Actualité

LEGO *Animal Crossing* : le musée de Sócrates en 543 pièces, un hommage interactif et nostalgique
Actualité

Il y a 47 jours

LEGO *Animal Crossing* : le musée de Sócrates en 543 pièces, un hommage interactif et nostalgique

Un chef-d'œuvre en briques pour les 10 ans de *New Leaf* : le musée d’*Animal Crossing* s’invite chez LEGO

Avec **543 pièces méticuleusement conçues**, ce set LEGO rend hommage au **musée de Sócrates**, cœur culturel d’*Animal Crossing*. Entre **vitrines articulées** reproduisant les fossiles emblématiques (dont le **squelette de Tricératops**), le **café *El Alpiste*** enfin valorisé, et des **figurines ultra-détaillées** de Lili et Sócrates, ce modèle allie **fidélité au jeu** et **expérience de construction immersive**.
Pensé pour les **collectionneurs** comme pour les joueurs nostalgiques des **10 ans de *New Leaf***, il intègre des **mécanismes ludiques** inspirés du gameplay : fouilles archéologiques, dons d’insectes, ou reconfiguration des espaces comme dans le jeu. Un équilibre parfait entre **hommage contemplatif** et **interactivité**, dans la lignée des sets cultes *LEGO Ideas* (NES, Game Boy), mais en plus accessible.

A retenir :

  • 543 pièces pour reconstruire le musée de Sócrates, avec ses vitrines modulables et son aquarium pixelisé fidèle au style *low-poly* du jeu.
  • Figurines exclusives : Sócrates (avec ses lunettes) et Lili (robe à fleurs), accompagnées d’accessoires iconiques comme la pelle ou le coxis de Tricératops.
  • Interactivité poussée : murs articulés pour agrandir le musée, vitrines ouvrables pour "donner" des fossiles, et même une zone de fouilles miniature.
  • Le café *El Alpiste* enfin mis en lumière, avec sa machine à café et ses tables – un clin d’œil aux joueurs qui y passaient des heures virtuelles.
  • Célébration des 10 ans de *New Leaf* : un set conçu pour les fans, alliant nostalgie, détails cultes et plaisir de montage (niveau de difficulté idéal pour les 12+).
  • Comparaison avec d’autres sets *LEGO Ideas* : plus accessible que le NES (2 646 pièces) mais tout aussi symbolique pour les amateurs de gaming.
  • Dimensions optimisées (25 cm de large) : assez imposant pour impressionner, assez compact pour trôner sur une étagère.

Quand LEGO capture l’âme contemplative d’*Animal Crossing*

Il y a des collaborations qui semblent évidentes avec le recul. Celle entre Nintendo et LEGO, initiée avec les sets *Super Mario*, en fait partie. Mais qui aurait parié sur un hommage en briques au… musée d’*Animal Crossing* ? Pourtant, c’est bien ce lieu paisible, où l’on dépose fossiles et insectes sous l’œil bienveillant de Sócrates, qui devient le cœur de ce nouveau set de 543 pièces. Un choix audacieux, mais ô combien judicieux pour célébrer les 10 ans d’*Animal Crossing: New Leaf* (sorti en 2012 au Japon, 2013 en Europe).

Contrairement aux sets précédents, centrés sur les maisons des villageois (comme celui de *Tom Nook* ou *Isabelle*), ce modèle mise sur une expérience immersive et interactive. Ici, pas de course effrénée comme dans *LEGO Super Mario* : on prend son temps pour reconstruire les vitrines, y placer un papillon Morpho bleu ou le crâne de T-Rex, puis siroter un café virtuel à *El Alpiste*. Une philosophie 100% *Animal Crossing* : "Prenez votre temps, savourez chaque détail."

D’ailleurs, ce set arrive à point nommé. Alors que *New Horizons* (2020) a relancé la franchise auprès d’un public plus large, les fans de la première heure – ceux qui ont connu *New Leaf* sur 3DS – y verront un hommage touchant à leurs souvenirs. Et pour les nouveaux joueurs, une porte d’entrée vers l’univers riche et apaisant de la série.


Sócrates et Lili : des figurines qui valent de l’or (ou des clochettes !)

Si le musée est la star du set, les deux figurines exclusives ne sont pas en reste. Sócrates, avec ses lunettes rondes et son air savant, et Lili la grenouille, vêtue de sa robe à fleurs signature, sont reproduites avec un niveau de détail bluffant. Les expressions faciales, les accessoires (comme le livre ancien de Sócrates), voire la texture des vêtements : tout y est pour ravir les puristes.

Mais c’est dans les accessoires que le set révèle toute sa richesse. On y trouve :

  • Le squelette complet de Tricératops, pièce maîtresse du musée dans le jeu, ici reconstitué en briques avec une fidélité surprenante.
  • Un aquarium pixelisé peuplé de poissons stylisés, rappelant l’esthétique *low-poly* de la série.
  • Des insectes et fossiles miniatures (papillon, scarabée, coxis) à placer dans les vitrines, comme dans le jeu.
  • Une pelle en brique, pour "déterrer" les fossiles… ou simplement pour le plaisir de jouer avec !

Petit détail qui a son importance : les dimensions des figurines sont cohérentes avec l’échelle du musée, évitant l’effet "décalage" que l’on retrouve parfois dans d’autres sets LEGO. Ici, Lili peut vraiment "tenir" le café à *El Alpiste*, et Sócrates surveiller ses collections depuis son perchoir. Une attention à la cohérence qui fait toute la différence.


*El Alpiste* : le café oublié qui vole enfin la vedette

Dans *Animal Crossing*, le café *El Alpiste* est souvent relégué au rang de parent pauvre du musée. On y passe pour boire un latte ou discuter avec les villageois, mais rarement pour s’y attarder. Ce set LEGO répare cette injustice en lui consacrant un espace entier, avec :

  • Une machine à café détaillée, inspirée des modèles rétro du jeu.
  • Des tables et chaises en bois, reproduisant l’ambiance chaleureuse du lieu.
  • Un comptoir où l’on imagine aisément Lili servir des boissons aux villageois.

C’est d’ailleurs l’un des points forts de ce set : il métamorphose l’ordinaire en extraordinaire. Qui aurait cru qu’un simple café virtuel puisse devenir une pièce maîtresse d’une collection LEGO ? Pourtant, en le voyant assemblé, on se surprend à revivre des souvenirs : les discussions avec *Kéké Laglisse*, les *gâteaux d’anniversaire* partagés, ou même les *concours de pêche* organisés depuis le comptoir.

Preuve que les concepteurs ont compris l’essence d’*Animal Crossing* : ce n’est pas l’action qui compte, mais les petits moments de vie. Et ce café, avec ses 25 cm de large une fois monté, en devient le symbole.


Des mécanismes ludiques qui prolongent l’aventure

Ce qui distingue ce set des autres collaborations *LEGO x Nintendo*, c’est son approche résolument interactive. Ici, on ne se contente pas d’admirer : on joue. Voici comment :

  • Les murs articulés : comme dans le jeu, où le musée s’agrandit au fil des dons, les parois du set peuvent être reconfigurées pour ajouter de nouvelles vitrines.
  • Les vitrines ouvrables : on y dépose fossiles et insectes, reproduisant le geste de "don" à Sócrates. Un détail qui ravira les perfectionnistes.
  • La zone de fouilles : avec la pelle fournie, on peut "déterrer" le coxis de Tricératops, comme dans les excavations du jeu.
  • La modularité : café, aquarium et salles d’exposition peuvent être démontés et réassemblés séparément, pour varier les plaisirs.

Contrairement aux sets *LEGO Super Mario* (qui misent sur l’électronique et les capteurs), celui-ci privilégie une interactivité manuelle et narrative. Pas besoin de piles ou d’applications : c’est l’imagination qui fait vivre le musée. Une approche qui rappelle les sets *LEGO Ideas* comme le *NES* ou la *Game Boy*, où la nostalgie et le plaisir de construction priment sur les gadgets.

Autre atout : le niveau de difficulté. Avec ses 543 pièces, le set est accessible dès 12 ans, mais offre assez de complexité pour satisfaire les adultes. Les étapes de montage sont bien segmentées (café, aquarium, structure principale), évitant la frustration tout en gardant un défi stimulant. Comptez 3 à 4 heures pour un montage complet – un temps idéal pour s’immerger dans l’univers, comme une partie de jeu.


Derrière les briques : l’histoire d’une collaboration inattendue

Saviez-vous que ce set est né d’une idée de fan ? À l’origine, c’est un projet soumis sur LEGO Ideas (la plateforme où les créateurs proposent leurs concepts) qui a retenu l’attention. Le modèle initial, conçu par un joueur passionné, a été repris et affiné par les équipes LEGO et Nintendo pour aboutir à ce produit final.

Un processus qui explique certains choix audacieux, comme :

  • L’absence de personnages "obligatoires" (pas de Tom Nook ou Isabelle), pour se concentrer sur le musée et ses gardiens (Sócrates et Lili).
  • La reproduction fidèle des couleurs du jeu, y compris les tons pastel parfois difficiles à transposer en briques.
  • L’inclusion d’éléments "cachés", comme la porte secrète derrière le café, référence à un easter egg de *New Leaf*.

Autre anecdote : les concepteurs ont étudié des captures d’écran du jeu pour reproduire les angles de caméra et les perspectives. Résultat, le musée en LEGO donne l’impression d’être sorti tout droit de l’univers pixelisé, avec ses proportions légèrement déformées (typiques du style *Animal Crossing*). Un travail de fourmi pour un rendu magique.

Enfin, ce set s’inscrit dans une stratégie plus large de LEGO, qui mise de plus en plus sur les licences gaming. Après *Super Mario*, *Sonic*, ou *Minecraft*, *Animal Crossing* prouve que la marque danoise sait capturer l’émotion derrière les jeux, pas seulement leur action. Une tendance qui devrait ravir les collectionneurs… et faire trembler leurs portefeuilles !


Comparaisons et alternatives : où se situe ce set ?

Pour les indécis, voici comment ce *LEGO Animal Crossing* se positionne face à d’autres références :

  • Vs. LEGO Super Mario : Moins dynamique (pas de capteurs), mais plus contemplatif et détaillé. Idéal pour les fans de décoration.
  • Vs. LEGO NES (2 646 pièces) : Bien plus accessible (en taille et en prix), mais tout aussi symbolique pour les gamers.
  • Vs. LEGO Minecraft : Moins "cubique", avec des courbes et détails qui rappellent le style *low-poly* du jeu.
  • Vs. Autres sets *Animal Crossing* (maisons de villageois) : Plus interactif et modulable, avec une vraie dimension "jeu".

Côté prix (environ 60-70€), il se situe dans la moyenne des sets LEGO de cette taille, avec un rapport qualité-prix excellent compte tenu de la licence et des détails exclusifs. Pour les collectionneurs, c’est un must-have ; pour les parents, un cadeau malin qui allie créativité et référence gaming.

Petit bémol cependant : certains auront peut-être aimé voir plus de personnages (où est *Blathère*, le paresseux poète ?) ou des éléments extérieurs (comme la fontaine du village). Mais avec 543 pièces, il fallait faire des choix – et ceux-ci sont globalement pertinents.

Avec ce set, LEGO et Nintendo signent une collaboration aussi surprenante qu’aboutie. En choisissant de mettre en avant le musée de Sócrates – lieu emblématique mais rarement célébré – elles offrent aux fans bien plus qu’un simple objet de collection : une expérience sensorielle. Entre le cliquetis des briques qui s’assemblent, les souvenirs de parties qui resurgissent, et la fierté de voir le café *El Alpiste* prendre vie sous ses doigts, ce set transcende le simple jouet.

Pour les nostalgiques de *New Leaf*, c’est un voyage dans le temps ; pour les nouveaux joueurs, une invitation à découvrir l’univers chaleureux d’*Animal Crossing*. Et pour les collectionneurs, une pièce maîtresse qui trônera fièrement entre le LEGO NES et la Game Boy.
Reste une question : après le musée, quel autre lieu d’*Animal Crossing* méritera son hommage en briques ? La boutique des sœurs Able ? La plage avec Kapp’n ? Une chose est sûre : avec ce set, la barre est déjà placée très haut.

L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
*"Un musée en LEGO, c’est comme un café chez El Alpiste : on y entre pour 5 minutes, on en ressort 3h plus tard avec des clochettes en moins et un sourire en plus."* **Mais attention** – ce set est une *arnaque*… à votre temps libre. 543 pièces pour recréer l’ennui *zen* d’*Animal Crossing* ? Génial. **Cependant !** Où est le bouton pour *skip* le dialogue de Sócrates en mode LEGO ? *"Blablabla fossile…"* – même en briques, il radote. 🧱☕

Ils en parlent aussi

Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen