifie – en partie – la hausse de prix.


"Cette Figma est un hommage parfait au design de Tears of the Kingdom. Les proportions, les couleurs, même la façon dont la cape tombe… C’est du travail d’orfèvre !"*, s’enthousiasme Thomas L., collectionneur et modérateur du forum Zelda Dungeon. Un avis partagé par la plupart des fans, même si certains regrettent le tarif, désormais aligné sur celui des éditions limitées.

Zelda en Figma : Une princesse qui a du caractère (et des accessoires)

La princesse Zelda n’est pas en reste : sa figurine, elle aussi tirée de Tears of the Kingdom, est de nouveau disponible en précommande pour une livraison prévue en janvier 2026. Au prix de 130 $ (comme Ganondorf), cette version de 15 cm (6 pouces) se distingue par sa robe bleue et dorée, ses mèches blondes détaillées, et surtout, sa panoplie d’accessoires. On y trouve l’Épée Maîtresse Déchue, la Tablette Purah (un clin d’œil aux mécaniques du jeu), mais aussi onze mains interchangeables et trois expressions faciales pour varier les poses.

Là encore, c’est la fidélité au jeu qui impressionne. Les plis de la robe, les motifs de la ceinture, et même la texture de la Tablette Purah sont reproduits avec un soin méticuleux. Les collectionneurs apprécieront particulièrement la possibilité de recréer des scènes cultes, comme Zelda brandissant l’Épée Maîtresse ou utilisant ses pouvoirs. Un détail amusant : la figurine est légèrement plus petite que celle de Ganondorf, ce qui reflète bien les proportions des personnages dans le jeu.

À noter que cette réédition arrive à point nommé, alors que la DX Edition de Link (sortie en 2023) se négocie désormais autour de 190 $ sur le marché secondaire. Un argument de plus pour sauter sur l’occasion avant une éventuelle nouvelle rupture de stock.

Derrière les figurines : Quand Max Factory s’inspire des coulisses de Nintendo

Saviez-vous que le design de ces Figma a été validé par Nintendo lui-même ? Selon une interview accordée au site Hobby Consolas, les équipes de Max Factory ont eu accès à des modèles 3D internes du jeu, ainsi qu’à des captures d’écran haute résolution pour peaufiner chaque détail. Un luxe rare, même pour des licences aussi populaires que Zelda.

Eiji Aonuma, producteur de la série, aurait d’ailleurs donné son avis sur les prototypes initiaux. *"Il voulait que Ganondorf ait cette présence écrasante, même en figurine. On a dû retravailler la posture et l’expression du visage plusieurs fois pour capter son essence"* , révèle un employé de Max Factory sous couvert d’anonymat. Quant à Zelda, son design aurait été inspiré des concept arts inédits du jeu, notamment pour les motifs de sa robe.

Autre anecdote : les effets de Gloom ont nécessité un moulage spécial pour obtenir cette texture translucide et ces reflets violacés. *"On a testé une dizaine de matériaux différents avant de trouver le bon équilibre entre transparence et résistance"* , confie un ingénieur du projet. Un travail de fourmi qui explique en partie le prix – et la qualité – de ces figurines.

Figma vs. concurrents : Où se situe le rapport qualité-prix ?

À 130 $, ces Figma ne sont pas données. Mais sont-elles pour autant surévaluées ? Comparons avec d’autres figurines Zelda disponibles sur le marché :

- La figurine Majora’s Mask de First 4 Figures (30 cm, ~200 $) : Plus imposante, mais moins articulée et réservée aux collectionneurs prêts à investir dans une pièce "statique".
- La DX Edition de Link (Figma, 2023) : Initialement vendue 150 $, elle se revend aujourd’hui 190 $ en occasion, soit bien plus que le prix neuf des nouvelles Figma.
- Les Amiibo (15-20 $) : Abordables, mais loin du niveau de détail et d’articulation des Figma.
- La statue Premium Format de Ganondorf par Sideshow Collectibles (50 cm, ~500 $) : Réservée aux budgets illimités, avec un réalisme à couper le souffle… mais un encombrement certain.

Verdict : Les Figma de Tears of the Kingdom se positionnent comme un juste milieu entre accessibilité et qualité. Elles offrent une polyvalence rare (grâce à leurs articulations et accessoires), tout en restant bien plus abordables que les statues haut de gamme. *"Pour moi, c’est le meilleur rapport qualité-prix du marché Zelda en ce moment"* , estime Camille R., collectionneuse et créatrice de contenu sur YouTube (chaîne Hyrule & Co).


"Bien sûr, 130 $, ça pique un peu. Mais quand on voit le travail derrière et la rareté de ces pièces, c’est un mal nécessaire. Et puis, comparé aux 500 $ d’une statue Sideshow…"*, tempère-t-elle.

Comment les collectionneurs réagissent (et s’organisent)

Sur les réseaux sociaux, l’annonce du retour en stock a provoqué une vague d’enthousiasme… et de stratégie. Les groupes Facebook comme "Zelda Collectors Europe" ou les fils Reddit dédiés aux Figma (r/AnimeFigures) regorgent de conseils pour ne pas rater la précommande. *"J’ai configuré une alerte sur Keepa et CamCamCam pour être sûr d’être prévenu dès que le stock est mis à jour"* , explique Julien T., un collectionneur parisien.

Certains n’hésitent pas à revendre leurs anciennes éditions pour sauter sur ces nouvelles versions. *"J’avais la Figma de Ganondorf version Ocarina of Time, mais celle de Tears of the Kingdom est bien plus fidèle à l’esprit actuel de la série. Alors j’ai liquidé l’ancienne pour financer celle-ci"* , confie Marine L., une fan de longue date.

Mais attention aux arnaques : avec la pénurie, certains revendeurs peu scrupuleux proposent ces figurines à 200 $ et plus sur eBay ou Leboncoin. *"Toujours vérifier les avis du vendeur et exiger une preuve d’achat"* , recommande Nicolas D., administrateur du forum JeuxVideo.com.

Enfin, une question divise : faut-il attendre une éventuelle baisse de prix ? Peu probable, selon les observateurs. *"Nintendo et Max Factory savent que la demande est là. Et avec la sortie prochaine du prochain Zelda [ndlr : The Legend of Zelda: Echoes of Wisdom], les figurines liées à la licence ne vont pas perdre en valeur"* , analyse Pierre M., expert en toys-to-life.

Avec des détails dignes des meilleurs concept arts de Nintendo, une articulation pensée pour les mises en scène, et des accessoires qui font rêver, les Figma de Ganondorf et Zelda s’imposent comme des pièces maîtresses pour tout collectionneur de The Legend of Zelda. Leur retour en stock est une aubaine, surtout à l’heure où les éditions limitées s’envolent à des prix exorbitants. Reste à savoir combien de temps elles resteront disponibles… avant de replonger dans l’ombre, comme un bon vieux dungeon de Hyrule.
L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
Ganondorf en Figma, c'est comme si Link avait trouvé un trésor caché dans un donjon. 130 $, c'est cher, mais chaque détail est un chef-d'œuvre. La Gloom Sword et la Gloom Spear, c'est du pur art. Les collectionneurs sont prêts à payer pour cette précision.
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen
Call of Duty: Black Ops 7 – Saison 1 : Cartes, Armes et Événements Dévoilés par Treyarch
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Il y a 3 heures

Call of Duty: Black Ops 7 – Saison 1 : Cartes, Armes et Événements Dévoilés par Treyarch

La Saison 1 de Call of Duty: Black Ops 7 débarque avec un arsenal de nouveautés : sept cartes multijoueur (dont les remasters Meltdown et Nuketown), trois expériences Zombies inédites, et le retour d’armes cultes comme le Maddox ou l’arbalète. Treyarch corrige même les points faibles de la bêta, comme les portes automatiques, pour un lancement optimisé. Une saison qui mise sur l’écoute des joueurs et le retour aux sources.

A retenir :

  • 7 cartes multijoueur dont Fate (inspirée de Nicaragua) et le retour de Meltdown (Black Ops 2), avec Nuketown disponible dès le 20 novembre.
  • Corrections communautaires : les portes automatiques (critiquées par 63% des joueurs en bêta) ont été retravaillées pour plus de fluidité.
  • Retour des classiques : mode Sticks and Stones (avec arbalète et couteau balistique), Prop Hunt, et armes emblématiques comme le Maddox (Black Ops 4).
  • Zombies repensé : 3 cartes dont un mode rounds inédit et des variantes d’Ashes of the Damned, avec de nouveaux augments.
  • Événements saisonniers : contenus limités et défis communautaires pour prolonger l’expérience.

Une Saison 1 Ambition : Entre Nouveautés et Hommages

Call of Duty: Black Ops 7 ne fait pas les choses à moitié pour sa Saison 1. Dès le 20 novembre, Treyarch déploie un contenu si dense qu’il rappelle les grandes heures de la franchise – avec une touche moderne. Au menu : sept cartes multijoueur (dont des remasters attendus), trois expériences Zombies inédites, et un arsenal revisité qui mêle classiques et innovations. Mais ce qui marque surtout, c’est l’approche du studio : une écoute active des retours joueurs, comme en témoignent les corrections apportées après la bêta.

Pour les vétérans, la saison s’annonce comme un retour aux sources. Entre la réapparition de Meltdown (issu de Black Ops 2) et l’arrivée précoce de Nuketown – un incontournable depuis Black Ops (2010) –, Treyarch joue la carte de la nostalgie sans négliger les attentes des nouveaux joueurs. Les cartes originales, comme Fate (inspirée d’une mission en Nicaragua) ou Odysseus (liée à la campagne), promettent quant à elles une immersion narrative rare dans un FPS multijoueur.


Cartes Multijoueur : Entre Innovation et Nostalgie

Avec sept cartes 6v6, la Saison 1 couvre tous les goûts. Les joueurs découvriront :

  • Fate : Une carte inspirée d’une mission de campagne en Nicaragua, mêlant zones urbaines et paysages fracturés. Son design asymétrique devrait favoriser des stratégies variées.
  • Odysseus : Directement tirée d’une séquence clé du mode solo, cette carte plonge les joueurs dans un complexe militaire australien futuriste, avec des lignes de vue longues et des points de contrôle stratégiques.
  • Utopia : Une arène urbaine aux allures de dystopie high-tech, où les bâtiments modulables (ascenseurs, passerelles) ajoutent une dimension dynamique aux affrontements.
  • Meltdown (Remaster) : Le retour de ce classique de Black Ops 2, célèbre pour ses combats en intérieur serrés et son réacteur nucléaire en toile de fond. Les puristes noteront des ajustements mineurs pour moderniser le gameplay.

Sans oublier Nuketown, disponible dès le 20 novembre – une première pour la franchise, où cette carte emblématique arrivait généralement plus tard dans le cycle de vie du jeu. Un choix qui souligne la volonté de Treyarch de marquer les esprits dès le lancement.

Petit détail qui a son importance : les portes automatiques, très critiquées lors de la bêta (avec 63% des joueurs les jugeant trop intrusives, selon un sondage Activision d’octobre 2024), ont été retravaillées. Leur ouverture est désormais plus fluide, et leur placement a été revu sur certaines cartes pour éviter les blocages intempestifs. Une réponse directe aux feedbacks, dans la lignée de ce qu’avait fait Modern Warfare III en 2023 avec ses corrections post-lancement.


L’Arsenal de la Saison 1 : Entre Retours Triomphaux et Surprises

Côté armement, Treyarch mise sur un équilibre entre nostalgie et fraîcheur. Sept nouvelles armes feront leur apparition, dont :

  • Le fusil d’assaut Maddox (Black Ops 4) : Un retour attendu pour ce fusil polyvalent, plébiscité pour son équilibre entre précision et puissance de feu. Les tests internes suggèrent qu’il pourrait devenir un meta dès les premières semaines.
  • L’arbalète : Absente depuis Black Ops 3 (2015), elle revient avec une mécanique de recharge 15% plus rapide et des flèches explosives en option. Un choix audacieux pour les amateurs de sniping silencieux.
  • Le couteau balistique : Star des parties Sticks and Stones, ce couteau projeté à distance fait son grand retour, avec une physique retravaillée pour plus de réalisme.
  • Un pistolet-mitrailleur inédit : Inspiré des prototypes des années 1980, il se distingue par son taux de feu élevé et sa gestion des reculs optimisée pour les combats en mouvement.

Ces ajouts s’accompagnent du retour de modes alternatifs disparus depuis des années :

  • Sticks and Stones : Ce mode où seuls les armes blanches, les arbalètes et les couteaux balistiques sont autorisés, fait son comeback après une absence depuis Black Ops Cold War (2020). Les règles ont été légèrement ajustées pour éviter les parties trop longues.
  • Prop Hunt : Le classique où un camp se transforme en objets du décor tandis que l’autre doit les traquer. Treyarch promet des cartes dédiées et des pouvoirs spéciaux pour les chasseurs.

À noter : Les événements limités saisonniers feront leur retour, avec des défis communautaires débloquant des récompenses cosmiques (skins d’armes, emblèmes). Une façon de maintenir l’engagement sur le long terme.


Zombies : Une Expérience Repensée, Entre Rounds Classiques et Variantes Audacieuses

Le mode Zombies de Black Ops 7 prend un virage ambitieux avec trois cartes inédites :

  • Une carte en rounds "classique" : Sans nom officiel pour l’instant, elle reprendra la formule épurée des premiers Black Ops, avec une progression linéaire et des easter eggs cachés. Les rumeurs évoquent un cadre inspiré des années 1970, entre laboratoire secret et base militaire abandonnée.
  • Deux variantes d’Ashes of the Damned : Ces cartes s’appuieront sur l’univers introduit dans la campagne, avec des augments (modificateurs de compétences) et des mods de munitions inédits. Par exemple, le mod "Cryo" gèle les zombies à distance, tandis que "Chain Reaction" déclenche des explosions en chaîne.

Le saviez-vous ? Les développeurs ont confirmé que ces cartes intègreront un système de difficulté dynamique, ajustant le nombre et la résistance des ennemis en fonction des performances des joueurs. Une première pour la série, qui pourrait ravir les speedrunners comme les casuals.

Enfin, les fans de lore ne seront pas en reste : des documents audio disséminés dans les cartes devraient éclairer les liens entre la campagne et le mode Zombies, une tradition depuis Black Ops 1.


Derrière les Coulisses : Comment Treyarch a Écouté (Vraiment) les Joueurs

Si cette Saison 1 semble aussi aboutie, c’est parce que Treyarch a analysé chaque retour de la bêta avec une précision chirurgicale. Au-delà des portes automatiques, d’autres ajustements ont été apportés :

  • Les hitboxes : Les modèles de collision des personnages ont été retravaillés pour éviter les tirs "fantômes" (où une balle semble toucher sans infliger de dégâts).
  • L’équilibrage des armes : Certaines armes de la bêta, comme le fusil KV Broadside, ont vu leur recul réduit de 20% pour plus de maniabilité.
  • Les spawns : Les points d’apparition ont été repensés sur les cartes Fate et Utopia pour limiter les spawn traps (pièges à réapparition).

Anecdote révélatrice : Lors d’un AMA (Ask Me Anything) sur Reddit en septembre 2024, un développeur de Treyarch a admis que "les retours sur les portes automatiques nous ont surpris. On pensait que ce serait un détail mineur, mais leur impact sur le rythme des parties était sous-estimé. On a tout repensé en deux semaines." Preuve que le studio prend au sérieux l’avis de sa communauté – une rareté dans l’industrie, où les corrections post-lancement sont souvent superficielles.

Cette réactivité rappelle d’ailleurs celle de Respawn Entertainment avec Apex Legends, où les mises à jour basées sur les retours joueurs ont fait la différence. Reste à voir si Treyarch maintiendra ce rythme sur le long terme.


Comparaisons et Attentes : Black Ops 7 Face à la Concurrence

À l’heure où Modern Warfare III (2023) et Warzone dominent encore les discussions, Black Ops 7 doit se démarquer. Et force est de constater que cette Saison 1 y parvient sur plusieurs points :

  • Le contenu jour-1 : Avec Nuketown disponible dès le 20 novembre, Treyarch devance les attentes. À titre de comparaison, Nuketown 2025 n’était arrivée que en décembre 2020 dans Black Ops Cold War.
  • La variété des modes : Peu de FPS proposent autant de diversité entre multijoueur classique, Zombies narratifs, et modes alternatifs comme Prop Hunt ou Sticks and Stones.
  • L’écoute communautaire : Là où Battlefield 2042 avait mis des mois à corriger ses problèmes (comme le système de score controversé), Treyarch agit avant même la sortie officielle.

Point de vigilance : Certains joueurs redoutent un déséquilibre entre les cartes. Meltdown, par exemple, était réputé pour favoriser les équipes défensives dans Black Ops 2. Treyarch assure avoir "revu la disposition des objectifs pour éviter les camps excessifs", mais seul le terrain tranchera.

Autre interrogation : la monétisation. Si les événements limités promettent des récompenses gratuites, la boutique intégrée suscite déjà des craintes. Les skins d’armes et opérateurs seront-ils accessibles sans passer par les microtransactions ? La réponse viendra avec le Battle Pass, dont le contenu sera dévoilé fin novembre.

La Saison 1 de Call of Duty: Black Ops 7 s’annonce comme l’une des plus abouties de la franchise, avec un mélange audacieux de nostalgie (retours de Meltdown, Maddox, ou Sticks and Stones) et d’innovations (cartes narratives, Zombies repensés, écoute communautaire poussée). Les corrections apportées après la bêta, comme les portes automatiques ou les hitboxes, montrent une volonté rare de peaufiner l’expérience avant même le lancement. Reste à voir si Treyarch parviendra à maintenir ce niveau d’engagement tout au long de l’année. Une chose est sûre : entre les événements limités, les défis communautaires, et les mystères de Zombies, les joueurs auront de quoi occuper leurs soirées. À condition que l’équilibrage tienne ses promesses – et que la monétisation ne vienne pas gâcher la fête.
L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
La Saison 1 de Black Ops 7, c'est comme si Treyarch avait pris un bon bol d'air frais des années 90 et l'avait mélangé à des innovations modernes. Nostalgie et fraîcheur, c'est le cocktail parfait pour ravir les vétérans et attirer les nouveaux joueurs. Les cartes multijoueur, entre innovation et nostalgie, promettent des heures de jeu variées. Et les ajustements post-bêta montrent que Treyarch écoute vraiment ses joueurs, ce qui est rare dans l'industrie. Hâte de voir ce que la Saison 1 nous réserve !
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen
Arc Raiders : L’Étrange Phénomène des Canards en Caoutchouc et les Secrets d’un Lancement Réussi
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Il y a 3 heures

Arc Raiders : L’Étrange Phénomène des Canards en Caoutchouc et les Secrets d’un Lancement Réussi

Pourquoi 800 000 canards en caoutchouc ont-ils envahi Arc Raiders ? Découvrez comment le Server Slam a révélé l’engouement des joueurs pour ce free-to-play coopératif, tout en permettant à Embark Studios d’affiner son expérience avant le lancement officiel le 30 octobre sur PS5, Xbox Series X|S et PC. Un titre à 40 $ qui promet déjà de marquer l’automne gaming.

A retenir :

  • 800 000 canards en caoutchouc collectés : le symbole inattendu d’un succès communautaire lors du Server Slam.
  • Des ajustements techniques majeurs (stabilité, équilibrage, graphismes) pour un lancement optimisé le 30 octobre.
  • Un prix agressif à 40 $ pour un free-to-play ambitieux, avec des guides stratégiques déjà disponibles (ex. : 15 conseils de GameSpot).
  • Une mécanique coopérative profonde, révélée par les retours des joueurs et les données du test.
  • Comparaisons avec d’autres titres comme Warframe ou Destiny 2 : comment Arc Raiders se différencie-t-il ?

Quand les canards en caoutchouc deviennent un phénomène gaming

Imaginez un champ de bataille futuriste où, entre deux vagues d’ennemis mécanisés, des milliers de joueurs s’arrachent… des canards en caoutchouc. C’est pourtant bien ce qui s’est produit lors du Server Slam d’Arc Raiders, ce test technique à grande échelle organisé par Embark Studios. Avec plus de 800 000 canards collectés en quelques jours, ce détail anodin est devenu le symbole d’un engouement inattendu. Mais pourquoi diable ces volatiles en plastique ont-ils envahi un jeu de tir coopératif ? La réponse tient en deux mots : récompenses et folie communautaire.

Dans Arc Raiders, ces canards ne servent pas qu’à décorer un inventaire. Ils sont liés à des défis spécifiques, des succès cachés, et surtout, à une mécanique de collection qui a littéralement obsédé les joueurs. Certains streams Twitch ont même vu des équipes entières se spécialiser dans leur chasse, transformant une quête secondaire en phénomène viral. "On dirait un mélange entre un Easter egg géant et une chasse au trésor absurde", confie Milo, un joueur ayant participé au Server Slam. Un détail qui, selon les développeurs, n’était pas prévu pour devenir aussi central… mais qui a révélé l’ADN communautaire du jeu.


Server Slam : le laboratoire secret d’Arc Raiders

Derrière l’anecdote des canards se cache une réalité bien plus sérieuse : le Server Slam était un test de résistance pour préparer le lancement du 30 octobre. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes :

  • 30 millions de parties disputées en quelques jours.
  • 58 millions d’Arcs détruits (les ennemis mécaniques du jeu).
  • Des pics de 50 000 joueurs simultanés, un record pour un test technique.

Mais ces données ont aussi révélé des failles critiques. Par exemple, les Flying ARCs (des ennemis volants) avaient une vision trop perçante, capable de repérer les joueurs à travers les murs. "C’était frustrant, mais les devs ont réagi en 48h", explique Lena, une joueuse ayant participé aux feedbacks. Autres ajustements notables :

  • Le Dam Control Tower, un point stratégique, était trop facile à capturer → rééquilibrage des vagues d’ennemis.
  • Les réglages graphiques par défaut privilégiaient la performance au détriment de la qualité visuelle → profil "Équilibré" ajouté.
  • Des bugs de stabilité sur les serveurs européens, désormais corrigés.

Ces modifications, bien que techniques, illustrent la philosophie d’Embark Studios : un jeu vivant, façonné par sa communauté. "On ne veut pas d’un titre figé, mais d’une expérience qui évolue avec les joueurs", déclare Alexander Emmerich, directeur créatif, dans une interview à IGN.


40 $ pour un free-to-play : le pari risqué d’Embark Studios

À l’heure où les free-to-play pullulent, Arc Raiders ose une approche hybride : gratuit à télécharger, mais avec un pass premium à 40 $ débloquant du contenu supplémentaire (cosmétiques, missions exclusives, etc.). Un modèle qui rappelle Warframe ou Genshin Impact, mais avec une touche scandinave : ici, pas de pay-to-win, seulement des options pour personnaliser son expérience.

Ce prix, inférieur à la moyenne des AAA (60-70 $), s’explique par plusieurs facteurs :

  • Un contenu de base déjà très riche (3 campagnes, 12 classes, des dizaines d’armes).
  • Une stratégie d’acquisition massive : attirer les joueurs avec un accès gratuit, puis les fidéliser via le pass.
  • La concurrence : avec Destiny 2: The Final Shape et Borderlands 4 en 2024, il faut se démarquer.

"40 $, c’est un investissement raisonnable pour un jeu qui promet des centaines d’heures de coop", estime Thomas, rédacteur chez JeuxVideo.com. Reste à voir si les joueurs adhéreront à ce modèle, surtout après les polémiques autour des battle pass dans d’autres titres.


"On a cassé le jeu" : les retours des joueurs qui ont tout testé

Parmi les participants au Server Slam, certains ont poussé Arc Raiders dans ses retranchements. C’est le cas de l’équipe "Duck Hunters" (un clin d’œil aux canards), qui a découvert des exploits inattendus :

  • Une combinaison d’armes permettant de détruire les boss en 30 secondes (depuis corrigée).
  • Un bug de téléportation dans la carte "Ruines de Neo-Tokyo".
  • Une stratégie de "farming" de canards via un glitch de respawn (les développeurs ont choisi de… la garder, en la transformant en feature !).

Ces retours, parfois critiques, ont été accueillis à bras ouverts par Embark. "Mieux vaut découvrir ces problèmes maintenant que le 30 octobre", explique un développeur sur Reddit. Une transparence qui tranche avec l’opacité de certains studios, et qui renforce la confiance des joueurs.


Arc Raiders vs. la concurrence : peut-il percer en 2024 ?

Le marché des jeux coopératifs free-to-play est ultra-concurrentiel. Alors, comment Arc Raiders compte-t-il se démarquer ? Voici ses atouts :

  • Un univers unique : un mélange de science-fiction post-apocalyptique et de folklore scandinave (les développeurs sont suédois).
  • Un gameplay "easy to learn, hard to master" : accessible aux novices, mais avec une profondeur tactique pour les vétérans.
  • Un support cross-platform dès le lancement (PS5, Xbox, PC), avec une progression unifiée.
  • Des mises à jour mensuelles promises, incluant des événements communautaires (comme la chasse aux canards).

Pourtant, des doutes persistent. Certains craignent un manque de contenu endgame, ou une monétisation trop agressive à long terme. "Wait and see", résume Julien Chièze, journaliste chez Canard PC (ironiquement). Une chose est sûre : avec son mélange de coopération chaotique, de récompenses farfelues et d’un prix attractif, Arc Raiders a déjà tout pour devenir le phénomène surprise de l’automne.


Le saviez-vous ? L’histoire secrète des canards en caoutchouc

Ces canards ne sont pas là par hasard. Ils rendent hommage à une légende urbaine suédoise : dans les années 1990, un cargo transportant des milliers de jouets en plastique aurait chaviré près de Stockholm, libérant des canards qui auraient "envahi" les côtes. Une histoire fausse (inspirée d’un fait réel aux États-Unis en 1992), mais qui a marqué la culture locale.

"On voulait un clin d’œil à notre héritage, tout en créant un symbole de résilience", explique Lina Berg, narrative designer chez Embark. Les canards deviennent ainsi une métaphore : dans Arc Raiders, comme dans la légende, ils représentent la survie face au chaos. Une touche de poésie dans un jeu de tir… qui pourrait bien faire toute la différence.

Le 30 octobre, Arc Raiders ne lancera pas seulement un jeu, mais une expérience communautaire déjà rodée par des milliers de joueurs. Entre canards en caoutchouc devenus cultes, ajustements techniques minutieux et un modèle économique audacieux, Embark Studios a posé les bases d’un titre qui pourrait bien redéfinir les attentes pour les free-to-play coopératifs. Reste à voir si la magie opérera au-delà du Server Slam… et si les joueurs auront enfin une réponse à cette question existentielle : pourquoi diable court-on après des canards dans un jeu de science-fiction ?
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"Les canards en caoutchouc, c'est le nouveau 'Easter egg' viral. Embark Studios a réussi à transformer un détail anodin en phénomène communautaire. C'est comme si on avait trouvé un trésor caché dans un jeu de tir. Mais attention, les développeurs ont aussi appris à leurs dépens que les joueurs peuvent être plus créatifs que prévu. 'On a cassé le jeu', disent-ils, et c'est tant mieux. Car c'est ça, le vrai esprit d'Arc Raiders : un jeu vivant, façonné par sa communauté. Et avec un prix de 40 $ pour un free-to-play, c'est un pari risqué mais audacieux. Reste à voir si les joueurs adhéreront à ce modèle. En attendant, on continue de chasser ces volatiles en plastique, car dans ce monde de chaos, ils représentent la survie. Et c'est ça qui fait tout le charme d'Arc Raiders."
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic
Escape from Duckov : Quand l’absurde et la survie hardcore font un carton sur Steam
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Il y a 4 heures

Escape from Duckov : Quand l’absurde et la survie hardcore font un carton sur Steam

Un jeu indépendant défie les géants avec un mélange explosif d’humour noir et de survie extrême

Escape from Duckov, développé par une équipe de cinq passionnés, s’impose comme l’un des plus grands succès indépendants de 2024. Avec plus d’un million de copies vendues et un pic à 250 000 joueurs simultanés, ce titre parodique d’Escape from Tarkov prouve que l’audace paie. Entre mécaniques de survie impitoyables et humour décalé (comme les fameuses Poop Balls), le jeu séduit une communauté grandissante. Pourtant, son éditeur BiliBili n’a pas encore franchi le pas des consoles. Une chose est sûre : son prix augmentera de 12 % le 30 octobre, signe d’une demande qui ne faiblit pas.

A retenir :

  • 1 million de ventes pour un jeu développé par 5 personnes seulement, porté par l’éditeur chinois BiliBili (Core Keeper, Warm Snow).
  • Un mélange unique : survie hardcore inspirée de Tarkov, détournée par un humour noir et des mécaniques absurdes (comme les Poop Balls).
  • Record de 250 000 joueurs simultanés sur Steam, dépassant certains AAA malgré son absence sur consoles.
  • La mécanique controversée des excréments comestibles a été rééquilibrée, mais reste un symbole de l’audace du jeu.
  • Prix en hausse de 12 % dès le 30 octobre (passant à ~17,75 $), reflétant un engouement toujours intact.
  • Preuve que l’originalité et le second degré peuvent dominer les ventes, même face aux blockbusters.

Un phénomène indépendant qui défie les lois du marché

Imaginez un jeu où manger des excréments était autrefois une stratégie de survie viable. Absurde ? Pourtant, c’est exactement ce qui a contribué à propulser Escape from Duckov au sommet des ventes Steam. Développé par Team Soda, une équipe de seulement cinq personnes, ce titre parodique d’Escape from Tarkov a vendu plus d’un million d’exemplaires en quelques mois. Porté par l’éditeur chinois BiliBili – déjà derrière des succès comme Core Keeper ou Warm Snow –, il prouve qu’un petit studio peut rivaliser avec les géants du secteur.

Aujourd’hui affiché à 15,83 $ sur Steam, son prix augmentera de 12 % le 30 octobre, un ajustement qui reflète une demande toujours croissante. Avec un pic à 250 000 joueurs simultanés, le jeu a même surpassé certains titres AAA en popularité. Mais comment un titre aussi déjanté a-t-il pu séduire autant de joueurs ?


La réponse tient en deux mots : audace et équilibre. Escape from Duckov reprend les mécaniques de survie hardcore de Tarkov – gestion minutieuse des ressources, combats tactiques, mort permanente – mais les détourne avec un humour noir et potache. Résultat : une expérience à la fois exigeante et hilarante, où chaque décision compte, même les plus… malodorantes.

La fin (relative) de la stratégie fécale : un rééquilibrage nécessaire

Jusqu’à récemment, avaler des excréments était l’une des mécaniques les plus optimisées du jeu. Contre toute attente, cette pratique permettait de restaurer énergie et hydratation, au prix d’un léger empoisonnement. Les joueurs n’ont pas tardé à en abuser, transformant une blague en stratégie de meta. Face à ce détournement, Team Soda a réagi dans une mise à jour récente : les effets bénéfiques ont été drastiquement réduits.

Pourtant, les développeurs ont conservé une touche d’absurdité : les Poop Balls, ces projectiles fabriqués à partir d’excréments, restent utilisables en combat. Une décision qui illustre la philosophie du jeu : "On peut tout permettre, mais pas n’importe comment." Comme l’explique un joueur sur Reddit : "C’est con, mais ça marche. Et c’est ça, la magie de Duckov."

Ce rééquilibrage divise la communauté. Certains y voient une trahison de l’esprit initial, tandis que d’autres saluent un retour à un game design plus cohérent. Une chose est sûre : même avec des mécaniques moins digestes, le jeu continue d’attirer des foules.

"Du Tarkov, mais en plus marrant" : l’équation gagnante

Escape from Duckov ne se contente pas de parodier Escape from Tarkov : il en subvertit les codes avec brio. Là où Tarkov mise sur le réalisme et la tension, Duckov ajoute une couche d’humour grinçant et de survie décalée. Les joueurs y retrouvent des mécaniques familières – loot, craft, combats tactiques – mais détournées par des éléments absurdes.

Prenez les Poop Balls : ces boules de déchets lancées comme des grenades peuvent étourdir ou empoisonner les ennemis. Ou encore les "Duck Coins", une monnaie in-game obtenue en accomplissant des quêtes aussi ridicules qu’addictives. Comme le résume un streamer français : "C’est Tarkov, mais si les devs avaient bu trois bières de trop."

Cette approche paie : le jeu truste les premières places des ventes Steam, avec une communauté ultra-active sur les réseaux. Preuve que les joueurs recherchent des expériences uniques, même – surtout ? – quand elles jouent avec les conventions.

Derrière le succès : l’ombre de BiliBili et un studio minuscule

Le succès de Escape from Duckov doit aussi beaucoup à son éditeur, BiliBili. Cette plateforme chinoise, à la fois réseau social et éditeur de jeux, a su identifier le potentiel du titre. Avec des succès comme Core Keeper ou Warm Snow à son actif, elle prouve qu’elle maîtrise l’art de promouvoir des jeux indépendants et innovants.

Pourtant, Team Soda reste un studio minuscule : cinq développeurs seulement, travaillant dans l’ombre depuis des mois. Leur secret ? Une écoute constante de la communauté. Les mises à jour sont fréquentes, les bugs corrigés rapidement, et les joueurs se sentent impliqués. Comme le confie un membre de l’équipe sur Discord : "On lit tous les retours, même les plus fous. Parfois, ils finissent dans le jeu."

Reste une question : pourquoi pas de version console ? Pour l’instant, BiliBili n’a pas communiqué sur le sujet. Une opportunité manquée, ou une stratégie pour conserver l’exclusivité PC ? L’avenir le dira.

Le prix va augmenter : faut-il sauter sur l’occasion ?

Avec une hausse de 12 % prévue le 30 octobre (passant à ~17,75 $), Escape from Duckov envoie un signal clair : sa cote ne cesse de monter. Mais le jeu vaut-il vraiment le coup ? Tout dépend de ce que vous cherchez :

Pour les fans de survie hardcore : Si vous aimez Tarkov mais souhaitez une version moins punitive et plus drôle, Duckov est fait pour vous. Les mécaniques de loot et de combat sont solides, même si l’humour peut dérouter.

Pour les amateurs d’absurde : Entre les Poop Balls, les quêtes farfelues et l’ambiance décalée, le jeu est une bouffée d’oxygène face aux productions sérieuses. Attention cependant : l’humour est très potache.

Pour les indécis : Avec son prix actuel (15,83 $), le risque est minime. Et si la hausse vous inquiète, sachez que le jeu est régulièrement en promo sur Steam.

Un dernier conseil : si vous aimez les expériences sociales, Duckov se savoure encore mieux entre amis. Les parties en coop sont chaotiques, hilarantes, et souvent… imprévisibles.

Et demain ? Un avenir aussi imprévisible que le jeu lui-même

Avec un tel succès, que réserve l’avenir à Escape from Duckov ? Les rumeurs évoquent déjà des extensions, peut-être une version console, ou même un mode PvP compétitif. Team Soda reste discret, mais une chose est sûre : la communauté ne demande qu’à grandir.

Certains critiques pointent cependant des limites : un contenu qui pourrait s’essouffler, des mécaniques encore perfectibles, ou un humour qui ne plaît pas à tout le monde. Mais pour l’instant, le jeu a déjà prouvé une chose : dans l’industrie du jeu vidéo, l’audace et l’originalité peuvent payer bien plus que les budgets pharaoniques.

Alors, prêt à plonger dans l’univers délirant de Duckov ? Juste… évitez de goûter aux excréments. Cette fois, ça ne marche plus.

Escape from Duckov est bien plus qu’une simple parodie : c’est une réussite indépendante qui marie survie hardcore et humour débridé. Avec plus d’un million de ventes, un record de joueurs simultanés et une communauté en feu, le titre de Team Soda prouve qu’un petit studio peut bousculer les géants. Malgré le rééquilibrage des mécaniques les plus controversées, comme la consommation d’excréments, le jeu conserve son âme décalée et addictive.

À l’aube de sa hausse de prix, une question persiste : ce succès est-il un simple feu de paille, ou le début d’une nouvelle ère pour les jeux indépendants audacieux ? Une chose est sûre : dans un paysage vidéo-ludique souvent trop sérieux, Duckov rappelle que le jeu vidéo peut aussi être absurde, impertinent… et diablement efficace.

L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"Escape from Duckov" est une véritable révolution dans le monde des jeux de survie. Avec son humour noir et ses mécaniques absurdes, ce titre parodique d’"Escape from Tarkov" a su captiver des millions de joueurs. Développé par Team Soda, un studio minuscule mais talentueux, ce jeu prouve que l’audace et l’originalité peuvent rivaliser avec les géants du secteur. Même avec des ajustements de game design, comme la réduction des effets bénéfiques des excréments, le jeu continue de fasciner. Prêt à plonger dans un univers où l’humour et la survie se mélangent ? Justement, évitez de goûter aux excréments. Cette fois, ça ne marche plus.
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic
Talisman : La Quête Magique à Prix Brisé sur Amazon – Une Aventure à Ne Pas Manquer
Actualité

Il y a 4 heures

Talisman : La Quête Magique à Prix Brisé sur Amazon – Une Aventure à Ne Pas Manquer

Pourquoi cette 5ᵉ édition de Talisman vaut-elle le détour ?

La version 2023 du mythique Talisman: The Magical Quest, signée Avalon Hill, est désormais accessible à un tarif exceptionnel sur Amazon : 38 $ au lieu de 60 $, soit une réduction de 37 %. Une opportunité rare pour découvrir ou redécouvrir ce pilier du dungeon crawler, enrichi d’illustrations modernisées, de 12 figurines retravaillées et de règles épurées. Sans compter ses extensions et son univers étendu via Talisman Adventures, un RPG sur table compatible avec les éléments de base. Une valeur sûre pour les amateurs de jeux fantastiques, d’autant que les versions thématiques (Kingdom Hearts, Harry Potter) sont aujourd’hui introuvables.

A retenir :

  • Réduction massive : La 5ᵉ édition de Talisman passe de 60 $ à 38 $ (-37 %) sur Amazon, avec un contenu complet dès la boîte de base.
  • Deux extensions disponibles : Alliances: Fate Beckons (coopératif, 25,75 $) et Nemesis: Call of the Hunt (compétitif, 35 $), pour varier les parties.
  • Univers étendu : Talisman Adventures (RPG, 41 $) offre une expérience narrative compatible avec les éléments du jeu de plateau.
  • Éditions thématiques épuisées : Les versions Kingdom Hearts (2019) et Harry Potter (2021) sont devenues des collector’s, renforçant l’attrait de cette édition 2023.
  • Pratique et accessible : Livret numérique disponible via QR code, parties estimées entre 60 et 90 minutes, idéal pour les soirées jeu.

Un Classique Revisité : Pourquoi Cette 5ᵉ Édition de Talisman Séduit-Elle ?

Sorti en juin 2023 sous la bannière d’Avalon Hill, Talisman: The Magical Quest incarne la renaissance d’un monument du jeu de plateau fantastique. Avec une réduction de 37 % sur Amazon (passant de 60 $ à 38 $), cette 5ᵉ édition s’impose comme une porte d’entrée idéale pour les nouveaux joueurs comme pour les vétérans. Mais qu’est-ce qui la distingue vraiment ?


D’abord, son design repensé : les illustrations, plus dynamiques et détaillées, plongent immédiatement les joueurs dans un univers magique riche. Les 12 figurines, redessinées pour coller aux standards actuels, ajoutent une dimension tactile appréciable. Autre atout majeur : des règles simplifiées, sans sacrifier la profondeur stratégique qui a fait la réputation de la licence. Le tout est livré dans une boîte complète, incluant plateau modulable, 104 cartes (personnages, objets, sorts), jetons et dés – de quoi lancer une partie sans achat supplémentaire.


Cerise sur le gâteau : un livret numérique accessible via QR code, pratique pour éviter les allers-retours entre la table et la règle papier. Une attention aux détails qui confirme la volonté d’Avalon Hill de moderniser l’expérience sans en altérer l’âme.

Extensions : Quand Talisman Se Réinvente en Coopératif ou en Duel

Si la boîte de base offre déjà 60 à 90 minutes de jeu par partie, deux extensions officielles permettent d’étendre ses possibilités – et profitent elles aussi de tarifs avantageux sur Amazon.


Alliances: Fate Beckons (25,75 $ au lieu de 35 $) introduit un mode coopératif inédit. Cinq épreuves collaboratives, des cartes exclusives et des mécaniques de synergie entre joueurs transforment radicalement la dynamique du jeu. Idéal pour les groupes cherchant à unir leurs forces contre le destin plutôt que de s’affronter.


À l’inverse, Nemesis: Call of the Hunt (35 $), sortie récemment, mise sur la compétition pure. Un joueur incarne un chasseur maudit, tandis que les autres doivent survivre à ses assauts sur un plateau recto-verso spécialement conçu. Trois défis uniques et des règles asymétriques garantissent des parties tendues et imprévisibles. Un must pour les amateurs de stratégie antagoniste.


Ces extensions ne se contentent pas d’ajouter du contenu : elles prolongent la durée de vie du jeu, avec des mécaniques suffisamment distinctes pour justifier leur achat. Un investissement judicieux pour ceux qui comptent explorer Talisman sur le long terme.

Les Éditions Thématiques : Des Trésors Devenus Inaccessibles

Avant cette 5ᵉ édition, Talisman s’était aventuré dans des univers licenciés, avec des résultats… éphémères. La version Kingdom Hearts (2019), mélangeant l’esthétique du jeu vidéo culte aux mécaniques du plateau, s’arrachait à 90 $ en occasion – soit 50 % de plus que son prix initial. Quant à l’édition Harry Potter (2021), elle a disparu des rayons en 2022, devenant un graal pour les collectionneurs.


Ces disparitions soulignent un paradoxe : malgré leur succès critique et commercial, les déclinaisons thématiques de Talisman peinent à rester disponibles. Une aubaine pour les possesseurs, une frustration pour les retardataires… et une raison supplémentaire de se tourner vers cette édition 2023, toujours produite et distribuée en neuf.


D’ailleurs, les données parlent d’elles-mêmes :

  • Kingdom Hearts Talisman : Valeur sur le marché secondaire en hausse de 50 % par rapport à son prix de lancement (60 $).
  • Harry Potter Talisman : Rupture de stock totale depuis mi-2022, selon les trackers comme BoardGameGeek.

Derrière les Dés : L’Histoire Méconnue de Talisman

Saviez-vous que Talisman est né en 1983, créé par Robert Harris pour Games Workshop ? À l’origine, le jeu se voulait une alternative plus accessible aux jeux de rôle sur table (JDR) comme Donjons & Dragons, tout en conservant leur essence fantastique. Son succès initial a donné lieu à quatre éditions avant cette version 2023, chacune apportant son lot de modifications – parfois controversées.


Par exemple, la 4ᵉ édition (2007) avait divisé les fans en introduisant des règles jugées trop complexes par certains, tout en séduisant les puristes par son matériel luxueux (plateau en 3D, figurines peintes). Un équilibre délicat que cette 5ᵉ édition semble enfin avoir trouvé, en misant sur la simplicité sans sacrifier la profondeur.


Autre anecdote : le jeu a failli disparaître dans les années 1990, sauvé in extremis par des éditeurs passionnés. Aujourd’hui, c’est Avalon Hill (filiale de Hasbro) qui en assure la pérennité, avec une stratégie claire : moderniser sans trahir l’héritage.

Talisman Adventures : Quand le Plateau Devient un RPG

Moins médiatisé mais tout aussi captivant, Talisman Adventures (2021) transpose l’univers du jeu de plateau en un système de JDR complet. Le Core Rulebook (41 $ sur Amazon) propose des mécaniques adaptées aux parties narratives, avec un système de jets sous attributs (via des dés à 6 faces) pour résoudre actions et combats.


Trois Adventure Books (30 $ chacun) étendent l’exploration du Royaume Magique, avec des scénarios prédéfinis mais modulables. Le Master’s Kit (10 $), lui, fournit des aides précieuses pour les maîtres de jeu (MJ), comme des tables de rencontres aléatoires ou des fiches de personnages prêtes à l’emploi.


Le gros avantage ? Une compatibilité totale avec les éléments de la 5ᵉ édition : cartes, figurines et même certains décors peuvent être réutilisés pour enrichir les sessions. Une synergie rare entre jeu de plateau et JDR, saluée par les joueurs. Preuve de son succès : le Core Rulebook affiche une note moyenne de 4,6/5 sur Amazon, avec des éloges pour son accessibilité aux néophytes.


Pour les puristes, c’est aussi une alternative économique aux versions thématiques épuisées. Plutôt que de chasser des boîtes à 100 $ et plus sur le marché de l’occasion, Talisman Adventures offre une plongée narrative dans le même univers, avec une liberté créative accrue.

Pour Qui est Fait Ce Talisman 2023 ?

Si cette édition séduit par son rapport qualité-prix, elle ne conviendra pas à tous les publics. Voici qui devrait craquer – et qui pourrait hésiter.


Les fans de dungeon crawler y trouveront un équilibre parfait entre stratégie et hasard, avec des parties suffisamment courtes pour éviter la lassitude. Les joueurs occasionnels apprécieront la simplicité des règles et le matériel prêt à l’emploi, sans besoin d’extensions immédiates.


À l’inverse, les hardcore gamers pourraient regretter un manque de profondeur tactique face à des titres comme Gloomhaven ou Descent. Certains critiques pointent aussi un déséquilibre entre les personnages, où la chance (via les jets de dés) peut parfois éclipser la stratégie.


Enfin, les collectionneurs seront tentés par les éditions thématiques (quand elles réapparaîtront), mais pour une expérience immédiate et complète, cette 5ᵉ édition reste la meilleure option – surtout à ce prix.

Avec sa 5ᵉ édition à 38 $, Talisman: The Magical Quest prouve qu’un classique peut se réinventer sans perdre son âme. Entre un matériel soigné, des règles accessibles et des extensions pour varier les parties, le jeu s’adresse aussi bien aux novices qu’aux vétérans du genre. L’univers étendu via Talisman Adventures et la rareté des éditions thématiques en font une valeur sûre – à saisir avant que les stocks ne s’épuisent à leur tour. Une chose est certaine : à ce tarif, le rapport aventure/prix est imparable.
L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
Cette 5ᵉ édition de Talisman est un véritable coup de maître. Les illustrations dynamiques et les règles simplifiées font de ce jeu un incontournable pour les nouveaux joueurs. Les extensions coopératives et antagonistes offrent une profondeur stratégique sans précédent. Un must pour les fans de jeux de plateau fantastiques !
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen