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Yakuza 0 Director’s Cut : L’offre ultime à ne pas manquer sur Switch 2 (et bientôt ailleurs ?)
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Il y a 15 jours

Yakuza 0 Director’s Cut : L’offre ultime à ne pas manquer sur Switch 2 (et bientôt ailleurs ?)

Pourquoi Yakuza 0 Director’s Cut est-il l’une des meilleures affaires gaming de l’année ?

Découvrez comment cette exclusivité temporaire Switch 2, proposée à 37 $ seulement (-26 %), révolutionne l’expérience originale avec des scènes inédites, un doublage anglais retravaillé, et des mini-jeux aussi profonds que des jeux indépendants. Plongez dans le Japon des années 80, entre néons, *city pop* et guerres de clans, avec deux héros aux destins opposés : Kiryu, le yakuza idéaliste, et Majima, le paria imprévisible. Une aventure narrative et ludique sans équivalent, à saisir avant une éventuelle sortie PS5/PC en 4K d’ici décembre.

A retenir :

  • Prix historique : 37 $ (-26 %) pour une exclusivité Switch 2 enrichie de contenus inédits (scènes, doublage anglais, mode coopératif).
  • Deux héros, deux styles : Kiryu (combat méthodique) vs Majima (chaos et prises de risque), dans un Japon des années 80 reconstitué avec une précision documentaire.
  • Mini-jeux monumentaux : Real Estate Royale (stratégie immobilière) et Sunshine Cabaret Club (gestion de nightclub), aussi addictifs qu’un jeu solo.
  • Exclusivité temporaire ? Des rumeurs évoquent une sortie PS5/PC en 4K/60 FPS dès décembre, avec des temps de chargement réduits.
  • Innovation technique : système Game-Key Card (revente possible) et mode coopératif Red Light Raid, une première pour la série.

37 $ pour une épopée criminelle légendaire : l’aubaine qui fait trembler les joueurs

Imaginez déambuler dans les ruelles étroites de Kamurocho, en 1988, alors que les néons des *pachinko* clignotent au rythme des tubes *city pop* et que l’odeur des *yakitori* se mêle à celle de la poudre. C’est cette atmosphère envoûtante, à la fois nostalgique et brutale, que Yakuza 0 Director’s Cut restitue avec une fidélité inédite. Et aujourd’hui, ce chef-d’œuvre narratif et ludique s’offre à vous pour 37 $ seulement chez Amazon et Walmart, soit une réduction de 26 % par rapport à son prix de lancement en juin sur Nintendo Switch 2. Une aubaine, d’autant que cette version exclusive temporaire intègre des scènes supplémentaires, un doublage anglais entièrement retravaillé, et même un mode coopératif en ligne : le *Red Light Raid*.

Mais attention, cette offre a un goût de dernière chance. Selon des fuites crédibles, relayées par des insiders comme Midori, Sega préparerait une sortie multiplateforme (PS5/PC) dès décembre, avec des améliorations techniques majeures : 4K/60 FPS, des temps de chargement divisés par deux, et peut-être même des contenus supplémentaires. Une stratégie classique pour la licence, comme l’avait prouvé Yakuza: Like a Dragon, d’abord exclusif Xbox avant de débarquer sur PS5 et Steam. Pour les joueurs Switch 2, c’est donc maintenant ou jamais : cette version, bien que limitée techniquement, reste la seule à proposer le système Game-Key Card, une carte physique permettant de revendre le jeu après téléchargement – un avantage rare à l’ère du tout-dématérialisé.


« C’est le prix le plus bas depuis sa sortie, et avec les rumeurs PS5/PC, je ne donnerais pas cher de sa valeur d’ici Noël. »Julien, modérateur sur le forum ResetEra, spécialisé dans les bonnes affaires gaming.

1988, ou comment Sega a recréé l’âge d’or (et la face sombre) du Japon

Yakuza 0 n’est pas qu’un simple beat’em up : c’est une machine à remonter le temps. Le jeu plonge le joueur dans le Japon de la bulle économique, où l’argent coule à flots, mais où les rues de Tokyo et Osaka regorgent aussi de misère et de violence. Chaque détail compte : des bornes d’arcade *Space Harrier* aux téléphones à cadran, en passant par les enseignes au néon inspirées de celles de Kabukichō, le quartier chaud de Shinjuku. Même la bande-son, composée de morceaux originaux et de licences *city pop* (comme « Plastic Love » de Mariya Takeuchi), renforce cette immersion.

Pourtant, derrière cette façade clinquante se cache un récit noir et poignant. Le jeu suit deux parcours entrelacés : celui de Kazuma Kiryu, jeune yakuza idéaliste prêt à tout pour protéger les siens, et celui de Goro Majima, un ancien tueur à gages devenu paria, rongé par la folie et la trahison. Leurs histoires, ponctuées de sacrifices déchirants et de retournements imprévisibles, explorent des thèmes universels : l’honneur, la rédemption, et la quête d’identité dans une société en pleine mutation.

Le génie de Sega réside dans cette dualité permanente :

  • Kiryu incarne la discipline : ses combats, inspirés des arts martiaux, sont méthodiques et puissants, comme son style de vie.
  • Majima, lui, représente le chaos : il enchaîne les coups de couteau, les prises de risque, et même des mouvements de danse improvisés pour désorienter ses adversaires.
Cette opposition se retrouve jusqu’aux quêtes annexes : là où Kiryu aide une vieille dame à retrouver son chat, Majima se retrouve impliqué dans un trafic d’armes ou une guerre de gangs. Une richesse narrative qui fait de Yakuza 0 bien plus qu’un jeu de baston : une expérience humaine.

Des mini-jeux si profonds qu’ils pourraient être des jeux à part entière

Si l’histoire principale est captivante, c’est souvent dans les activités secondaires que Yakuza 0 Director’s Cut révèle toute sa folie. Prenez Real Estate Royale : après quelques heures de jeu, Kiryu hérite d’un terrain à Osaka et se lance dans l’immobilier. Objectif ? Acheter des bâtiments, chasser les locataires indésirables (à coups de poing, bien sûr), et monter un empire pour contrer un syndicat de milliardaires. Un mélange de stratégie économique et de combat de rue qui peut vous occuper des dizaines d’heures.

De son côté, Majima gère le Sunshine Cabaret Club, un nightclub où il doit recruter des hôtesses, former des danseuses, et affronter des gangs rivaux pour étendre son influence. Entre les auditions loufoques (où une candidate peut se révéler être une espionne) et les bastons épiques en pleine piste de danse, ce mini-jeu est un concentré de folie japonaise. Et comme si cela ne suffisait pas, Sega a ajouté le mode Red Light Raid, une expérience coopérative en ligne où trois joueurs incarnent des personnages emblématiques (comme Shun Akiyama de *Yakuza 4*) pour nettoyer les quartiers chauds de Kamurocho. Une touche moderne qui contraste avec l’ambiance rétro, mais qui s’intègre parfaitement.

Ces activités ne sont pas de simples distractions : elles approfondissent l’univers et offrent des récompenses utiles (argent, objets rares, compétences). Preuve que Sega a compris l’art de récompenser la curiosité du joueur. Et avec le doublage anglais (une première pour cette *Director’s Cut*), même les joueurs allergiques aux sous-titres peuvent profiter de dialogues ciselés et pleins d’humour.


« J’ai passé plus de temps à gérer mon cabaret qu’à faire l’histoire principale. Et je ne regrette rien. »Alex, streamer spécialisé dans les jeux japonais sur Twitch.

Exclusivité Switch 2 : une fenêtre de tir à ne pas rater (ou à patienter ?)

Voici le dilemme qui agite la communauté : faut-il sauter sur cette offre Switch 2, ou attendre une éventuelle version PS5/PC ? Les arguments pour la Switch 2 sont solides :

  • Prix imbattable : 37 $ pour une aventure de 50 à 100 heures, selon votre investissement dans les quêtes secondaires.
  • Exclusivité temporaire : le jeu pourrait disparaître des rayons une fois la version multiplateforme annoncée.
  • Game-Key Card : la possibilité de revendre le jeu après l’avoir téléchargé, un avantage rare.
  • Portabilité : jouer à Yakuza 0 en mode portable, dans le métro ou en voyage, est un luxe que ni la PS5 ni le PC ne peuvent offrir.

À l’inverse, les joueurs prêts à patienter jusqu’en décembre pourraient bénéficier de :

  • Graphismes 4K/60 FPS : la Switch 2, malgré ses améliorations, reste limitée techniquement.
  • Temps de chargement réduits : un gain de confort non négligeable pour un jeu aussi dense.
  • Promotions de lancement : les sorties PC s’accompagnent souvent de réductions agressives (jusqu’à -33 %, comme pour *Like a Dragon: Infinite Wealth*).

Le choix dépend donc de vos priorités :

  • Si vous voulez jouer maintenant, à moindre coût, et profiter de la portabilité, la Switch 2 est idéale.
  • Si vous privilégiez la qualité technique et que vous pouvez attendre, la version PS5/PC sera sans doute la meilleure option.
Une chose est sûre : avec ou sans 4K, Yakuza 0 Director’s Cut reste une expérience inoubliable, un mélange unique de drame criminel, d’humour déjanté et de profondeur narrative. Et à 37 $, c’est tout simplement l’une des meilleures affaires de l’année.


« Honnêtement, peu importe la plateforme. Ce jeu est un monument. Si vous ne l’avez pas encore joué, arrêtez de lire et achetez-le. »Nicolas, rédacteur en chef du site JeuxVideo.fr, dans son test de 2020 (note : 19/20).

Le mot de la fin : un jeu qui transcende les genres (et les époques)

Yakuza 0 Director’s Cut est bien plus qu’un simple remaster : c’est une lettre d’amour au Japon des années 80, une ode à la rédemption, et une démonstration de ce que peut offrir un jeu vidéo en termes de diversité. Entre les combats épiques, les mini-jeux addictifs, et une histoire qui vous hantera longtemps, Sega signe ici un titre intemporel.

Et avec cette offre à 37 $, il n’y a plus aucune excuse pour ne pas plonger dans l’univers de Kiryu et Majima. Que vous soyez un fan de la série ou un néophyte, ce jeu vous marquera. Alors, prêt à enfiler votre costume et à arpenter les rues de Kamurocho ? L’aventure vous attend.

À 37 $, Yakuza 0 Director’s Cut sur Switch 2 n’est pas une simple bonne affaire : c’est une porte d’entrée vers l’une des sagas les plus riches du jeu vidéo. Entre son scénario poignant, ses mini-jeux monumentaux, et son ambiance années 80 reconstituée avec amour, ce titre prouve qu’un jeu peut être à la fois profond et déjanté, violent et touchant. Les rumeurs d’une sortie PS5/PC en décembre ajoutent une touche d’urgence : si vous avez une Switch 2, c’est maintenant ou jamais. Pour les autres, la patience pourrait être récompensée par une version technique encore plus aboutie. Une chose est sûre : Yakuza 0 n’est pas un jeu qu’on oublie. C’est une expérience qui vous changera.
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"37 $ pour une épopée criminelle légendaire : l’aubaine qui fait trembler les joueurs"

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic