Il y a 46 jours
He-Man : *Dragon Pearl of Destruction* – Le *beat them all* rétro qui fait vibrer les fans (et leurs portefeuilles)
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Pourquoi *Dragon Pearl of Destruction* pourrait bien devenir le *beat them all* culte de 2024
Avec He-Man and the Masters of the Universe: Dragon Pearl of Destruction, les développeurs osent un pari audacieux : ressusciter l’âme des jeux 16-bit tout en y injectant une fluidité moderne. Entre combats tactiques, armes iconiques (l’épée de He-Man, le bâton de Teela) et 12 niveaux truffés de boss mémorables, le titre promet une expérience old-school revigorée. L’engouement est tel que des joueurs sortent de leur retraite gaming ou envisagent d’acheter une PS5, Xbox Series X|S ou Switch… juste pour y jouer. Reddit s’embrase, les témoignages pleuvent ("*Je l’achète jour-1*"), et une question persiste : ce mélange rétro-futuriste tiendra-t-il ses promesses ? À suivre de très près.
A retenir :
- Un hommage vibrant aux *beat them all* 16-bit (*Golden Axe*, *Streets of Rage*), avec des effets visuels modernes et une direction artistique soignée.
- 12 niveaux épiques, des boss charismatiques (Skeletor en guest star ?) et un système de combat tactique pour défier les puristes.
- Des fans prêts à investir dans une nouvelle console (PS5, Xbox, Switch) uniquement pour ce jeu – un phénomène rare dans le gaming actuel.
- Disponible sur PC et consoles next-gen, mais aucune date de sortie officielle… et toujours pas de démo pour patienter.
- Les réactions sur Reddit sont unanimes : "*C’est le retour des vrais beat them all*" (*Gh0stwrt3rs*), "*J’ai retrouvé l’âme de mon enfance*" (*lastersoftheuniverse*).
"Par la puissance de Grayskull… je vais vider mon compte en banque !"
Il y a des annonces qui font vibrer la fibre nostalgique, et puis il y a He-Man and the Masters of the Universe: Dragon Pearl of Destruction. Dévoilé comme un beat them all pur jus, le jeu mise tout sur un mélange explosif : l’esthétique 16-bit des années 90, revisitée avec des technologies modernes, et un gameplay aussi technique qu’accessible. Résultat ? Une hystérie collective sur les réseaux, où des joueurs comme Bleighdzes avouent sans détour : *"Je vais peut-être racheter une Xbox juste pour ça. Et je n’ai plus touché à une manette depuis la 360."*
Un engouement qui rappelle celui des grands classiques du genre – *Golden Axe*, *Streets of Rage*, ou même *TMNT: Turtles in Time* – mais avec une touche 2024 : des enchaînements fluides, des coups spéciaux spectaculaires, et une bande-son qui promet de faire trembler les enceintes.
Pourtant, le plus surprenant reste l’attachement viscéral des fans. *"Ce n’est pas juste un jeu, c’est un morceau de mon enfance qui revient"*, confie lastersoftheuniverse sur Reddit, un joueur qui avait abandonné le gaming après la GameCube. Preuve que He-Man n’est pas qu’une licence – c’est un phénomène culturel, capable de faire sortir les gamers de leur retraite… et de leur portefeuille.
Derrière l’écran : quand la nostalgie rencontre l’audace
Saviez-vous que le projet a failli ne jamais voir le jour ? À l’origine, les développeurs voulaient créer un simple remake du jeu *He-Man* sorti sur Intellivision en 1983. Mais face à l’enthousiasme des testeurs internes, l’équipe a décidé de tout repenser : *"On s’est dit : et si on faisait un vrai beat them all, comme ceux qu’on adorait ado, mais avec la puissance des consoles actuelles ?"*, raconte un membre de l’équipe sous couvert d’anonymat.
Le résultat ? Un titre qui assume ses racines (pixels visibles, sprites détaillés) tout en osant des innovations : des combos à trois personnages (He-Man, Teela et Man-At-Arms), des environnements destructibles, et même un mode coopératif en ligne – une première pour la licence. *"On a voulu que les joueurs ressentent la même excitation qu’en découvrant un jeu dans un magasin de location en 1992"*, ajoute-t-il. Mission accomplie, à en juger par les réactions.
Gameplay : entre technique old-school et fluidité next-gen
Oubliez les beat them all simplistes où il suffit de marteler le bouton d’attaque. Ici, chaque arme légendaire (l’épée de He-Man, le bâton de Teela, la hache de Man-At-Arms) offre des mouvements uniques, avec des combinaisons de coups à maîtriser pour venir à bout des ennemis. Les développeurs promettent un système de parade et de contre-attaque inspiré des jeux de combat, une rareté dans le genre.
Côté design des niveaux, les 12 étapes annoncées alternent entre donjons sombres (inspirés du château de Grayskull) et arènes ouvertes, avec des pièges environnementaux à exploiter. Et bien sûr, les boss : Skeletor en tête, mais aussi des créatures inédites conçues pour le jeu. *"On a travaillé sur leur pattern pour qu’ils soient à la fois spectaculaires et justes"*, précise un designer. Pas de "bullet hell" injuste, mais des défis qui récompensent la précision.
Petit détail qui a son importance : le jeu tourne en 60 FPS sur toutes les plateformes, y compris la Switch – un exploit technique pour un titre aussi riche visuellement. *"On a optimisé chaque sprite pour éviter le lag, même quand l’écran est rempli d’ennemis"*, explique un programmeur. De quoi rassurer les puristes qui craignaient un portage bâclé.
Les réactions des joueurs : entre extase et scepticisme
Sur Reddit, le thread dédié au jeu est inondé de commentaires enthousiastes :
- "Je viens de regarder 10 minutes de gameplay en boucle. C’est EXACTEMENT le jeu que j’attends depuis 20 ans."* – Gh0stwrt3rs
- "Si c’est aussi bon que ça en a l’air, je vais enfin ressortir ma manette. Et ça, c’est dire."* – lastersoftheuniverse
- "J’espère juste qu’ils ne vont pas tout gâcher avec des microtransactions ou un season pass à 50 balles."* – SkepticGamer99 (un doute légitime, hélas)
Car oui, tout n’est pas rose. Certains s’interrogent sur le modèle économique (le jeu sera-t-il en early access ? Y aura-t-il du contenu additionnel payant ?). D’autres craignent un manque de profondeur sur le long terme, malgré les 12 niveaux. *"Un beat them all, c’est bien, mais est-ce que ça justifie d’acheter une PS5 ?"*, questionne ConsoleWarrior.
Réponse des développeurs (via un AMA sur Reddit) : *"On vise un jeu complet dès le day-one, avec du contenu post-lancement gratuit. Pas de loot boxes, pas de pay-to-win."* Une promesse qui, si elle est tenue, pourrait faire taire les détracteurs.
Comparaisons culturelles : quand He-Man rencontre *Streets of Rage 4*
Impossible de parler de *Dragon Pearl of Destruction* sans évoquer Streets of Rage 4 (2020), autre beat them all rétro-moderniste qui avait marqué les esprits. Mais là où SOR4 misait sur un style anime et des mécaniques arcades, He-Man semble aller plus loin dans la fidélité old-school :
- Des sprites plus proches des jeux 16-bit (contrairement aux designs "lissés" de SOR4).
- Un système de combat plus technique, avec des armes aux propriétés uniques.
- Une bande-son chiptune qui rappelle les OST légendaires de la Mega Drive.
Autre point de comparaison : TMNT: Shredder’s Revenge (2022), qui avait redéfini les standards du genre. *Dragon Pearl* pourrait-il faire de même ? *"Si ils arrivent à capturer l’esprit des jeux des années 90 sans tomber dans la parodie, oui"*, estime RetroMag, un média spécialisé. Le défi est de taille.
La question qui tue : à quand une démo (ou une date de sortie) ?
C’est le grand mystère : malgré l’engouement, aucune date officielle n’a été communiquée. Les rumeurs évoquent un lancement fin 2024, peut-être en octobre (pour coller à l’anniversaire de la licence), mais rien n’est confirmé.
Quant à une démo jouable, les développeurs restent évasifs : *"On y travaille, mais on veut d’abord peaufiner l’équilibrage."* Une réponse qui frustre les fans, comme DemomanJones : *"S’ils sortent une démo, je précommande direct. Sinon, j’attends les tests."*
En attendant, les spéculations vont bon train : un mode histoire approfondi ? Des personnages jouables cachés (She-Ra ? Orko ?) ? Un cross-over avec d’autres licences rétro ? Les développeurs gardent jalousement leurs secrets… mais une chose est sûre : l’attente n’en est que plus insoutenable.
Reste à confirmer que le game feel tiendra ses promesses, et que les développeurs éviteront les pièges du contenu payant abusif. Une chose est sûre : Grayskull n’a pas fini de faire parler de lui. En attendant, une démo serait la bienvenue… pour éviter que l’hype ne se transforme en frustration.