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Dragon Ball Z: Kakarot à 2,79 € sur l’eShop Nintendo : une offre historique qui défie toute logique
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Il y a 33 jours

Dragon Ball Z: Kakarot à 2,79 € sur l’eShop Nintendo : une offre historique qui défie toute logique

Avec un rabais de 86 %, Dragon Ball Z: Kakarot s’offre à 2,79 € sur l’eShop Nintendo, un prix dérisoire pour un titre qui revisite l’intégralité de la saga Z avec une fidélité stupéfiante. Ce jeu hybride entre Action-RPG et expérience narrative, développé par CyberConnect2, se transforme en une aubaine pour les fans comme pour les néophytes, avec des cinématiques quasi identiques à l’anime et un système de combat dynamique. Une opportunité à saisir avant le 21 septembre, date à laquelle le prix retrouvera ses 19,99 € habituels.

A retenir :

  • 86 % de réduction : Dragon Ball Z: Kakarot passe de 19,99 € à 2,79 €, un record absolu sur l’eShop Nintendo.
  • Un Action-RPG narratif qui retrace toute la saga Z, des Saiyans à Buu, avec des cinématiques fidèles à 95 % à l’anime original.
  • Un système de combat dynamique et une progression des personnages salués par la critique (note Metacritic : 72/100).
  • Le New Power Awakens Set inclus gratuitement, ajoutant des missions exclusives et des tenues légendaires (SSGSS, etc.).
  • Une fenêtre limitée jusqu’au 21 septembre – une occasion unique de (re)découvrir un titre culte à prix cassé.

L’eShop Nintendo frappe fort : un prix qui défie les lois du marché

Nintendo n’a jamais été réputée pour ses promotions agressives, surtout sur ses titres first-party. Pourtant, l’eShop de la Switch réserve parfois des surprises qui laissent les joueurs bouche bée. Cette fois, c’est Dragon Ball Z: Kakarot, développé par CyberConnect2 (connu pour les Naruto: Ultimate Ninja Storm), qui bénéficie d’une réduction historique : 86 %, ramenant son prix de 19,99 € à 2,79 €. Une aubaine qui s’inscrit dans la stratégie récente de Nintendo d’ouvrir davantage sa plateforme aux jeux third-party, après des années de politique tarifaire rigide.

Pour comprendre l’ampleur de cette offre, il faut rappeler que Kakarot n’est pas un simple jeu de combat. Sorti le 17 janvier 2020 sur PC, PS4 et Xbox One, puis porté sur Switch en septembre 2021, le titre se présente comme un Action-RPG narratif ambitieux, retracant l’intégralité de la saga Z – des arrivées des Saiyans jusqu’à la défaite de Buu. Contrairement à Dragon Ball FighterZ (un jeu de combat pur), Kakarot mise sur l’immersion : le joueur incarne Goku et ses alliés dans des quêtes principales calquées sur l’anime, entrecoupées de phases d’exploration libre et de combats en temps réel.

Le New Power Awakens Set, inclus dans cette version, ajoute une couche supplémentaire avec des missions inédites et des tenues emblématiques (comme le Super Saiyan God Super Saiyan). Un contenu qui, à l’origine, était vendu séparément pour 20 € sur les autres plateformes. À 2,79 €, l’offre devient absurde – d’autant que le jeu a reçu des mises à jour régulières, dont un DLC gratuit ajoutant des personnages comme Bardock et Trunks du Futur.

Entre fidélité à l’anime et innovations gameplay : le pari risqué de CyberConnect2

CyberConnect2 avait un défi de taille : transposer 291 épisodes de Dragon Ball Z en un jeu vidéo sans tomber dans la redite ou la parodie. Leur solution ? Un mélange audacieux entre cinématiques interactives et mécaniques RPG. Les scènes clés de la saga (la mort de Krillin, la transformation en Super Saiyan, etc.) sont reproduites à l’identique, avec les voix originales japonaises et françaises. Mais contrairement à un visual novel, le joueur a une liberté d’action : il peut explorer le monde entre les arcs narratifs, collectionner des objets (comme les Dragon Balls ou les capsules de Capsule Corp), et même cuisiner pour restaurer sa santé – un clin d’œil à la vie quotidienne des personnages.

Côté combat, Kakarot adopte un système hybride :

  • Attaques basiques (coups de poing, ki blasts) enchaînables en combos.
  • Compétences spéciales (Kamehameha, Genki Dama) à débloquer via un arbre de talents.
  • Transformations (Super Saiyan, Kaio-Ken) activables en combat, avec un système de surchauffe si elles sont trop utilisées.
  • Combats en équipe (jusqu’à 3 personnages), avec des synergies uniques (ex : Goku + Vegeta = fusion potentielle).

Cependant, le jeu a été critiqué pour son open-world vide : les zones explorables (comme la Plaine de Goku ou la Ville de l’Ouest) manquent de densité, avec des quêtes secondaires répétitives. Comme l’écrivait JeuxVideo.com dans son test : 〈“Kakarot brille par ses cinématiques et ses combats, mais son exploration forcée peine à convaincre.”〉 Malgré cela, le titre a séduit les fans grâce à sa fidélité émotionnelle – un exploit rare pour une licence aussi culte.

Un succès critique et commercial malgré les défauts : le bilan de Kakarot

À sa sortie, Dragon Ball Z: Kakarot a réalisé un exploit commercial : plus de 2 millions d’exemplaires vendus en un mois (source : Bandai Namco), devenant le jeu Dragon Ball le plus vendu depuis Dragon Ball Xenoverse 2 (2016). Les critiques ont salué :

  • La reconstruction fidèle de la saga Z, avec des dialogues et une bande-son identiques à l’anime.
  • Un système de combat accessible mais profond, idéal pour les joueurs occasionnels comme pour les hardcore fans.
  • La durée de vie (environ 40 heures pour le scénario principal, 60+ heures avec le contenu supplémentaire).

Cependant, les défauts pointés du doigt étaient :

  • Un open-world superficiel, avec des activités secondaires peu inspirées (livraisons, combats aléatoires).
  • Des bugs graphiques sur Switch (chutes de FPS en mode portable, textures basses résolution).
  • Un manque de contenu post-game comparé à des titres comme Dragon Ball Xenoverse.

Malgré ces critiques, Kakarot a marqué les esprits en prouvant qu’un jeu Dragon Ball pouvait être plus qu’un simple beat’em up. Comme l’a souligné Hiroyuki Kobayashi, producteur chez Bandai Namco : 〈“Nous voulions créer une expérience où les fans pourraient revivre la saga Z comme s’ils en faisaient partie. Les ventes ont montré que nous avions réussi.”

Pourquoi cette promotion est-elle une aubaine pour les joueurs Switch ?

Plusieurs raisons font de cette offre un must-have :

  1. Le prix : À 2,79 €, c’est moins cher qu’un café pour un jeu qui en vaut dix fois plus en contenu.
  2. La rareté des promos Nintendo : Les réductions超过50 % sont exceptionnelles sur l’eShop, surtout pour des licences tierces de cette envergure.
  3. La compatibilité Switch : Le jeu tourne en 720p/30 FPS en portable et 1080p/60 FPS en docké – un compromis acceptable pour un titre aussi dense.
  4. Le contenu bonus : Le New Power Awakens Set ajoute des missions exclusives (comme un combat contre Broly en DLC).
  5. La nostalgie : Pour les fans de la première heure, c’est l’occasion de revivre la saga Z avec un angle inédit.

À titre de comparaison, sur Steam, le jeu est actuellement à 19,99 € (sans réduction), et sur PS5/Xbox Series X, il se vend autour de 14,99 € en promo. La version Switch, déjà moins chère à l’origine, devient donc la meilleure affaire du marché.

Que réserve l’avenir pour Dragon Ball Z: Kakarot et la licence ?

Avec le succès de Kakarot, Bandai Namco et CyberConnect2 ont ouvert la voie à de nouvelles expériences narratives dans l’univers Dragon Ball. Plusieurs rumeurs circulent :

  • Un portage next-gen (PS5/Xbox Series X) avec des graphismes 4K/60 FPS et des contenus supplémentaires.
  • Un DLC majeur centré sur la saga Super (avec des personnages comme Jiren ou Goku Ultra Instinct).
  • Un nouveau jeu dans la même veine, peut-être basé sur Dragon Ball GT ou Dragon Ball Super: Super Hero.

Par ailleurs, l’arrivée prochaine de la Nintendo Switch 2 (prévue pour 2025) pourrait relancer l’intérêt pour les jeux Dragon Ball sur console hybride. Comme le note NateDrake, analyste chez NPD Group : 〈“Les licences anime ont un avenir brillant sur Switch, surtout si Nintendo maintient cette politique de prix agressifs.”

En attendant, cette promotion reste une opportunité en or pour les joueurs. Que vous soyez un vétéran de la saga ou un nouveau venu, 2,79 € pour un jeu aussi complet relève du cadeau empoisonné… mais dans le bon sens du terme.

Cette offre sur Dragon Ball Z: Kakarot est bien plus qu’une simple promotion : c’est un phénomène qui illustre l’évolution de la stratégie commerciale de Nintendo. À 2,79 €, le jeu devient accessible à tous, tout en offrant une expérience complète et fidèle à la saga Z. Les joueurs ont jusqu’au 21 septembre pour profiter de cette aubaine, avant que le prix ne remonte à son tarif habituel.

Au-delà de l’aspect financier, Kakarot représente une réussite artistique pour CyberConnect2, prouvant qu’un jeu Dragon Ball peut allier narration profonde et gameplay satisfaisant. Même si certains aspects (comme l’open-world) laissent à désirer, l’ensemble reste cohérent et captivant, surtout pour les fans.

Enfin, cette promotion pourrait bien relancer l’intérêt pour la licence sur Switch, en attendant d’éventuels annonces pour la Switch 2. Une chose est sûre : à ce prix, ne pas sauter sur l’occasion serait une erreur stratégique.

L'Avis de la rédaction
Par Celtic
2,79 € pour revivre *toute* la saga Z, même les épisodes où Goku met 10 minutes à charger son Genki Dama ? **Dobé**, Nintendo, t’es en train de *réfuter* l’idée même du capitalisme. À ce prix-là, c’est presque un crime de *ne pas* l’acheter – même si l’open-world ressemble à la plaine de Goku après un passage de Cell : vide, mais avec deux trois cailloux à ramasser. *"La vengeance est un plat qui se mange froid... mais à 86% de réduction, ça se déguste sans attendre."* — Vegeta, probablement.

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic