L’Édition 4K Steelbook de *The Shining* est de retour chez Walmart : un must-have pour les collectionneurs

Un retour inattendu après l’annulation des précommandes

Les fans de *The Shining* peuvent enfin souffler : après une **annulation surprise des précommandes** début septembre chez Walmart, l’édition **4K Steelbook *Film Vault*** est de retour en stock, avec une disponibilité prévue dès la **semaine du 3 octobre**. Une nouvelle qui ravira les collectionneurs, d’autant que cette version, développée par **Vice Press** en collaboration avec **Warner Bros. UK**, s’annonce comme l’une des plus abouties du catalogue Kubrick.

Pourquoi un tel engouement ? Parce que cette édition ne se contente pas de proposer une **restauration 4K HDR10+ et Dolby Vision** déjà saluée en 2019 pour sa fidélité à la version originale. Elle mise aussi sur un **design exclusif** qui célèbre deux symboles majeurs du film : le **labyrinthe de haies** et la **porte fatale** marquée du mot *"Redrum"*. Un choix esthétique qui rappelle que *The Shining* est bien plus qu’un film d’horreur – c’est une **œuvre visuelle**, où chaque détail compte.

Disponible en **version Solus à 65 $**, cette édition se limite au *steelbook* et aux disques (4K Blu-ray + Blu-ray standard). Mais c’est l’**édition premium à 100 $**, aujourd’hui introuvable, qui fait rêver : un **coffret en bois style "boîte à cigares"**, des **cartes postales collector**, une **affiche double-face**, et un **autocollant holographique numéroté**. Un ensemble qui transforme l’objet en pièce de musée – à condition de mettre la main dessus avant qu’il ne disparaisse à nouveau.

Un design révolutionnaire : quand le *steelbook* devient une œuvre d’art

Ce qui frappe dès la première seconde avec cette édition *Film Vault*, c’est son **approche minimaliste et audacieuse**. Le *steelbook* lui-même est épuré : **aucun titre ni logo n’est gravé directement sur la boîte**. À la place, ces éléments sont imprimés sur une **bague en acétate amovible**, laissant le choix au collectionneur d’afficher le visuel **avec ou sans texte**. Une innovation qui permet de mettre en valeur l’**artwork exclusif** signé **Matt Ferguson & Florey**, deux artistes reconnus pour leur travail chez Vice Press.

À l’ouverture, le **labyrinthe emblématique** s’étale sur les deux faces du boîtier, tandis que le dos reprend la **porte fatale** avec son inscription *"Redrum"* en lettres rouges, comme une blessure ouverte. Un choix qui n’est pas anodin : ces deux éléments résument à eux seuls l’atmosphère **oppressante et labyrinthique** du film, où chaque couloir de l’*Overlook Hotel* semble mener à une impasse psychologique.

Côté technique, cette édition 4K Blu-ray (en **2160p natif**) supporte à la fois le **Dolby Vision** et le **HDR10+**, avec une **piste audio DTS-HD Master Audio 5.1** qui restitue toute la tension sonore du film. Les bonus, quant à eux, sont réservés au **disque Blu-ray standard** : on y trouve un **commentaire audio** de **John Baxter** (biographe officiel de Kubrick) et **Garrett Brown** (l’inventeur du Steadicam, utilisé pour les plans fluides du film), ainsi que des **documentaires inédits** sur le tournage. De quoi plonger encore plus profond dans les coulisses d’un chef-d’œuvre qui continue de fasciner, **44 ans après sa sortie**.

L’édition premium à 100 $ : un luxe réservé aux passionnés

Si la version *Solus* à 65 $ est déjà un must-have, c’est l’**édition *Special Edition* à 100 $** qui fait vraiment saliver. Malheureusement, elle reste **introuvable** chez Walmart pour l’instant – une rareté qui risque de devenir un **graal** pour les chasseurs de collectors.

Que contient-elle de plus ? Tout d’abord, un **coffret en bois** inspiré des **boîtes à cigares**, orné d’une **silhouette menaçante de Jack Torrance** et de sa **hache légendaire**. À l’intérieur, huit **cartes d’art** mêlant **scènes cultes** (comme la fameuse photo finale) et **clichés de tournage**, ainsi qu’une **affiche double-face** : d’un côté, une **réinterprétation moderne** par Vice Press ; de l’autre, la **jaquette mythique de Saul Bass** (1980), légèrement retouchée pour l’occasion.

Le détail qui fait toute la différence ? La **bague en acétate**, cette fois-ci enveloppant le coffret entier, permet là aussi d’afficher l’objet **avec ou sans texte**. Un **autocollant holographique numéroté** scelle le tout, garantissant son authenticité et son exclusivité. Dommage que Walmart n’ait pas relancé les stocks de cette version… À moins qu’un **miracle** ne se produise d’ici le **3 octobre**, date officielle de sortie.

Pour les collectionneurs qui auraient raté le coche, une seule solution : **surveiller les sites de revente** (comme eBay) ou espérer une réimpression. Mais attention aux prix, qui pourraient rapidement **exploser** une fois l’édition épuisée.

Derrière les portes de l’*Overlook* : les secrets d’un tournage mythique

*The Shining* n’est pas seulement un film – c’est une **légende du cinéma**, marquée par des anecdotes aussi fascinantes que glaçantes. Saviez-vous que **Stanley Kubrick** a fait tourner **Shelley Duvall** (Wendy Torrance) pendant **12 heures par jour**, **6 jours par semaine**, pendant plus d’un an ? Ou que la **scène de la porte hachée** a nécessité **60 prises** différentes, poussant l’actrice à bout ?

Pour les passionnés qui veulent **tout savoir**, le **compendium *Stanley Kubrick’s The Shining*** (édité par **Taschen**) est une **mine d’or**. Ce coffret de **1 396 pages**, signé **J.W. Rinzler** (l’auteur de la saga *The Making of Star Wars*) et préfacé par **Steven Spielberg**, plonge dans les coulisses du film grâce à :

• Des **centaines d’heures d’interviews** avec l’équipe technique et les acteurs.
• Des **archives inédites** : storyboards, croquis, photos de tournage.
• Un **scrapbook luxueux** compilant des documents d’époque.

Un objet **aussi monumental que le film lui-même**, dont les stocks chez Amazon restent **incertains** après une rupture l’an dernier. À **125 $**, c’est un investissement, mais pour les fans inconditionnels, c’est le **passport ultime** pour comprendre comment Kubrick a transformé un roman de Stephen King en **chef-d’œuvre visuel et psychologique**.

Stephen King vs. Kubrick : une rivalité créative qui inspire

Si *The Shining* est aujourd’hui considéré comme un **classique absolu**, sa relation avec son auteur original, **Stephen King**, est bien plus complexe. Le romancier a **ouvertement critiqué** l’adaptation de Kubrick, lui reprochant d’avoir **trahi l’esprit du livre** en se concentrant sur la **folie visuelle** plutôt que sur la **démence surnaturelle** de l’hôtel.

Cette tension a même inspiré une **mini-série en 1997** (diffusée sur ABC), **scénarisée par King lui-même** et bien plus fidèle au roman. Pourtant, malgré un **casting solide** (avec **Steven Weber** dans le rôle de Jack Torrance), cette version a été **moins acclamée** que le film de Kubrick. Aujourd’hui disponible en **Blu-ray chez Shout Factory (22 $)**, elle reste un **objet de curiosité** pour les puristes.

Pour ceux qui veulent **explorer l’univers étendu**, deux pistes s’offrent à eux :

• Le **roman original** (1977), disponible en poche à **7,50 $** (au lieu de 20 $).
• *Doctor Sleep* (2013), la suite écrite par King, adaptée au cinéma en 2019 par **Mike Flanagan** (*The Haunting of Hill House*). Le **film** (en *Director’s Cut* 4K à **14,69 $**) et le **livre** (à partir de **10,49 $**) offrent une plongée dans la vie adulte de **Danny Torrance**, toujours hanté par l’*Overlook*.

Un accueil **mitigé** pour cette suite, mais une **expérience complémentaire** pour ceux qui veulent **revisiter l’hôtel maudit**.

Pourquoi cette édition 4K est-elle un achat obligatoire ?

Au-delà de la **qualité technique** (4K HDR10+, Dolby Vision, DTS-HD 5.1), cette édition *Film Vault* se distingue par son **approche globale** :

• Un **design collector** qui rend hommage aux symboles du film.
• Des **bonus audio et visuels** pour approfondir l’œuvre.
• Une **rareté** qui en fait un **investissement** pour les années à venir.

Que vous soyez un **puriste de Kubrick**, un **collectionneur de steelbooks**, ou simplement un amateur de **cinéma d’auteur**, cette édition est une **occasion à ne pas manquer**. D’autant que, comme le dit si bien Jack Torrance : *"All work and no play makes Jack a dull boy"*… Alors pourquoi se priver ?