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Call of Duty: Black Ops 7 – La Protection Anti-Déconnexion qui Change Tout en Mode Endgame
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Il y a 1 jour

Call of Duty: Black Ops 7 – La Protection Anti-Déconnexion qui Change Tout en Mode Endgame

Treyarch écoute enfin les joueurs : Black Ops 7 intègre une protection anti-déconnexion en mode Endgame, sauvegardant le Combat Rating dès le début des parties. Une révolution pour ce mode inspiré des extraction shooters, où chaque déconnexion pouvait anéantir des heures de progression. La mise à jour du 25 novembre prépare aussi l’arrivée de la Saison 1 (4 décembre), avec des boss mythiques, 7 armes inédites et une fusion avec Warzone.

A retenir :

  • Sauvegarde automatique du Combat Rating dès le lancement des parties en mode Endgame – adieu les pertes injustes !
  • Des boss légendaires font leur retour : le T-Rex zombie de Black Ops 6 et le robot géant des Origins (BO2).
  • La Saison 1 (4 décembre) promet 7 armes inédites, des cartes supplémentaires et une fusion stratégique avec Warzone.
  • Un compromis malin : Treyarch préserve l’adrénaline des extraction shooters tout en réduisant la frustration technique.
  • Une solution temporaire en attendant des améliorations plus poussées – les joueurs réclament déjà plus.

Le cauchemar des déconnexions en mode Endgame : enfin une solution ?

Imaginez : après 45 minutes de tension extrême en mode Endgame, votre connexion internet lâche. Résultat ? Tout est perdu. Progression, butin, Combat Rating… Zéro. C’était la réalité quotidienne des joueurs de Call of Duty: Black Ops 7 depuis son lancement. Jusqu’au 25 novembre, date à laquelle Treyarch a discrètement déployé une mise à jour qui change la donne. Désormais, le Combat Rating – cet indicateur clé de votre performance – est sauvegardé automatiquement au début de chaque partie. Une protection minimale, mais qui évite l’hémorragie de progression en cas de crash ou de déconnexion intempestive.

Cette évolution s’inspire directement des extraction shooters comme Escape from Tarkov ou DMZ (Call of Duty: Warzone), où chaque partie est un pari à haut risque. Mais là où ces titres assument une philosophie "hardcore" (perte totale en cas d’échec), Treyarch a choisi une voie médiane. Le studio explique dans un communiqué : "Nous voulions préserver l’intensité du mode tout en réduisant les frustrations liées aux problèmes techniques, hors du contrôle des joueurs." Une décision saluée par la communauté, même si certains puristes regrettent déjà un "adoucissement" des règles.

"Un premier pas, mais pas une solution miracle" : les limites du système actuel

Attention, cette protection a ses limites. Seul le Combat Rating initial est préservé – les gains accumulés pendant la partie (butin, améliorations d’équipement, etc.) restent vulnérables. Un choix assumé par Treyarch, qui souligne : "Endgame doit conserver son côté imprévisible et punitif, sinon il perd son âme." Une position qui divise : si les joueurs occasionnels applaudissent, les vétérans des extraction shooters, comme le streamer Shroud, estiment que "c’est un pansement sur une jambe de bois".

Le studio promet d’ailleurs des améliorations futures, évoquant un système de sauvegarde "plus granulaire" d’ici 2025. En attendant, cette mise à jour du 25 novembre sert aussi de test grandeur nature avant le lancement de la Saison 1, prévue pour le 4 décembre. Une période charnière où Treyarch devra prouver qu’il peut concilier accessibilité et défis extrêmes – l’équation impossible des extraction shooters modernes.

Saison 1 : quand Endgame rencontre Warzone, et que les boss légendaires reviennent

La protection anti-déconnexion n’est qu’un hors-d’œuvre. Le plat de résistance ? La Saison 1, annoncée pour le 4 décembre, qui s’annonce comme la plus ambitieuse de la franchise Black Ops. Au menu :

  • 7 armes inédites, dont un fusil d’assaut hybride inspiré de l’AN-94 et un pistolet-mitrailleur au design rétro.
  • Des cartes supplémentaires, dont une réinterprétation de "Nuketown" adaptée aux mécaniques d’Endgame.
  • Des boss mythiques : le T-Rex zombie de Black Ops 6 (un clin d’œil aux fans de la campagne) et le robot géant des Origins (Black Ops 2 Zombies), promettant des affrontements épiques.
  • Une fusion avec Warzone, permettant aux joueurs d’enchaîner les modes sans perdre leur progression (un système similaire à celui de DMZ).

Le saviez-vous ? Le robot géant des Origins était à l’origine prévu pour Black Ops 3, avant d’être abandonné pour des raisons techniques. Son retour en 2024, dans une version remasterisée, est une surprise qui a électrisé les forums. Comme l’explique un développeur sous couvert d’anonymat : "On voulait offrir aux joueurs un mélange de nostalgie et de nouveauté. Ce boss, c’est un peu notre ‘Easter egg’ géant."

Endgame vs. les autres extraction shooters : un modèle hybride qui fait débat

Avec son mode Endgame, Black Ops 7 tente une gageure : démocratiser les mécaniques des extraction shooters (ultra-punitifs) tout en les rendant accessibles à un public Call of Duty, habitué à plus de clémence. Comparons :

Jeu Perte en cas de déconnexion Sauvegarde Philosophie Escape from Tarkov Totale (équipement + progression) Aucune "Hardcore ou rien" DMZ (Warzone) Partielle (butin seulement) Manuel (via extractions) "Risque calculé" Black Ops 7 (Endgame) Partielle (Combat Rating préservé) Automatique (début de partie) "Équilibre fragile"

Le modèle de Treyarch est clairement le plus hybride. D’un côté, il évite l’écueil de Tarkov (trop niche), de l’autre, il se distingue de DMZ en misant sur une narration plus poussée (avec ses boss et ses quêtes saisonnières). Reste à voir si les joueurs adhérent à cette formule "à mi-chemin". Les premiers retours sur Reddit sont mitigés : "C’est bien pour les noobs, mais les vétérans vont s’ennuyer", commente un utilisateur. À l’inverse, un autre salue "enfin un extraction shooter où je peux jouer sans avoir peur de tout perdre à cause de mon FAI".

Derrière les coulisses : comment Treyarch a (enfin) écouté les joueurs

Cette mise à jour du 25 novembre est le fruit d’un long processus, marqué par des mois de critiques acerbes sur les forums et les réseaux sociaux. Dès la bêta d’Endgame, les joueurs avaient pointé du doigt l’absence totale de protection contre les déconnexions – un comble pour un mode où chaque partie peut durer près d’une heure. Les développeurs, initialement réticents ("C’est comme ça que marche le genre"), ont fini par céder sous la pression.

Un tournant ? Le scandale du "patch day one", où des milliers de joueurs avaient perdu leur progression à cause de serveurs surchargés. "On a reçu des mails de joueurs en larmes, littéralement", confie une source proche de l’équipe. Résultat : une cellule crise a été montée en urgence, aboutissant à cette solution "low-tech" (le snapshot du Combat Rating) en attendant mieux. Preuve que même les géants comme Activision peuvent plier face à la colère des fans… quand elle menace les ventes.

D’ailleurs, cette réactivité cache une stratégie plus large : fidéliser les joueurs avant la Saison 1. Avec la concurrence de Helldivers 2 et du prochain Rainbow Six, Treyarch ne peut se permettre de perdre son audience. La protection anti-déconnexion est donc aussi un argument marketing – un moyen de dire : "Chez nous, on vous écoute."

Et demain ? Les 3 défis qui attendent Endgame en 2025

Si cette mise à jour est une avancée, trois chantiers majeurs restent à adresser pour que Endgame devienne un mode incontournable :

  1. Des sauvegardes plus fréquentes : les joueurs réclament un système similaire à Dark and Darker, où la progression est enregistrée toutes les 10 minutes.
  2. Un matchmaking équilibré : actuellement, les nouveaux arrivants se retrouvent souvent face à des squads ultra-équipés, ce qui décourage l’engagement.
  3. Plus de transparence sur les bugs : les déconnexions liées aux serveurs (et non à la connexion du joueur) devraient être distinguées, avec compensations à la clé.

Treyarch a déjà teaser des "surprises" pour le premier trimestre 2025, incluant peut-être un mode "Endgame Lite" pour les débutants. Une chose est sûre : après des années de modes Zombies et de Battle Royale, la franchise Black Ops a trouvé avec Endgame un terrain de jeu aussi risqué qu’innovant. Reste à savoir si les joueurs lui donneront sa chance… ou s’ils préféreront retourner vers des expériences plus "safe".

Le 25 novembre 2024 pourrait bien marquer un tournant pour Call of Duty: Black Ops 7. Avec sa protection anti-déconnexion, Treyarch prouve qu’il est possible de concilier l’adrénaline des extraction shooters et un minimum de clémence envers les joueurs. Mais cette mise à jour n’est qu’un début. La vraie bataille se jouera dès le 4 décembre, avec le lancement de la Saison 1 et ses promesses de boss légendaires, d’armes inédites et d’une fusion audacieuse avec Warzone. Entre les puristes qui crient au "nivellement par le bas" et les casuals qui soufflent enfin, une question persiste : Endgame parviendra-t-il à trouver son public, ou restera-t-il un mode "ni chair ni poisson" ? Une chose est sûre : pour la première fois depuis longtemps, Black Ops ose bousculer ses codes. Et ça, c’est déjà une victoire.
L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
Cette mise à jour est un pas en avant, mais reste un pansement. Les joueurs occasionnels applaudissent, mais les vétérans regrettent un adoucissement. Treyarch a écouté, mais le chemin est encore long.
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen

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