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**The Shining : Les éditions limitées numérotées, des trésors pour collectionneurs enfin disponibles sur Amazon**
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Il y a 4 jours

**The Shining : Les éditions limitées numérotées, des trésors pour collectionneurs enfin disponibles sur Amazon**

Pourquoi ces éditions de The Shining font-elles déjà vibrer les collectionneurs ?

Amazon dévoile deux versions ultra-exclusives du chef-d’œuvre de Kubrick en 4K Blu-ray, alliant restauration technique impeccable, packaging d’artiste et contenus inédits. Entre l’édition standard à prix réduit et la Special Edition limitée à 6 000 exemplaires – avec son coffret en forme de boîte à cigares et ses affiches signées Matt Ferguson –, ces pièces rares s’arrachent déjà. Sans oublier leur compatibilité universelle, un atout majeur pour les cinéphiles du monde entier.

A retenir :

  • Deux éditions 4K Blu-ray disponibles : standard (48,86 $) et Special Edition limitée à 6 000 exemplaires (87,07 $), avec des réductions par rapport aux prix initiaux.
  • Packaging exceptionnel : coffret "cigar box" orné de Jack Torrance, affiches exclusives (réinterprétation moderne et hommages à Saul Bass), et 5 cartes personnages + 3 photos de tournage inédites.
  • Qualité technique irréprochable : master 2160p natif, Dolby Vision/HDR10+, son DTS-HD Master Audio 5.1, et bonus rares (documentaire de 35 min, commentaire audio de John Baxter et Garrett Brown).
  • Compatibilité universelle (sans restriction régionale) et livraison depuis Amazon UK, avec des délais déjà allongés face à la demande.
  • Poltergeist en duo : la même collection The Film Vault propose aussi une édition limitée du film de Tobe Hooper, avec un Steelbook et des visuels signés Vice Press.

Un coffret qui transcende le film : quand The Shining devient objet de culte

Imaginez tenir entre vos mains un morceau de l’Overlook Hotel. Pas une simple jaquette, mais un coffret en métal gravé, lourd de sens, où chaque détail raconte une histoire. C’est ce que propose l’édition spéciale de The Shining, conçue par Vice Press en collaboration avec Warner Bros. UK. Le boîtier, en forme de boîte à cigares – clin d’œil aux excès de Jack Torrance –, arbore en façade la silhouette menaçante du personnage, axe levé, sur fond de labyrinthe enneigé. À l’arrière, la machine à écrire mythique, avec son papier bloqué sur *"All work and no play..."*, reproduit jusqu’aux imperfections du texte dactylographié du film. Un niveau de précision qui rappelle les éditions d’art de Mondotees pour Le Labyrinthe de Pan, mais avec une cohérence narrative inégalée.

À l’intérieur, la surprise est totale. Deux affiche exclusives : l’une, signée Matt Ferguson & Florey, réinterprète le film avec un style graphique contemporain, tandis que l’autre rend hommage au visuel original de Saul Bass, jamais officiellement utilisé pour la sortie du film. Cinq cartes illustrées – Danny dans le couloir, les jumelles Grady, la porte "Redrum" – sont imprimées sur un papier texturé, évoquant les tirages vintage. Trois photos de tournage inédites complètent le tout, dont un cliché rare de Kubrick en pleine direction d’acteurs, cigarette au bec, l’œil rivé sur son écran. Même l’enveloppe des cartes reprend le motif de la machine à écrire, avec la phrase culte gravée à la perfection. "C’est comme si on tenait un morceau du film entre les doigts", confie un collectionneur sur Reddit, soulignant que "chaque élément a été pensé pour les fans obsessionnels".


Et le Steelbook ? Une pièce à part. Son design joue sur les contrastes : d’un côté, le labyrinthe de haies enneigées, de l’autre, la porte rouge sang avec le mot "Redrum" écrit à l’envers. Un acétate amovible permet même de masquer le titre, pour ceux qui préfèrent une étagère minimaliste. "On dirait un objet maudit, comme sorti tout droit de l’hôtel", s’enthousiasme un acheteur sur Twitter. Une expérience tactile qui justifie à elle seule le prix de 87,07 $ – surtout quand on sait que l’édition s’est vendue 100 $ chez Walmart, épuisée en quelques heures.

4K Blu-ray : une restauration qui fait justice à l’œuvre de Kubrick

Passons au cœur du sujet : la qualité technique. Le master 4K de The Shining, déjà salué depuis sa restauration en 2019, est ici proposé en 2160p natif, avec support Dolby Vision et HDR10+. Les couleurs – le rouge sang de l’ascenseur, le bleu glacial des couloirs – gagnent en profondeur, tandis que les ombres de l’Overlook Hotel révèlent des détails insoupçonnés. "On voit enfin les textures des murs, les imperfections des décors... C’est comme redécouvrir le film", explique un critique sur Blu-ray.com.

Côté son, le DTS-HD Master Audio 5.1 restitue l’atmosphère oppressante du film avec une précision chirurgicale. Les pas de Danny sur les parquets, le grincement de la porte de la chambre 237, ou encore le silence pesant avant l’apparition des jumelles Grady... "L’immersion est totale, presque inquiétante", note un audiophile. Les puristes apprécieront aussi les bonus répartis sur les deux disques : un commentaire audio de l’historien John Baxter et de Garrett Brown (l’inventeur du Steadicam, utilisé pour les plans iconiques du film), ainsi qu’un documentaire de 35 minutes sur la genèse du film, incluant des interviews d’époque de Kubrick et de l’équipe.


Un détail technique à souligner : contrairement à certaines éditions 4K, celle-ci n’impose aucune restriction régionale. Un atout majeur pour les collectionneurs internationaux, souvent frustrés par les limitations géographiques. "Enfin une version que je peux regarder en France sans bidouille !", se réjouit un utilisateur sur un forum dédié.

Poltergeist en miroir : quand The Film Vault double la mise

Si The Shining vole la vedette, il n’est pas seul dans cette troisième vague de The Film Vault. Poltergeist (1982), autre monument de l’horreur produit par Spielberg et réalisé par Tobe Hooper, bénéficie du même traitement de faveur. Deux éditions sont proposées : la Solus Steelbook (46,79 $) et la Special Edition (87,68 $), avec là encore un 4K Blu-ray sans zone et un Blu-ray 1080p en complément.

Les visuels, signés Vice Press, jouent sur les codes du film : la télévision statique, la main squelettique émergent d’un écran, ou encore la maison hantée vue de nuit. Les bonus incluent des documentaires sur le tournage (avec des anecdotes sur les effets spéciaux révolutionnaires de l’époque) et des interviews d’époque de Spielberg et Hooper. "C’est fascinant de voir comment ils ont créé les fantômes avec des mirages et des maquettes", commente un fan sur AVS Forum.


Une différence notable avec The Shining : la piste audio de Poltergeist reste en DTS-HD 5.1, sans le Master Audio qui sublime le film de Kubrick. Un choix qui déçoit certains, mais qui s’explique par l’absence de master audio original aussi abouti. "Dommage, mais le gain en image compense largement", tempère un collectionneur.

À noter : comme pour The Shining, ces éditions étaient jusqu’ici exclusives à Walmart, où elles se sont arrachées en quelques heures. La Special Edition y était proposée à 100 $, soit 12 % plus cher qu’aujourd’hui sur Amazon. Une aubaine, donc, même si les délais de livraison – déjà de deux semaines – laissent présager une rupture de stock imminente.

Derrière les coulisses : comment Vice Press a transformé des films en objets de collection

Le secret de ces éditions ? Un partenariat audacieux entre Warner Bros. UK et Vice Press, un studio britannique spécialisé dans les rééditions haut de gamme pour cinéphiles. Leur approche ? "Traiter chaque film comme une œuvre d’art totale, où le packaging fait partie de l’expérience", explique Tom Beasley, cofondateur de Vice Press, dans une interview à Empire Magazine.

Pour The Shining, l’équipe a passé des mois à étudier les archives du film. "On a analysé chaque photogramme des scènes cultes, comme celle de la machine à écrire, pour reproduire les moindres détails. Même la police de caractères est identique à celle du film !", révèle un designer du projet. Les affiches, quant à elles, sont le fruit d’une collaboration avec des artistes comme Matt Ferguson, connu pour ses réinterprétations de classiques (de Star Wars à Alien). "Kubrick était un perfectionniste. On voulait que notre édition le soit aussi".


Un défi de taille : concilier fidélité au film et originalité. "Certains fans voulaient une réplique exacte de l’affiche de 1980, mais on a préféré miser sur une approche moderne, tout en gardant l’esprit du film", précise Beasley. Résultat : un équilibre entre nostalgie et innovation, qui séduit aussi bien les collectionneurs puristes que les nouveaux amateurs.

Et le succès est au rendez-vous. Les éditions The Film Vault – qui incluent aussi des titres comme Blade Runner ou Alien – se vendent comme des petits pains. "On a sous-estimé la demande. Les stocks partent en quelques jours, même à 100 $ l’unité", avoue un responsable chez Warner. Preuve que pour les fans, ces éditions ne sont pas de simples DVD... mais des pièces de musée.

Faut-il craquer ? Le pour et le contre selon les collectionneurs

Les arguments pour :

  • Une qualité technique irréprochable : le master 4K et le son DTS-HD Master Audio font de cette édition la référence pour les décennies à venir.
  • Un packaging unique : entre le coffret "cigar box", les affiches et les cartes, c’est un objet de collection à part entière.
  • Des bonus exclusifs : le documentaire et le commentaire audio offrent un éclairage nouveau sur le tournage.
  • Pas de restriction régionale : un vrai plus pour les acheteurs internationaux.
  • Un prix raisonnable comparé aux éditions Walmart (jusqu’à 20 % moins cher sur Amazon).

Les réserves :

  • Un investissement : 87 $ pour la Special Edition reste un budget, même pour les passionnés.
  • Des stocks limités : les délais de livraison s’allongent, signe que les exemplaires s’épuisent vite.
  • Des bonus répartis : certains contenus sont sur le 4K, d’autres sur le Blu-ray, ce qui oblige à changer de disque.
  • Poltergeist en concurrence : ceux qui hésitent entre les deux films devront choisir... ou débourser près de 200 $.

Sur les réseaux, les avis sont partagés. "Pour moi, c’est l’édition définitive. J’ai vendu ma précédente version Blu-ray dès que j’ai vu ça !", s’enthousiasme un utilisateur. À l’inverse, un autre tempère : "C’est magnifique, mais est-ce que ça vaut vraiment le prix ? Après tout, le film reste le même...". Une question de passion, donc – et de portefeuille.

Entre restauration technique exemplaire, packaging d’artiste et contenus inédits, ces éditions de The Shining (et de Poltergeist) s’imposent comme des must-have pour les collectionneurs. Leur force ? Avoir transformé un simple support vidéo en expérience immersive, où chaque détail – du papier jauni des cartes à la gravure de la machine à écrire – raconte une histoire. Vice Press et Warner Bros. ont ici relevé un défi : rendre hommage à Kubrick sans tomber dans la simple nostalgie, en créant des objets qui dialoguent avec le film.

Reste une question : ces éditions résisteront-elles à l’épreuve du temps ? Avec des stocks qui fondent comme neige au soleil et des prix appelés à grimper sur le marché de l’occasion, une chose est sûre – ceux qui hésitent encore feront bien de se décider vite. Car comme le murmure l’Overlook Hotel... "Some places are like people: some shine, and some don’t." Et celles-ci, indiscutablement, brillent.

L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
### Un coffret qui transcende le film : quand The Shining devient objet de culte Imaginez tenir entre vos mains un morceau de l’Overlook Hotel. Pas une simple jaquette, mais un coffret en métal gravé, lourd de sens, où chaque détail raconte une histoire. C’est ce que propose l’édition spéciale de The Shining, conçue par Vice Press en collaboration avec Warner Bros. UK. Le boîtier, en forme de boîte à cigares – clin d’œil aux excès de Jack Torrance –, arbore en façade la silhouette menaçante du personnage, axe levé, sur fond de labyrinthe enneigé. À l’arrière, la machine à écrire mythique, avec son papier bloqué sur *"All work and no play..."*, reproduit jusqu’aux imperfections du texte dactylographié du film. Un niveau de précision qui rappelle les éditions d’art de Mondotees pour Le Labyrinthe de Pan, mais avec une cohérence narrative inégalée. ### 4K Blu-ray : une restauration qui fait justice à l’œuvre de Kubrick Le master 4K de The Shining, déjà salué depuis sa restauration en 2019, est ici proposé en 2160p natif, avec support Dolby Vision et HDR10+. Les couleurs – le rouge sang de l’ascenseur, le bleu glacial des couloirs – gagnent en profondeur, tandis que les ombres de l’Overlook Hotel révèlent des détails insoupçonnés. "On voit enfin les textures des murs, les imperfections des décors... C’est comme redécouvrir le film", explique un critique sur Blu-ray.com. ### Poltergeist en miroir : quand The Film Vault double la mise Si The Shining vole la vedette, il n’est pas seul dans cette troisième vague de The Film Vault. Poltergeist (1982), autre monument de l’horreur produit par Spielberg et réalisé par Tobe Hooper, bénéficie du même traitement de faveur. Deux éditions sont proposées : la Solus Steelbook (46,79 $) et la Special Edition (87,68 $), avec là encore un 4K Blu-ray sans zone et un Blu-ray 1080p en complément. ### Derrière les coulisses : comment Vice Press a transformé des films en objets de collection Le secret de ces éditions ? Un partenariat audacieux entre Warner Bros. UK et Vice Press, un studio britannique spécialisé dans les rééditions haut de gamme pour cinéphiles. Leur approche ? "Traiter chaque film comme une œuvre d’art totale, où le packaging fait partie de l’expérience", explique Tom Beasley, cofondateur de Vice Press, dans une interview à Empire Magazine. ### Faut-il craquer ? Le pour et le contre selon les collectionneurs Les arguments pour : Une qualité technique irréprochable, un packaging unique, des bonus exclusifs, pas de restriction régionale, un prix raisonnable comparé aux éditions Walmart. Les réserves : Un investissement, des stocks limités, des bonus répartis, Poltergeist en concurrence. Sur les réseaux, les avis sont partagés. "Pour moi, c’est l’édition définitive. J’ai vendu ma précédente version Blu-ray dès que j’ai vu ça !", s’enthousiasme un utilisateur. À l’inverse, un autre tempère : "C’est magnifique, mais est-ce que ça vaut vraiment le prix ? Après tout, le film reste le même...". Une question de passion, donc – et de portefeuille.

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen