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Fallout Saison 2 : New Vegas sous un nouveau jour – affiches exclusives, Deathclaws et Macaulay Culkin en guest-star
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Il y a 55 jours

Fallout Saison 2 : New Vegas sous un nouveau jour – affiches exclusives, Deathclaws et Macaulay Culkin en guest-star

La saison 2 de *Fallout* s’annonce comme un voyage explosif vers **New Vegas**, 15 ans après le jeu culte *Fallout: New Vegas*. Entre **nostalgie assumée** (le retour de **Robert House**, les **Deathclaws**, ou la statue **Dinky le T-Rex**) et **audaces narratives** (un **canon réinventé**, l’arrivée surprise de **Macaulay Culkin**), la série, portée par **Amazon Studios** et **Bethesda**, promet de bousculer les attentes. Produite par les créateurs de *Westworld* et supervisée par **Todd Howard**, cette nouvelle saison mise sur un **équilibre périlleux** : satisfaire les fans tout en s’émancipant de l’héritage du jeu. Un pari risqué, mais typiquement *Fallout* – un univers où **rien n’est jamais écrit d’avance**.

A retenir :

  • New Vegas, 15 ans plus tard : La saison 2 explore une ville transformée par le temps, loin du jeu de 2010, avec un Lucky 38 toujours dominant mais un yermo en mutation – un choix qui divise déjà les puristes.
  • Macaulay Culkin en guest-star : L’acteur culte des années 90 incarnera un *« génie un peu fou »*, ajoutant une touche d’humour noir typique de la franchise. Un casting qui surprend, entre nostalgie et excentricité.
  • Les Deathclaws débarquent : Absents de la saison 1, ces prédateurs légendaires promettent des scènes d’action spectaculaires, avec un design fidèle aux jeux – de quoi ravir les fans.
  • Le mystère du canon : Avec le retour de Robert House, la série doit trancher : quel final de *New Vegas* sera considéré comme officiel ? NCR, Caesar’s Legion, ou une troisième voie ?
  • Une production haut de gamme : Entre Kilter Films (*Westworld*), Jonathan Nolan, et l’implication directe de Todd Howard (Bethesda), la saison 2 bénéficie d’un budget et d’une ambition cinématographiques.
  • Renouvelée pour une saison 3 avant même sa diffusion : Preuve que *Fallout* a séduit au-delà des joueurs, avec un mélange réussi de références cultes et d’innovations narratives.

New Vegas à l’écran : entre fidélité et réinvention

Quand Amazon Studios a annoncé que la saison 2 de *Fallout* se déroulerait à New Vegas, les réactions des fans ont été immédiates : entre excitation nostalgique et crainte de la trahison. Après tout, *Fallout: New Vegas* (2010), développé par Obsidian Entertainment, reste pour beaucoup le chef-d’œuvre de la franchise, un mélange parfait de narration complexe, de choix moraux, et d’un univers cyberpunk déjanté. Comment une série linéaire pourrait-elle rendre justice à une ville où chaque décision compte ?

Le poster exclusif dévoilé par IGN donne un premier indice : on y voit Lucy (Ella Purnell), The Ghoul (Walton Goggins), et Maximus en périphérie de la cité, sous l’ombre imposante du Lucky 38, la tour emblématique de Mr. House. Un symbole fort, mais trompeur. Car si le décor est bien celui de *New Vegas*, les showrunners Graham Wagner et Geneva Robertson-Dworet ont prévenu : « 15 ans ont passé ». Une phrase anodine en apparence, mais qui change tout.

Dans le jeu, le joueur découvre une ville figée dans le temps, où les factions (NCR, Caesar’s Legion, Mr. House, ou Yes Man) s’affrontent pour le contrôle d’un territoire post-apocalyptique. Mais dans la série, le temps a fait son œuvre. *« Le monde a évolué, et l’idée d’un yermo statique est absurde »*, explique Wagner. Une déclaration qui en dit long : New Vegas ne sera pas un musée, mais une cité en mutation constante, avec ses propres dynamiques politiques et sociales. Un parti pris audacieux, qui risque de diviser les fans – surtout ceux attachés à leur version « canonique » du jeu.


Pourtant, un élément rassure : Robert House sera bien de la partie. Le magnat cyberpunk, interprété par un acteur encore non dévoilé, incarne l’âme de New Vegas. Son retour pose cependant une question brûlante : quel final du jeu la série considérera-t-elle comme officiel ? Dans *Fallout: New Vegas*, quatre fins majeures s’offrent au joueur, chacune radicalement différente. La série devra trancher – ou inventer une cinquième voie, ce qui ne manquera pas de alimenter les débats parmi les puristes.

Macaulay Culkin : le coup de génie (fou) de la saison 2

Si le retour de Ella Purnell (Lucy), Walton Goggins (The Ghoul), et Kyle MacLachlan (Hank MacLean) était attendu, c’est l’annonce de Macaulay Culkin qui a créé la surprise. L’acteur, star des années 90 grâce à *Maman, j’ai raté l’avion* et *Les Pages de notre amour*, fera son entrée dans l’univers *Fallout* dans un rôle décrit comme *« un génie un peu fou »* par les producteurs. Une description qui colle parfaitement à l’ADN de la franchise : un mélange d’humour noir, de folie post-apocalyptique, et de références pop-culture décalées.

Culkin n’est pas un choix anodin. Son personnage, dont l’identité reste secrète, pourrait bien être un clin d’œil aux scientifiques excentriques du jeu, comme Dr. Mobius (Big MT) ou Dr. Klein (Brotherhood of Steel). *« Nous voulions quelqu’un capable de capturer cette folie contrôlée, cette intelligence brillante mais profondément tordue »*, confie une source proche de la production. Avec Culkin, la série mise sur un équilibre entre nostalgie (pour les spectateurs des années 90) et originalité (pour les fans de *Fallout*).


Côté production, la saison 2 bénéficie d’un duo de choc : Kilter Films (à l’origine de *Westworld*) et Amazon Studios, avec Jonathan Nolan et Lisa Joy aux commandes. Mais le vrai gage de qualité reste l’implication de Todd Howard, directeur de Bethesda Game Studios et producteur exécutif de la série. *« Todd est un gardien de l’univers. Il veille à ce que chaque détail respecte l’esprit des jeux, sans pour autant étouffer la créativité de l’équipe »*, explique un membre de l’équipe. Une collaboration qui porte ses fruits : la série a été renouvelée pour une saison 3 avant même la diffusion de la saison 2 – un signe rare de confiance dans le projet.

Deathclaws, Dinky le T-Rex et autres pépites : ce qui attend les fans

Si la saison 1 de *Fallout* a su séduire par son ambiance rétro-futuriste et ses personnages charismatiques, un élément majeur manquait à l’appel : les Deathclaws. Ces créatures, mi-dinosaures mi-monstres, sont parmi les ennemis les plus redoutés du yermo. Leur absence avait d’ailleurs été soulignée par les fans. La saison 2 rattrape le tir : les Deathclaws seront bel et bien présents, avec un design fidèle aux jeux et des scènes d’action promettant d’être spectaculaires.

*« Les Deathclaws ne sont pas juste des monstres. Ce sont des symboles de la brutalité du monde post-apocalyptique, mais aussi de sa beauté sauvage »*, explique un membre de l’équipe des effets spéciaux. Leur apparition devrait coïncider avec des moments clés de l’intrigue, peut-être liés à l’arrivée des personnages à New Vegas. Une chose est sûre : leur présence rehaussera la tension, surtout pour les joueurs habitués à les craindre dans les jeux.


Autre détail qui a fait réagir : le retour de Dinky le T-Rex, la statue kitsch et emblématique de New Vegas. Située devant le Dino Dee-lite Motel, cette réplique de Tyrannosaure en plastique rose est un symbole de l’humour absurde de la franchise. *« Dinky, c’est *Fallout* en une image : déjanté, nostalgique, et profondément ironique »*, résume un fan. Sa présence dans la série est un clin d’œil appécié, mais aussi une promesse : l’esprit décalé et satirique des jeux sera bien respecté.

Enfin, la question du canon continue de faire débat. Si Robert House est confirmé, qu’en est-il des autres factions ? La NCR (Nouvelle République de Californie) et Caesar’s Legion, pivots du conflit dans le jeu, seront-elles présentes ? Et si oui, sous quelle forme ? *« Nous ne voulons pas simplement recopier le jeu. Nous voulons explorer ce qui se passe après, quand la poussière retombe »*, explique Wagner. Une approche qui peut séduire (pour son originalité) comme décevoir (pour ceux qui espéraient une adaptation plus fidèle).

Derrière les projecteurs : les coulisses d’une adaptation ambitieuse

Adapter *Fallout* à l’écran n’était pas une mince affaire. Contrairement à d’autres franchises, comme *The Last of Us* ou *The Witcher*, l’univers de *Fallout* est décentralisé : chaque jeu explore une région différente, avec des histoires et des tons variés. *« Le défi était de trouver un fil conducteur qui unisse tout ça, sans trahir l’esprit de la saga »*, confie Lisa Joy, productrice exécutive.

La solution ? Se concentrer sur les thèmes universels de *Fallout* : la survie, les choix moraux, et l’absurdité de la guerre nucléaire. *« New Vegas était le cadre parfait. C’est une ville où tout est possible, où l’espoir et la corruption coexistent »*, ajoute Joy. Pour recréer cette atmosphère, l’équipe a puisé dans les archives de Bethesda, mais aussi dans des inspirations cinématographiques variées, allant du film noir (*Le Faucon maltais*) au western spaghetti (*Il était une fois dans l’Ouest*).


Un autre défi de taille : les attentes des fans. *« Certains veulent une copie conforme du jeu. D’autres veulent une histoire originale. Nous devons naviguer entre les deux »*, explique Graham Wagner. Pour y parvenir, l’équipe a organisé des sessions de jeu collectives, où scénaristes et producteurs ont revisité *Fallout: New Vegas* pour en extraire l’essence. *« On a passé des heures à discuter des quêtes secondaires, des dialogues, des ambiances sonores… Tout compte »*, raconte un scénariste.

Résultat ? Une saison 2 qui emprunte aux jeux (les décors, les créatures, l’humour) tout en s’autorisant des libertés (une timeline avancée, des personnages inédits). *« Fallout, c’est un univers où tout peut arriver. Nous voulons que les spectateurs ressentent cette liberté, même dans une narration linéaire »*, conclut Wagner. Un équilibre délicat, mais qui, s’il est réussi, pourrait faire de *Fallout* l’une des meilleures adaptations de jeu vidéo jamais réalisées.

New Vegas 2.0 : une ville en constante évolution

Si la saison 1 posait les bases d’un monde post-apocalyptique crédible, la saison 2 promet d’approfondir la mythologie de *Fallout*. New Vegas n’est plus seulement un décor : c’est un personnage à part entière, avec ses conflits internes, ses alliances fragiles, et ses secrets enfouis.

*« Imaginez une ville où les robots de Mr. House côtoient des gangs de pillards, où les casinos brillent encore sous les néons, mais où chaque sourire cache un couteau. C’est ça, notre New Vegas »*, décrit un designer de la série. Les décors, inspirés des concept arts originaux mais revisités pour le petit écran, promettent une immersion visuelle à couper le souffle. *« On a travaillé sur les contrastes : le luxe kitsch des casinos contre la désolation du yermo, la technologie futuriste contre la barbarie post-nucléaire »*, explique le chef décorateur.


Côté intrigue, les showrunners promettent des rebondissements inattendus. *« New Vegas est une ville de trahisons. Personne n’est vraiment ce qu’il semble être »*, tease Wagner. Entre complots politiques, découvertes scientifiques, et retours de personnages iconiques, la saison 2 devrait tenir les spectateurs en haleine. Et avec l’arrivée des Deathclaws et de Macaulay Culkin, le mélange action/humour/drame s’annonce plus explosif que jamais.

Reste une question : la série parviendra-t-elle à contenter tout le monde ? Entre les puristes qui veulent une fidélité absolue et les néophytes en quête d’une histoire accessible, le défi est de taille. *« On ne peut pas plaire à tout le monde, mais on peut raconter une bonne histoire. Et c’est ce qu’on fait »*, conclut Joy. Une réponse qui, en soi, est typiquement *Fallout* : un mélange d’ambition, de pragmatisme, et d’une pointe de provocation.

Avec sa saison 2, *Fallout* ne se contente pas de transporter les spectateurs à **New Vegas** – elle les plonge dans une version **réinventée**, où **nostalgie** et **innovation** se heurtent avec audace. Entre le retour des **Deathclaws**, l’arrivée surprise de **Macaulay Culkin**, et un **Robert House** plus mystérieux que jamais, la série assume ses risques : **bousculer les attentes** tout en restant fidèle à l’esprit déjanté de la franchise. Portée par une équipe de choc (**Jonathan Nolan**, **Lisa Joy**, **Todd Howard**) et un budget à la hauteur de ses ambitions, cette nouvelle saison pourrait bien marquer un tournant – à condition de convaincre les fans que **l’évolution n’est pas une trahison**, mais une **nécessité narrative**.
Une chose est sûre : dans l’univers de *Fallout*, **rien n’est jamais figé** – et c’est précisément ce qui en fait toute la magie.
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
New Vegas à l’écran, c’est comme si tonton Todd avait confié sa collection de bouteilles de Nuka-Cola à des scénaristes qui kiffent *Twin Peaks* et les westerns spaghetti. Résultat ? Un mélange **onirique** de néons craquelés et de trahisons en costard, où Mr. House doit partager son trône avec Macaulay Culkin en savant fou – parce que rien ne dit *"apocalypse chic"* comme un gamin des années 90 qui joue avec des Deathclaws comme avec des Lego. *« Je suis un dieu, petit mortel. »* Ouais, ouais, House… sauf que là, c’est Amazon qui tient les dés. Et ça, c’est la vraie **disruption**.

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic