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Deadpool rejoint les Avengers : *Doomsday* confirme Ryan Reynolds dans un crossover explosif !
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Il y a 51 jours

Deadpool rejoint les Avengers : *Doomsday* confirme Ryan Reynolds dans un crossover explosif !

Le Mercenaire Disert s’invite dans l’ultime bataille du MCU : *Avengers: Doomsday* (2026) officialise l’arrivée de Deadpool (Ryan Reynolds) aux côtés de Doctor Doom (Robert Downey Jr.) et d’un casting XXL incluant Gambit (Channing Tatum) et Thor (Chris Hemsworth). Après son intégration via *Deadpool & Wolverine*, ce crossover pose un défi narratif inédit : comment concilier son humour corrosif et ses répliques meta avec une menace apocalyptique ? Entre scènes mystérieuses (Thor en larmes ?) et rumeurs sur les Quatre Fantastiques, Marvel prépare un final explosif pour le 18 décembre 2026.

A retenir :

  • Confirmation officielle : Ryan Reynolds reprendra son rôle de Deadpool dans *Avengers: Doomsday* (sortie le 18 décembre 2026), après son intégration dans le MCU via *Deadpool & Wolverine* (2024).
  • Casting historique : Aux côtés de Doctor Doom (RDJ), Thor, et Capitaine America (Anthony Mackie), le film accueillera aussi Gambit (Channing Tatum) et potentiellement America Chavez (Xochitl Gomez), avec des spéculations sur les Quatre Fantastiques.
  • Défis narratifs : Comment Deadpool, maître de l’autodérision et du quatrième mur, s’intégrera-t-il dans un récit sombre centré sur une menace cosmique ? Son rôle pourrait osciller entre soupape comique et élément perturbateur.
  • Indices mystérieux : Une bande-annonce alternative montre Thor pleurant Deadpool, tandis que des rumeurs évoquent un lien avec les X-Men et le multivers.
  • Enjeux pour Marvel : Après *Deadpool & Wolverine*, ce film doit prouver que le MCU peut fusionner tonalité légère et drame épique sans perdre en cohérence.

"Un rêve de fan devient réalité : Deadpool dans l’ultime bataille des Avengers"

C’est officiel : le Mercenaire Disert va enfin croiser le fer avec les Vengeurs. Après des années de rumeurs et de scènes post-génériques plus ou moins cryptiques, The Hollywood Reporter a confirmé que Ryan Reynolds reprendra son rôle culte de Deadpool dans *Avengers: Doomsday*, prévu pour le 18 décembre 2026. Une annonce qui électrise les fans, d’autant que le personnage a déjà fait ses premiers pas dans le MCU via *Deadpool & Wolverine* (2024), où son intégration via le multivers avait marqué les esprits.

Mais cette fois, les enjeux sont bien plus grands. *Doomsday* s’annonce comme le climax de la Phase 6 du MCU, avec une menace si colossale qu’elle nécessite le rassemblement de tous les héros disponibles – y compris ceux qu’on n’attendait pas. Parmi eux, Deadpool, dont la présence aux côtés de Thor (Chris Hemsworth) ou de Doctor Doom (Robert Downey Jr.) promet des dynamiques explosives. Imaginez le Dieu du Tonnerre, en pleine crise existentielle (comme le suggère une scène mystérieuse où il pleure Deadpool), confronté aux blagues graveleuses et aux répliques meta du Mercenaire… Le choc des cultures est garanti.


Pourtant, une question persiste : Deadpool sera-t-il un Vengeur à part entière ? Marvel Studios reste évasif, mais les spéculations vont bon train. Certains évoquent un rôle de "anti-héros nécessaire", d’autres un simple catalyseur d’action – comme dans *Deadpool 2*, où son alliance avec Cable avait déjà prouvé qu’il pouvait jouer les équilibristes entre comédie et drame. Une chose est sûre : après avoir bousculé les codes du MCU dans *Deadpool & Wolverine*, Wade Wilson n’a pas fini de surprendre.

"Un casting à faire pâlir *Infinity War* : qui rejoindra Deadpool dans la bataille ?"

*Avengers: Doomsday* s’annonce comme un rassemblement sans précédent, avec une liste de stars qui donne le vertige. Aux côtés de Deadpool, on retrouvera bien sûr les piliers du MCU :

  • Anthony Mackie dans le rôle de Capitaine America, désormais leader incontesté des Vengeurs.
  • Florence Pugh, dont Yelena Belova a su se forger une place centrale depuis *Black Widow*.
  • Paul Rudd, alias Ant-Man, dont l’humour décalé pourrait faire écho à celui de Deadpool.
  • Channing Tatum, enfin de retour en tant que Gambit après sa première apparition remarquée dans *Deadpool & Wolverine*.

Mais les surprises ne s’arrêtent pas là. Selon Variety, Xochitl Gomez (vu dans *Doctor Strange 2* en tant qu’America Chavez) serait en pourparlers pour rejoindre l’aventure. Son pouvoir de voyage dimensionnel pourrait s’avérer crucial face à une menace aussi vaste que celle de *Doomsday*. En revanche, l’intégration des Quatre Fantastiques reste un mystère bien gardé – d’autant que leur film solo, prévu pour 2025, pourrait servir de prologue à leur rôle dans ce crossover.


Et puis, il y a cette scène. Dans une bande-annonce alternative fuitée (puis rapidement retirée), on aperçoit Thor, en larmes, tenant le masque de Deadpool. Une image qui a immédiatement enflammé les réseaux sociaux : s’agit-il d’un sacrifice héroïque ? D’une manipulation de Doctor Doom ? Ou simplement d’un piège narratif typique de Marvel ? Les théories pullulent, mais une chose est sûre : cette scène, si elle est confirmée, pourrait redéfinir la tonalité du film.

"Humour vs. apocalypse : le casse-tête narratif de Marvel"

Intégrer Deadpool dans *Avengers: Doomsday* relève du défi créatif. Le personnage, connu pour son humour noir, ses répliques qui brisent le quatrième mur, et son mépris affiché pour les conventions, semble à première vue en décalage total avec l’urgence d’un scénario centré sur une menace existentielle. Pourtant, *Deadpool & Wolverine* a prouvé que le MCU pouvait jouer sur plusieurs tableaux : des scènes d’action ultra-violentes côtoyant des gags absurdes, le tout sans perdre en cohérence.

Mais *Doomsday* n’est pas un film solo. Ici, Deadpool devra coexister avec des personnages comme Doctor Doom, dont le ton solennel et la menace palpable contrastent radicalement avec son style. Plusieurs scénarios sont envisageables :

  • Le joker comique : Deadpool désamorce les tensions par l’humour, comme dans *Deadpool 2* où ses blagues sauvaient des scènes autrement trop sombres.
  • L’élément perturbateur : Son imprévisibilité et son pouvoir de régénération en font une arme secrète contre Doom… ou un risque pour les plans des héros.
  • Le miroir des autres héros : Son cynisme pourrait révéler les failles de personnages comme Thor (en pleine remise en question) ou Capitaine America (confronté à un leadership impossible).

Les précédents de Deadpool dans les crossovers offrent des pistes. Dans *X-Men Origins: Wolverine* (malgré un traitement controversé), son charisme avait volé la vedette. Dans *Deadpool 2*, son duo avec Cable avait équilibré action brutale et comédie absurde. Ici, face à des enjeux cosmiques, Marvel devra trouver un équilibre encore plus subtil. Too much Deadpool et le film perd en gravité ; pas assez, et les fans seront déçus. La solution ? Peut-être dans son rôle de "commentateur" – un personnage qui, tout en participant à l’action, dénonce les excès du MCU avec ironie.

"Derrière les caméras : les défis d’un tournage sous haute tension"

Tourner *Avengers: Doomsday* relève de l’exploit logistique. Entre les emplois du temps chargés des stars (Ryan Reynolds est aussi occupé par *The Adam Project 2*), les effets spéciaux colossaux (la menace de Doom nécessite des séquences inédites), et la pression des fans, l’équipe de Marvel Studios a fort à faire.

Un défi particulier ? Les improvisations de Ryan Reynolds. L’acteur, connu pour ses répliques spontanées et son humour acéré, a souvent réécrit des scènes de *Deadpool* sur le vif. Dans un film aussi structuré que *Doomsday*, où chaque minute compte, Marvel devra-t-il brider sa créativité ou, au contraire, l’exploiter pour dynamiser les dialogues ? Les rumeurs suggèrent que le scénario laisse une marge de manœuvre à Reynolds, mais sous surveillance étroite.


Autre enjeu : l’équilibre entre les franchises. *Doomsday* doit conclure des arcs narratifs lancés dans *Loki*, *Doctor Strange*, et même *Fantastic Four*. Intégrer Deadpool sans éclipser les autres héros (ou pire, sans que son ton ne jure avec celui des Quatre Fantastiques) sera un exercice d’équilibriste. D’où l’importance des scènes tests : selon Deadline, Marvel aurait déjà tourné plusieurs versions de certaines séquences pour ajuster le ton.

"Et si Deadpool était la clé pour sauver le MCU ?"

À l’heure où le MCU est critiqué pour sa surabondance de projets et ses scénarios parfois décousus, l’arrivée de Deadpool pourrait être une bouffée d’oxygène. Son autodérision permet de désacraliser l’univers Marvel, tout en rappelant aux spectateurs que ces films restent, avant tout, du divertissement.

Preuve en est : les réactions des fans depuis l’annonce. Sur Reddit, un utilisateur résumait : *"Deadpool dans les Avengers, c’est comme si Marvel avait enfin compris qu’on en avait marre des héros qui se prennent au sérieux 24/7."* Un avis partagé par beaucoup, qui voient en lui un antidote à la fatigue des super-héros. Reste à savoir si Marvel osera pousser la logique jusqu’au bout – par exemple, en laissant Deadpool commenter les incohérences du MCU (comme ses fameuses blagues sur les scènes post-génériques inutiles).


Pour les détracteurs, en revanche, cette intégration sonne comme un coup marketing. *"Deadpool dans les Avengers, c’est juste pour vendre des places de cinéma"*, estimait un critique sur Twitter, soulignant que le personnage risque de dénaturer la gravité d’un film censé conclure une saga. Un risque que Marvel semble prêt à prendre, à en juger par les rumeurs de scènes alternatives encore plus folles que celles de *Deadpool & Wolverine*.

"2026 : l’année où tout bascule pour Marvel"

*Avengers: Doomsday* ne sera pas qu’un film. Ce sera un test pour le MCU, à un moment charnière de son histoire. Après les critiques sur *Ant-Man 3* ou *Thor: Love and Thunder*, Marvel doit prouver qu’il peut encore innover sans se répéter. L’intégration de Deadpool, avec son ton unique et son potentiel subversif, pourrait être la clé.

Les attentes sont immenses :

  • Un équilibre parfait entre humour et drame, comme dans *Guardians of the Galaxy*.
  • Des dynamiques d’équipe inédites (imaginez Deadpool et Rocket Raccoon en duo !).
  • Une menace crédible : Doctor Doom doit être à la hauteur, sinon le film perdra en tension.
  • Des clins d’œil malins aux comics (comme la rivalité Deadpool/Spider-Man, même si Tom Holland ne sera pas là).

Et puis, il y a cette date : le 18 décembre 2026. Un cadeau de Noël anticipé pour les fans, mais aussi une échéance redoutable pour Marvel. Si *Doomsday* échoue, ce ne sera pas seulement un film raté – ce sera un symbole de la fin d’une ère. À l’inverse, s’il réussit, il pourrait relancer la machine et ouvrir la voie à une Phase 7 audacieuse, où les règles du jeu seraient enfin réinventées.

Le compte à rebours est lancé : dans deux ans, Deadpool fera son entrée fracassante dans l’ultime bataille des Avengers. Entre espoirs fous et doutes légitimes, une chose est sûre : *Avengers: Doomsday* a tout pour devenir l’événement ciné de 2026. Reste à savoir si Marvel parviendra à dompter l’énergie anarchique de son Mercenaire Disert, ou si c’est lui, au contraire, qui finira par redéfinir les règles du jeu. Une chose est certaine : avec Deadpool dans l’équation, rien ne sera plus comme avant.
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
*Doomsday* avec Deadpool, c’est comme si Marvel avait enfin compris que son **utopie** de super-héros sérieux avait besoin d’un bon coup de pied dans les gonades. Wade Wilson en mode *"Je suis là pour l’apéro, pas pour la fin du monde"* parmi des Vengeurs en crise existentielle ? **Okey**, on signe. Mais attention, Kevin Feige : si tu brides son humour pour sauver ton *ton solennel*, tu risques de te retrouver avec un film aussi **apathique** qu’un Thor post-*Endgame* sans café. *"Maximum effort"*, hein. Pas juste pour la forme.

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic