Actualité

Ghost of Yōtei : L’Odachi, l’Épée Colossale Qui Écrasera les Soulslike en 2025
Actualité

Il y a 31 jours

Ghost of Yōtei : L’Odachi, l’Épée Colossale Qui Écrasera les Soulslike en 2025

Ghost of Yōtei révolutionne le soulslike samouraï avec l’odachi, une épée géante de 1,50 mètre inspirée des guerriers d’élite du Japon féodal. Ses attaques circulaires infligent 40 % de dégâts en plus qu’un katana, tandis que sa physique dynamique projette les ennemis à plusieurs mètres, offrant une brutalité inédite. Exclusif PS5, le jeu exploite le ray tracing et le haptic feedback de la DualSense pour une immersion totale, avec un mode "Légende" mettant en scène des figures comme Miyamoto Musashi. Sortie prévue le 2 octobre 2025 – un duel annoncé avec Assassin’s Creed Shadows.

A retenir :

  • Odachi vs Katana : 40 % de dégâts en plus, mais maniabilité réduite – un compromis stratégique qui change la donne.
  • Physique dynamique : Les impacts projettent les ennemis comme dans Sekiro, mais avec une ampleur visuelle spectaculaire.
  • Exclusivité PS5 : Ray tracing + haptic feedback pour ressentir chaque vibration des combats à l’odachi.
  • Mode "Légende" : Incarnez Hattori Hanzō ou Miyamoto Musashi dans des quêtes historiques uniques.
  • Sortie le 2 octobre 2025 : Un duel culturel contre Assassin’s Creed Shadows pour dominer 2025.

Imaginez un champ de bataille du Japon féodal, où la brume matinale se mêle aux cris des guerriers. Au centre, un samouraï lève une lame si imposante qu’elle semble défier les lois de la physique. D’un seul mouvement, cinq adversaires s’effondrent, leurs armures réduites en lambeaux. Ce n’est pas une scène tirée d’un jidaigeki classique, mais bien un extrait de Ghost of Yōtei, le prochain chef-d’œuvre de Sucker Punch qui promet de réinventer le soulslike samouraï en 2025. Au cœur de cette révolution : l’odachi, une épée colossale qui fait passer le katana pour une simple dague.

L’Odachi : L’Arme qui a Terrassé les Champs de Bataille

Avec sa lame dépassant souvent 1,50 mètre, l’odachi n’est pas une arme anodine. Historiquement, elle était réservée aux guerriers d’élite capables de la manier avec précision, malgré son poids. Dans Ghost of Yōtei, Sucker Punch a reconstitué cette brutalité légendaire avec une fidélité troublante. Les tests en pré-alpha révèlent des attaques circulaires capables d’engloutir plusieurs ennemis en un seul coup, une mécanique absente des précédents jeux du studio.

Mais attention : cette puissance a un prix. Contrairement au katana, l’odachi sacrifie la maniabilité. Les joueurs devront anticiper leurs mouvements, sous peine de se retrouver vulnérables après une frappe ratée. Un compromis qui rappelle les sabres à deux mains européens, mais avec une esthétique purement japonaise. Comme le soulignait un développeur lors d’une démonstration privée : "L’odachi n’est pas faite pour les duellistes, mais pour ceux qui veulent briser des armées."


Comparatif choc : Selon les données techniques divulguées, l’odachi inflige 40 % de dégâts en plus par coup qu’un katana standard. En contrepartie, sa vitesse d’attaque est réduite de 25 %, obligeant le joueur à repenser sa stratégie. Une dynamique qui pourrait diviser la communauté : certains y verront une évolution bienvenue, d’autres un sacrifice inutile de la finesse qui faisait le charme de Ghost of Tsushima.

"La Faucheuse" : Quand la Physique Devient Spectaculaire

Ce qui frappe dans les extraits de gameplay, c’est la réalisme des impacts. Chaque frappe de l’odachi génère une réaction physique unique selon l’ennemi touché :

  • Armures lourdes : La lame rebondit légèrement, mais l’adversaire est projeté en arrière.
  • Boucliers : L’odachi les brise net, avec un effet de vibration intense dans la manette.
  • Ennemis désarmés : Les corps sont littéralement soulevés avant de s’écraser au sol.

Une précision qui rappelle le système de Sekiro: Shadows Die Twice, mais avec une dimension cinématographique bien plus marquée. Les ralentis montrent des détails macabres : os brisés, tissus déchirés, et même des traînées de sang dynamiques qui persistent sur le sol. "On a voulu que chaque coup raconte une histoire"*, explique un animateur de Sucker Punch. Mission accomplie.


L’anecdote qui tue : Saviez-vous que les vrais odachi étaient parfois plantés dans le sol pour intimider l’ennemi avant la bataille ? Dans Ghost of Yōtei, cette tactique est reprise : en maintenant un bouton, Jin peut enfoncer son épée dans la terre, déclenchant une onde de choc qui déséquilibre les adversaires à proximité. Un clin d’œil historique qui ajoute une couche de stratégie environnementale aux combats.

PS5 : Quand la Technologie Épouse la Légende

Ghost of Yōtei sera une exclusivité PlayStation 5, et Sucker Punch compte bien en profiter. Le studio a confirmé l’utilisation du ray tracing dynamique pour les reflets sur la lame de l’odachi, ainsi qu’un système de particules avancé pour les effets de sang et de poussière. Mais c’est le haptic feedback de la DualSense qui promet l’expérience la plus immersive :

  • Vibrations différenciées selon la zone de la lame qui touche l’ennemi (pointe vs. tranchant).
  • Résistance adaptive quand l’odachi se coince dans une armure.
  • Retour tactile pour les impacts au sol (comme quand Jin frappe le sol pour créer une onde de choc).

"On a travaillé avec des forgerons japonais pour recréer le poids réel de l’odachi dans les animations"*, révèle un membre de l’équipe. Résultat : quand Jin soulève l’épée, le joueur sent la résistance dans la manette, comme s’il tenait lui-même les 3 à 5 kg de l’arme.


Le saviez-vous ? La PS5 sera aussi la première console à proposer un mode "Légende" où les joueurs pourront incarner des figures historiques comme :

  • Hattori Hanzō : Le ninja légendaire, avec des armes furtives et des quêtes d’infiltration.
  • Miyamoto Musashi : Le dueliste invaincu, avec un style de combat basé sur la stratégie pure.
  • Date Masamune : Le "Dragon à un œil", spécialiste des batailles de masse.

Chaque personnage aura son odachi personnalisé, avec des statistiques et des mouvements uniques. Une façon de mélanger histoire et gameplay qui rappelle Assassin’s Creed Valhalla, mais avec une profondeur martiale bien plus poussée.

2025 : L’Année où les Sabres S’Affrontent

Ghost of Yōtei sortira le 2 octobre 2025, soit quelques semaines après Assassin’s Creed Shadows. Un duel culturel qui promet d’animer les débats :

Ghost of Yōtei Assassin’s Creed Shadows Focus sur la brutalité et les batailles de masse. Approche plus furtive et narrative. Odachi comme arme phare (lourde mais dévastatrice). Katana et shurikens pour un style agile. Mode Légende avec des figures historiques jouables. Mode "Mémoires" axé sur des récits fictifs.

Les deux jeux misent sur le Japon féodal, mais avec des philosophies opposées. Là où Ubisoft privilégie l’infiltration et l’histoire, Sucker Punch assume un combat frontal et spectaculaire. "On ne veut pas faire un jeu de ninja, mais un jeu de guerrier"*, précise le directeur créatif. Un parti pris qui pourrait séduire les fans de Dark Souls, mais aussi aliéner ceux qui préféraient l’approche poétique de Ghost of Tsushima.


Le mot de la fin revient à un testeur anonyme : "J’ai joué 30 minutes à la pré-alpha, et j’ai déjà mal aux bras. Mais quel frisson quand j’ai balayé une dizaine de soldats d’un seul coup ! Si Sucker Punch garde cette intensité, Ghost of Yōtei va réécrire les règles du soulslike."*

Derrière l’Épée : Les Secrets de Développement

Peu de gens le savent, mais l’idée d’intégrer l’odachi dans Ghost of Yōtei est née d’une visite improvisée au musée de l’Épée Japonaise à Tokyo. L’équipe de Sucker Punch, en recherche d’inspiration pour la suite de Ghost of Tsushima, est tombée sur une réplique du Ōdachi de Masamune – une lame mythique longue de 1,80 mètre. "On a tous eu la même réaction : ‘Pourquoi personne n’a encore fait ça dans un jeu ?’"*, raconte un designer.

Le défi technique était de taille : recréer le mouvement réaliste d’une épée aussi lourde sans sacrifier la fluidité du gameplay. La solution ? Un système de "poids dynamique" où la vitesse de Jin diminue progressivement s’il enchaîne trop de coups, forçant le joueur à gérer son endurance. Une mécanique qui ajoute une couche de réalisme tactique, mais qui a failli être abandonnée en cours de développement. "Les testeurs trouvaient ça trop punitif au début"*, avoue un développeur. Finalement, l’équipe a ajusté la courbe de difficulté pour trouver le juste équilibre entre simulation et plaisir de jeu.

Autre détail insolite : les bruits de l’odachi ont été enregistrés en frappant une vraie lame contre des armures anciennes, puis mixés avec des sons de vent violent pour accentuer l’effet de puissance. Résultat ? Un "whoosh" caractéristique qui donne l’impression que l’épée fend l’air lui-même.

Entre brutalité inégalée, innovations techniques et hommage historique, Ghost of Yōtei se profile comme le soulslike le plus ambitieux de 2025. L’odachi n’est pas qu’une arme – c’est une déclaration de guerre aux conventions du genre. Reste à voir si les joueurs adhéreront à cette philosophie du tout-puissant, ou si certains regretteront la grâce du katana. Une chose est sûre : avec son mode Légende, son realisme physique et son exclusivité PS5, Sucker Punch a toutes les cartes en main pour faire trembler Assassin’s Creed Shadows... et peut-être même Elden Ring.

À marquer dans vos agendas : le 2 octobre 2025. Ce jour-là, les champs de bataille virtuels du Japon féodal vont devenir un carnage – et vous tiendrez l’arme du chaos.

L'Avis de la rédaction
Par Celtic
L’odachi dans *Ghost of Yōtei*, c’est le genre d’arme qui fait **trembler les *dobé*** avant même que tu ne la sorties. Sucker Punch a compris une chose : si tu veux que les joueurs se sentent comme des dieux de guerre, il faut leur donner un bout de métal assez long pour **faire de l’ombre à un immeuble**. Le problème ? Après avoir goûté à la joie de fendre trois mecs en un swing, retourner au katana, ce sera comme passer d’un marteau-pilon à une cuillère en plastique. **Fatalement**, certains râleront que c’est trop *brute* – mais les vrais samouraïs savent bien qu’une lame, ça se choisit avec les tripes, pas avec un tableau Excel. *"La finesse, c’est pour les poètes. Moi, je veux voir voler des membres."* — Basara, probablement.

Ils en parlent aussi

Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic