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Call of Duty Zombies : L’Artbook Ultime de Treyarch Dévoile 16 Ans de Survival Horreur
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Un artbook exceptionnel pour les 16 ans du mode Zombies
À l’occasion des 16 ans du mode Zombies, Treyarch lève le voile sur Call of Duty Zombies: The Art of Treyarch, un artbook de 256 pages regorgeant de croquis inédits, d’interviews exclusives et d’archives des maps cultes. Disponible en précommande pour 50 $ (sortie prévue le 16 juin 2026), cet ouvrage retrace l’évolution du mode, de World at War (2008) à Black Ops 7. Complété par des comics, des Field Manuals et des guides stratégiques, il offre une immersion totale dans l’univers et le lore de la franchise, pour les fans comme pour les collectionneurs.
A retenir :
- 16 ans de survival horror : Un artbook de 256 pages pour célébrer l’héritage du mode Zombies, de World at War à Black Ops 7.
- Contenu exclusif : Croquis inédits, interviews des développeurs (dont les créateurs de Nacht der Untoten et Der Riese), et détails techniques sur les maps.
- Écrit par James Asmus : Un auteur réputé (comics, jeux vidéo) compile témoignages et archives pour un voyage visuel unique.
- Précommande ouverte : 50 $ sur Amazon pour une sortie le 16 juin 2026 — un must pour les collectionneurs.
- Univers étendu : Comics (Black Ops 4), Field Manuals (WWII), et guides stratégiques complètent l’expérience, avec des prix réduits sur certaines éditions.
- Pour les puristes : Easter eggs, lore inédit, et analyses des mécaniques de survie — une référence absolue pour les fans.
Un Héritage de 16 Ans, Immortalisé dans un Artbook d’Exception
Qui aurait cru qu’un simple mode bonus, ajouté presque par accident dans Call of Duty: World at War (2008), deviendrait l’un des piliers de la franchise ? Pourtant, Zombies a non seulement survécu, mais s’est imposé comme un phénomène culturel, présent dans 13 opus — et bientôt dans Black Ops 7. Pour célébrer cet anniversaire, Treyarch sort les grands moyens avec Call of Duty Zombies: The Art of Treyarch, un artbook de 256 pages qui promet de plonger les fans dans les coulisses d’une aventure aussi folle qu’inattendue.
Disponible en précommande pour 50 $ (sortie prévue le 16 juin 2026), cet ouvrage n’est pas un simple recueil d’images. C’est une plongée dans les archives du studio, avec des croquis jamais dévoilés, des interviews exclusives des développeurs, et des détails techniques sur la création des maps les plus emblématiques, comme Nacht der Untoten (la toute première) ou Der Riese (celle qui a révolutionné le genre). À la manœuvre : James Asmus, scénariste et auteur connu pour son travail dans les comics et les jeux vidéo, qui signe ici un travail de compilation aussi rigoureux qu’accessible.
Pour les collectionneurs, c’est une aubaine. L’artbook se présente sous une couverture rigide, avec une mise en page soignée qui met en valeur chaque détail. Et comme le souligne Treyarch, il ne s’agit pas seulement de célébrer le passé, mais aussi de préparer l’avenir : des indices sur Black Ops 7 pourraient bien s’y cacher...
"Nacht der Untoten" : Quand un Mode Bonus Devenait une Légende
Tout a commencé dans un bunker nazi, avec quatre soldats, une poignée de munitions, et une horde de morts-vivants. Nacht der Untoten ("La Nuit des Morts-Vivants"), la toute première map Zombies, était à l’origine un easter egg caché dans World at War. Personne chez Treyarch ne s’attendait à ce qu’elle devienne le fondement d’un mode de jeu à part entière.
Pourtant, les joueurs ont adoré. Le concept était simple : survivre le plus longtemps possible, en barricadant les fenêtres, en achetant des armes, et en découvrant des secrets cachés. Ce qui devait être un divertissement anecdotique s’est transformé en une obsession collective. Les développeurs ont rapidement compris qu’ils tenaient quelque chose d’unique. Dans l’artbook, ils révèlent comment, en quelques mois, Nacht der Untoten est passée du statut de "blague interne" à celui de prototype d’un mode qui allait marquer l’histoire du jeu vidéo.
Et puis il y a eu Der Riese ("Le Géant"), dans Call of Duty: World at War (via le DLC Map Pack 3). Cette map a tout changé : introduction des Pack-a-Punch, des mystères narratifs, et d’une dimension presque cinématographique. Pour la première fois, les joueurs ne se contentaient plus de survivre — ils découvraient une histoire. C’est ce tournant que l’artbook explore en détail, avec des storyboards originaux et des témoignages sur les défis techniques de l’époque.
Les Secrets de Fabrication : Croquis, Échecs et Réussites
L’un des points forts de l’artbook réside dans ses contenus inédits. On y découvre, par exemple, que la map Kino der Toten (dans Black Ops) était à l’origine prévue pour être beaucoup plus sombre, avec une ambiance proche de l’horreur psychologique. Les contraintes techniques de l’époque ont cependant forcé les développeurs à revoir leur copie — ce qui a finalement donné naissance à l’une des maps les plus équilibrées et appréciées de la série.
Autre révélation : le système de "Perks" (comme Juggernog ou Speed Cola), aujourd’hui indispensable, a failli ne jamais voir le jour. Les premiers tests jouables montraient que les joueurs mouraient trop vite, rendant l’expérience frustrante. C’est en observant les parties des testeurs que l’équipe a eu l’idée d’ajouter ces bonus temporaires, qui sont devenus une signature du mode Zombies.
L’artbook ne se contente pas de montrer des images : il raconte des histoires. Comme celle de ce bug dans Moon (Black Ops), où les joueurs pouvaient se téléporter hors de la map en utilisant une combinaison précise de sauts et d’explosions. Au lieu de corriger le problème immédiatement, Treyarch a décidé de l’intégrer comme un easter egg, prouvant une fois de plus que la communauté Zombies adore détourner les règles.
Au-Delà de l’Artbook : Comics, Field Manuals et Guides Stratégiques
Si l’artbook est l’événement de l’année pour les fans, il n’est pas le seul moyen de plonger dans l’univers Zombies. Treyarch et Activision ont multiplié les supports pour étendre le lore et offrir des expériences complémentaires.
Parmi eux, Making Call of Duty: Modern Warfare (2019) propose un éclairage technique sur la refonte des mécaniques de survie, tandis que le Field Manual de Call of Duty: WWII (2017) se présente comme un manuel militaire fictif, bourré d’illustrations originales et de détails sur l’univers. Ce dernier, aujourd’hui soldé à 19,18 $ (contre 40 $ à sa sortie), reste une référence pour les puristes, avec ses 304 pages dédiées aux stratégies et aux easter eggs.
Les amateurs de récits ne sont pas en reste. Le comic officiel de Black Ops 4 (240 pages), signé par des auteurs comme Greg Rucka et Tony Shasteen, explore des intrigues parallèles au jeu, avec des illustrations dynamiques. Actuellement proposé à 19,18 $ (au lieu de 30 $), il rejoint d’autres titres comme le prequel de Black Ops 3, qui approfondit les arcs narratifs des personnages cultes comme Dempsey, Takeo, Nikolai et Richtofen.
Ces œuvres, bien que distinctes du mode Zombies, enrichissent son univers en liant les histoires des différents opus. Elles prouvent que Zombies n’est pas qu’un mode de jeu : c’est une saga à part entière, avec ses héros, ses méchants, et ses mystères.
Pourquoi Cet Artbook Est-il un Must-Have ?
Au-delà de son contenu exclusif, Call of Duty Zombies: The Art of Treyarch se distingue par sa dimension historique. Il ne se limite pas à montrer des images : il explique les choix créatifs, les échecs qui ont failli tout faire capoter, et les innovations qui ont marqué les joueurs.
Par exemple, saviez-vous que la map Origins (Black Ops II) était initialement prévue pour être beaucoup plus linéaire ? Les retours des testeurs ont poussé l’équipe à ajouter des zones secrètes et des mécaniques de téléportation, transformant une map déjà ambitieuse en un chef-d’œuvre du genre.
L’artbook s’adresse aussi bien aux nouveaux joueurs, qui découvriront l’histoire du mode, qu’aux vétérans, qui y trouveront des anecdotes méconnues. Et avec la sortie prochaine de Black Ops 7, il pourrait même contenir des indices sur l’avenir de la saga.
Enfin, pour les collectionneurs, c’est une pièce rare. Les éditions limitées des précédents artbooks (comme celui de Black Ops III) se vendent aujourd’hui à des prix exorbitants sur le marché de l’occasion. À 50 $, cet ouvrage est donc un investissement autant qu’un hommage.
Les Avis des Fans : Entre Nostalgie et Attentes
Sur les réseaux sociaux, l’annonce de l’artbook a été accueillie avec enthousiasme, mais aussi quelques réserves. Certains fans regrettent que le livre ne couvre pas les opus développés par d’autres studios (comme Infinity Ward ou Sledgehammer Games), tandis que d’autres espèrent des détails sur les maps abandonnées, comme le projet avorté de Zombies dans Modern Warfare (2019).
Du côté des critiques, on salue surtout le travail de James Asmus, connu pour son approche narrative dans des titres comme Rick and Morty ou G.I. Joe. Son style, à la fois accessible et détaillé, devrait plaire aussi bien aux casuals qu’aux hardcore fans.
Un point revient souvent : "Enfin un livre qui donne la parole aux développeurs !". Pendant des années, les secrets de Zombies ont été décortiqués par les joueurs, via des théories et des datamines. Avec cet artbook, c’est Treyarch qui prend la parole — et ça change tout.
Avec Call of Duty Zombies: The Art of Treyarch, les fans ont enfin l’opportunité de découvrir l’envers du décor d’un mode qui a marqué des générations de joueurs. Entre croquis inédits, témoignages des développeurs et révélations sur les maps cultes, cet artbook de 256 pages est bien plus qu’un simple livre : c’est une plongée dans 16 ans d’histoire, de World at War à Black Ops 7.
Pour les collectionneurs, c’est une pièce maîtresse à ajouter à leur bibliothèque, aux côtés des Field Manuals, des comics et des guides stratégiques. Pour les nouveaux venus, c’est une porte d’entrée idéale dans un univers aussi riche que complexe. Et pour tous, c’est l’occasion de redécouvrir pourquoi Zombies reste, après toutes ces années, un mode aussi captivant.
Disponible en précommande pour 50 $, avec une sortie prévue le 16 juin 2026, cet ouvrage s’annonce comme l’hommage ultime à une aventure qui a commencé dans un bunker nazi... et qui est loin d’être terminée.

