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Avengers: Doomsday – Le Retour de Steve Rogers Divise les Fans : Un Bonheur Menacé par Doctor Doom ?
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Il y a 37 jours

Avengers: Doomsday – Le Retour de Steve Rogers Divise les Fans : Un Bonheur Menacé par Doctor Doom ?

Pourquoi le retour de Steve Rogers dans Avengers: Doomsday pourrait tout changer… ou tout briser ?

Les images filtrées du tournage, révélant une maison des années 1950 à Windsor Park, suggèrent un retour inattendu du Capitaine Amérique (Chris Evans) auprès de Peggy Carter (Hayley Atwell) – un épilogue que les fans croyaient définitivement scellé dans Endgame. Mais dans un MCU en proie aux crises multiverselles, ce "bonheur volé" pourrait bien attirer l’attention de Doctor Doom, pour qui les anomalies temporelles sont des failles à éradiquer. Entre nostalgie et menace existentielle, ce retour pose une question brûlante : Marvel ose-t-il réécrire l’une des fins les plus poétiques de la saga Infinity ?

A retenir :

  • Le mystère du retour de Steve Rogers : Comment a-t-il réintégré la timeline principale après sa vie avec Peggy Carter ? Les théories pullulent depuis 2021.
  • Doctor Doom vs Capitaine Amérique : Un choc idéologique inévitable ? Doom, gardien de l’ordre multiversel, pourrait voir dans leur histoire une anomalie à corriger.
  • Un héritage en danger : Si cette timeline est effacée, la légitimité de Sam Wilson (nouveau Capitaine) et le sacrifice de Tony Stark pourraient être remis en cause.
  • Le décor de Windsor Park : Une reconstitution minutieuse des années 1950, en contraste total avec l’esthétique high-tech de Doom – un symbole de leur incompatibilité.
  • Sortie le 18 décembre 2026 : Faut-il s’attendre à un twist radical ou à un simple clin d’œil marketing ? Les fans sont déchirés.

"Ce n’était pas censé arriver" : Quand le passé du Capitaine resurgit

Les réseaux sociaux ont explosé après la fuite d’images tournées à Windsor Park, un quartier résidentiel transformé pour les besoins d’Avengers: Doomsday. Parmi les clichés : une maison au style Tudor Revival, des voitures Ford Fairlane des années 1950, et une ambiance rétro qui ne laisse aucun doute. Les fans ont immédiatement reconnu le décor où Steve Rogers, après avoir rendu les Pierres d’Infinité dans Endgame, avait choisi de rester pour vivre une existence paisible avec Peggy Carter.

Pourtant, cette révélation a semé la discorde. D’un côté, les nostalgiques s’enthousiasment à l’idée de revoir Chris Evans et Hayley Atwell dans leurs rôles emblématiques. De l’autre, une partie du public s’insurge : *"Endgame avait offert une conclusion parfaite, pourquoi y toucher ?"*, résume un commentaire viral sur Reddit. Le problème ? Dans un MCU où le multivers est en crise permanente (merci Loki et Doctor Strange 2), ce bonheur apparent pourrait bien être une anomalie que Doctor Doom ne tolérera pas.

Mais alors, pourquoi Marvel prendrait-il ce risque ? La réponse pourrait tenir en un mot : cohérence. Depuis 2021, une question taraude les fans : comment Steve Rogers a-t-il pu revenir dans la timeline principale pour passer son bouclier à Sam Wilson, s’il avait choisi de rester dans le passé ? Joe Russo avait évoqué une *"nécessité"*, sans jamais préciser laquelle. Doomsday pourrait enfin lever le voile… ou plonger le MCU dans un chaos temporel encore plus profond.


"Si Doom considère que le voyage temporel de Steve a créé une faille, il pourrait très bien décider de l’effacer. Et là, c’est toute la saga Infinity qui serait remise en question." — Marc Bernardin, journaliste spécialisé Marvel (The Hollywood Reporter)

Doctor Doom : Le Juge, le Bourreau… et le Paradoxe

Victor von Doom n’est pas un méchant comme les autres. Dans les comics, il incarne l’ordre absolu, quitte à écraser toute forme de liberté individuelle. Son arrivée dans le MCU, longtemps attendue, tombe à point nommé : après les désastres causés par les voyages temporels (Avengers: Endgame) et les incursions multiverselles (Spider-Man: No Way Home, Loki), le Seigneur de Latveria pourrait bien jouer les arbitres.

Or, la "retraite" de Steve Rogers est précisément le genre d’anomalie que Doom déteste :

  • Elle est née d’un voyage temporel non autorisé (même si les Avengers avaient "remis les pierres à leur place").
  • Elle a modifié le cours de l’histoire : dans la timeline originale, Peggy Carter a épousé un autre homme et a eu des enfants.
  • Elle repose sur un paradoxe émotionnel : comment Steve a-t-il pu vieillir dans le passé et revenir jeune dans le présent pour passer le bouclier ?

Les enjeux sont colossaux. Si Doom décide d’effacer cette timeline, les conséquences seraient catastrophiques :

  • La mort de Tony Stark perdrait son sens : sans le snap final de Steve (avec toutes les pierres), Iron Man serait mort pour rien.
  • Sam Wilson n’aurait plus aucune légitimité en tant que nouveau Capitaine Amérique, son bouclier étant issu d’une réalité "illégitime".
  • Le sacrifice de Natasha Romanoff (pour obtenir l’Âme) pourrait aussi être remis en cause, si la timeline est réinitialisée.

Pourtant, certains fans voient là une opportunité narrative géniale. "Et si Doom avait raison ? Et si le bonheur de Steve était effectivement une faille dans l’équilibre cosmique ?" s’interroge Laura Prudom, critique chez IGN. Une théorie audacieuse veut même que Peggy Carter soit secrètement une variante de Doom elle-même – une idée farfelue, mais qui montrerait à quel point Marvel aime jouer avec les attentes.

"Un décor qui parle" : Quand l’esthétique révèle le conflit

Le choix de Windsor Park pour tourner ces scènes n’est pas anodin. Le quartier, connu pour ses maisons cossues des années 1950, offre un contraste saisissant avec l’univers de Doom :

  • Côté Rogers : Des couleurs chaudes, des voitures anciennes, une ambiance leave it to Beaver – le rêve américain idéalisé.
  • Côté Doom : Des décors futuristes, des armures high-tech, une esthétique steampunk dystopique (comme dans Fantastic Four: Rise of the Silver Surfer).

Ce choc visuel n’est pas qu’un détail. Il symbolise l’incompatibilité fondamentale entre les deux personnages :

  • Steve Rogers croit en la liberté individuelle, même si elle crée des imperfections.
  • Doctor Doom exige un ordre parfait, même au prix de la tyrannie.

Les rumeurs évoquent une scène clé où Doom, debout devant la maison de Steve, prononcerait : *"Votre bonheur est une équation incorrecte."* Une réplique qui résumerait à elle seule leur conflit – et qui ferait écho à la fameuse phrase de Thanos : *"Parfaitement équilibré, comme tout devrait l’être."*

2026 : Un Twist ou un leurre ? Les parieurs misent sur la radicalité

Alors, faut-il s’attendre à un coup de théâtre ou à une simple opération marketing ? Les bookmakers britanniques (comme Betway) donnent Doom favori pour "gagner" ce duel, avec une cote de 1 contre 2. Mais les scénarios possibles sont multiples :

  • Option 1 : Doom efface la timeline → Steve et Peggy disparaissent, mais leur histoire devient un mythe pour les nouveaux Avengers.
  • Option 2 : Steve se sacrifie (encore) → Il accepte de revenir dans le présent pour sauver le multivers, mais perd définitivement Peggy.
  • Option 3 : Un compromis → Doom autorise leur existence, mais sous surveillance (un peu comme WandaVision, mais en plus sombre).
  • Option 4 : Un leurre → Les scènes de Windsor Park ne sont qu’un flashback ou une illusion (comme dans WandaVision).

Une chose est sûre : Marvel adore les fausses pistes. En 2019, les théories sur Endgame avaient prédit que Tony Stark allait survivre. En 2021, tout le monde était convaincu que Wanda allait devenir méchante dans Multiverse of Madness. "Ne sous-estimez jamais leur capacité à surprendre – ou à décevoir", prévient Kevin Feige lui-même dans une interview récente pour Empire.

Reste une question : et si ce retour de Steve Rogers n’était qu’un adieu définitif ? Chris Evans a plusieurs fois affirmé ne plus vouloir jouer le Capitaine… sauf pour *"une scène vraiment spéciale"*. Doomsday pourrait bien être cette scène. Imaginons : un Steve vieillissant, face à Doom, choisissant de disparaître volontairement pour protéger l’équilibre du multivers. Un final tragique, mais tellement Marvel.

Derrière les caméras : Pourquoi ce retour divise aussi les acteurs

Si les fans sont partagés, les acteurs le sont tout autant. D’après Variety, Chris Evans aurait initialement refusé de revenir, avant d’accepter… à une condition : que son personnage ait un "rôle narratif fort", et pas seulement un caméo nostalgique. "Steve mérite mieux qu’un simple clin d’œil", aurait-il déclaré en coulisses.

À l’inverse, Hayley Atwell (Peggy Carter) semble ravie. Dans une story Instagram aujourd’hui supprimée, elle avait posté un emoji "yeux en cœur" sous une photo du tournage, avec le hashtag #OneLastDance. De quoi alimenter les spéculations sur un dernier duo entre les deux personnages.

Côté réalisation, les défis sont immenses. Joe Russo (co-réalisateur d’Endgame) a confié à Collider que recréer l’ambiance des années 1950 avec des acteurs vieillis numériquement était *"un cauchemar technique… mais un rêve narratif"*. "On veut que les fans ressentent la même émotion qu’à la fin d’Endgame, mais avec une tension supplémentaire : et si tout s’effondrait ?"

Enfin, une rumeur persistante veut que Robert Downey Jr. fasse une apparition surprise dans le film. Pas en tant que Tony Stark (mort et enterré), mais comme… un variant de Doom dans une réalité alternative. Une idée folle ? Pas tant que ça : dans les comics, Iron Man et Doctor Doom ont déjà échangé leurs corps (Doomquest, 1989). Marvel adore les callbacks obscurs.

Comparaisons culturelles : Quand le passé rattrape les héros

Ce thème du "bonheur menacé par le destin" n’est pas nouveau. Plusieurs œuvres ont exploré cette idée avant Marvel :

  • Dark (Netflix, 2017-2020) : Une série où les voyages temporels détruisent systématiquement les vies des personnages, malgré leurs efforts pour préserver leur famille.
  • About Time (Richard Curtis, 2013) : Un film où le héros utilise ses pouvoirs temporels pour sauver son père… avant de réaliser que certaines choses ne peuvent être changées.
  • The Flash (DC, 2023) : Barry Allen modifie le passé pour sauver sa mère, mais crée un monde dystopique (un parallèle frappant avec la situation de Steve).

La différence ? Dans le MCU, les enjeux ne sont pas seulement personnels, mais cosmiques. Si Doom décide d’agir, ce ne sera pas par cruauté, mais par devoir – une nuance qui le rend bien plus dangereux que Thanos. "Thanos voulait sauver l’univers en tuant la moitié de sa population. Doom veut le sauver en éliminant toute imperfection, même émotionnelle. C’est bien plus terrifiant." — Graeme McMillan, The Hollywood Reporter.

Entre nostalgie et cataclysme multiversel, Avengers: Doomsday joue avec le feu. Le retour de Steve Rogers et Peggy Carter pourrait être le plus beau cadeau fait aux fans… ou le prélude à une réécriture brutale de l’histoire du MCU. Une chose est sûre : après Endgame, Marvel ne reculera pas devant un twist audacieux. Doctor Doom n’est pas un villain de plus – c’est une force de la nature, prête à sacrifier même les moments les plus sacrés de la saga pour "rétablir l’ordre".

Reste à savoir si les fans sont prêts à accepter que leur happy ending préféré ne soit qu’une illusion temporaire. Une chose est certaine : le 18 décembre 2026, les salles de cinéma vont trembler. Pas seulement à cause des explosions, mais à cause d’une question simple, posée par un Steve Rogers vieillissant, face à Doom : "Est-ce que le bonheur mérite vraiment d’être sauvé… si ça signifie détruire l’équilibre de tout ?"

Et vous, seriez-vous prêt à voir Endgame réduit à néant pour une "grande idée" narrative ? Les parieurs, eux, ont déjà choisi leur camp.

L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
*"Un bonheur volé au temps, c’est comme un speedrun raté : ça finit en *game over* et en ragequit."* — **Doom** aurait pu le dire, mais c’est moi. Steve Rogers mérite sa retraite, **cela va sans dire**, mais le MCU a toujours eu un faible pour les *happy ends* en kit. Si Doom débarque pour jouer les inspecteurs des impôts du multivers, on risque un *"C’était mieux avant"* version apocalypse. Et franchement, après *Endgame*, c’est un peu comme si Marvel nous sortait un DLC payant pour un jeu déjà fini. **Pas ma tasse de thé.**

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen