Actualité

Gemma Chan incarne Selina Tan dans *007: First Light* : un casting 5 étoiles pour le nouveau jeu Bond
Actualité

Il y a 13 jours

Gemma Chan incarne Selina Tan dans *007: First Light* : un casting 5 étoiles pour le nouveau jeu Bond

Gemma Chan rejoint l’univers de *James Bond* dans *007: First Light*, un jeu vidéo qui promet une expérience cinématographique inégalée. L’actrice britannique, star de *Captain Marvel* et *Eternals*, y incarne Selina Tan, une académicienne brillante spécialisée en psychologie et théorie des jeux, dont le rôle aurait été décisif dans l’ascension de Bond au statut d’agent 00. Aux côtés d’un casting étoilé — avec Patrick Gibson dans le rôle-titre, Priyanga Burford en M, et Lennie James (*The Walking Dead*) en John Greenway — ce projet ambitieux, développé par IO Interactive en collaboration avec EON Productions, s’annonce comme une plongée immersive dans l’univers de l’espion le plus célèbre du cinéma.

A retenir :

  • Gemma Chan (*Eternals*, *Diablo IV*) incarne Selina Tan, une experte en psychologie et théorie des jeux, personnage clé dans l’obtention du statut 00 par James Bond.
  • Un casting exceptionnel : Patrick Gibson (Bond), Priyanga Burford (M), Lennie James (*The Walking Dead*), et Kiera Lester (Moneypenny), pour une immersion digne des films.
  • 007: First Light, développé par IO Interactive (*Hitman*), marque le retour de la licence Bond dans le jeu vidéo après 007 Legends (2012).

Gemma Chan : de l’univers Marvel à l’espionnage britannique

L’annonce a de quoi surprendre : après avoir marqué les esprits dans des blockbusters comme Captain Marvel (2019) ou Eternals (2021), Gemma Chan s’apprête à endosser un rôle bien différent, celui de Selina Tan dans 007: First Light. Ce personnage, décrit comme une "brillante académicienne spécialisée en psychologie et théorie des jeux", n’est pas un simple faire-valoir. Selon les premières informations, elle aurait joué un rôle décisif dans l’obtention du prestigieux statut 00 par James Bond, un détail qui ravira les fans de la saga. Une incursion dans l’univers de l’espionnage qui tombe à point nommé pour Chan, après son interprétation de l’énigmatique Erys dans Diablo IV (2023), où elle avait déjà prouvé son talent pour les rôles complexes et ambivalents.

Mais qui est vraiment Selina Tan ? Les développeurs d’IO Interactive (à qui l’on doit la série Hitman) restent discrets, mais les rumeurs suggèrent un personnage aussi intelligent que manipulateur, capable de déjouer les pièges les plus subtils grâce à sa maîtrise des mécanismes psychologiques. Une approche qui rappelle étrangement celle de M dans ses jeunes années, ou même de certains antagonistes emblématiques comme Rosa Klebb (*Bons baisers de Russie*). Une chose est sûre : avec Chan dans ce rôle, 007: First Light pourrait bien offrir une nouvelle dimension aux relations humaines au sein du MI6, loin des clichés de l’agent solitaire.


Pour l’actrice, ce projet représente aussi une opportunité unique : "Rejoindre l’univers de James Bond, c’est comme toucher à un mythe. Selina Tan est un personnage fascinant, à la fois vulnérable et redoutable. J’ai hâte que les joueurs découvrent son histoire." Une déclaration qui confirme l’ambition narrative du jeu, bien loin des simples shooters ou aventures linéaires.

Un casting à la hauteur de la légende Bond

Si Gemma Chan est sans doute la recrue la plus médiatisée, elle n’est pas la seule à apporter son talent à 007: First Light. Le jeu peut en effet se targuer d’un casting digne des plus grands films de la saga, avec :

  • Patrick Gibson (*The OA*, *Bridgerton*) dans le rôle-titre de James Bond : un choix audacieux pour incarner un Bond plus jeune, encore en construction, avant qu’il ne devienne la légende que l’on connaît.
  • Priyanga Burford (*The Witcher: Blood Origin*) en M : une interprétation qui promet d’être moins austère que celle de Judi Dench, avec peut-être plus de nuances.
  • Lennie James (*The Walking Dead*, *Line of Duty*) dans le rôle de John Greenway, un mentor ambigu dont l’influence sur Bond pourrait s’avérer cruciale.
  • Kiera Lester en Moneypenny : une version rajeunie du personnage, peut-être plus proactive que dans les films.
  • Alastair Mackenzie et Noemie Nakai, respectivement en Q et Miss Roth, deux figures qui pourraient apporter une touche d’originalité à l’équipe technique du MI6.

Une telle distribution ne peut que renforcer l’immersion cinématographique promise par les développeurs. D’autant que 007: First Light est le fruit d’une collaboration entre IO Interactive — maîtres du stealth et des mécaniques d’infiltration avec Hitman — et EON Productions, la société derrière les films Bond depuis Dr. No (1962). Un mariage entre expertise vidéoludique et héritage cinématographique qui laisse présager le meilleur.


À noter que ce casting 100 % vocal (le jeu étant une aventure narrative) souligne une volonté de qualité dramatique, une tendance de plus en plus marquée dans les productions AAA. Comme l’explique un porte-parole d’IO Interactive : "Nous voulions des voix qui portent l’émotion, qui donnent vie à ces personnages comme dans un film. Avec ce casting, nous y sommes parvenus."

007: First Light : le retour tant attendu de Bond dans le jeu vidéo

Il faut remonter à 007 Legends (2012) — un jeu au succès mitigé — pour trouver la dernière adaptation vidéoludique de la licence Bond. Depuis, les fans attendaient un retour en grâce, surtout après l’annulation du projet Project 007 initial d’IO Interactive en 2023. 007: First Light arrive donc comme une réhabilitation, avec une approche radicalement différente : celle d’une aventure narrative centrée sur les origines de l’agent 007.

Contrairement aux jeux précédents, souvent critiqués pour leur gameplay daté ou leur scénario prévisible, ce nouveau titre mise sur :

  • Un système de choix influençant les relations entre personnages et, potentiellement, le dénouement de certaines missions.
  • Une reconstruction fidèle des lieux emblématiques de la saga (Londres, Istanbul, Jamaïque…), avec une attention particulière aux détails historiques.
  • Des mécaniques d’infiltration et de dialogue inspirées de Hitman, mais adaptées à l’univers Bond — moins de sandbox, plus de tension narrative.

Un pari risqué ? Peut-être. Mais avec un tel casting et une équipe de développement rompue à l’exercice (IO Interactive a prouvé avec Hitman 3 qu’elle maîtrisait l’art de l’immersion), les chances de succès sont réelles. D’autant que le jeu s’inscrit dans une continuité canonique avec les films, une première depuis GoldenEye 007 (1997).


Reste une question : 007: First Light parviendra-t-il à capturer l’essence de James Bond, ce mélange unique d’élégance, de danger et d’ironie qui fait le charme de la saga depuis 60 ans ? Les premiers éléments — casting, ambiance, scénario — laissent penser que oui. Mais comme le dirait Bond lui-même : "Les apparences sont parfois trompeuses."

Derrière les coulisses : quand le cinéma inspire le jeu

Peut-être ignorez-vous que 007: First Light est né d’une collaboration inédite entre le monde du jeu vidéo et celui du cinéma. Dès 2021, Barbara Broccoli et Michael G. Wilson (producteurs historiques de la saga Bond chez EON Productions) ont approché IO Interactive avec une idée claire : "Nous voulions un jeu qui ne se contente pas de reprendre les codes de Bond, mais qui les réinvente pour une nouvelle génération, tout en restant fidèle à l’esprit original."

Le résultat ? Un titre qui puise dans trois sources d’inspiration majeures :

  • Les romans de Fleming : Selina Tan, par exemple, est un clin d’œil aux personnages féminins complexes de l’auteur, comme Vesper Lynd (*Casino Royale*).
  • Les films "classiques" (années 60-70) : l’accent est mis sur l’espionnage froid et les intrigues politiques, plutôt que sur l’action pure.
  • Les jeux narratifs modernes : des titres comme Disco Elysium ou The Quarry ont influencé la structure dialoguée et les choix moraux.

Autre détail marquant : le jeu intégrera des archives audio inédites, notamment des enregistrements de Sean Connery et Roger Moore (avec l’accord de leurs familles), utilisés pour recréer l’ambiance sonore des décors historiques. Une touche d’authenticité qui devrait ravir les puristes.

Enfin, saviez-vous que Gemma Chan a elle-même participé à des sessions de motion capture pour les scènes clés de Selina Tan ? Une première pour l’actrice, qui confie : "C’était étrange de voir mon personnage prendre vie en 3D, avec mes expressions, mes gestes… Comme si Selina existait vraiment." Un détail qui renforce encore le réalisme du projet.

Avec 007: First Light, IO Interactive et EON Productions pourraient bien avoir trouvé la formule magique pour redonner ses lettres de noblesse à James Bond dans le jeu vidéo. Entre un casting cinq étoiles — porté par Gemma Chan dans un rôle aussi intrigant que mystérieux —, une narration ambitieuse et un souci du détail digne des meilleurs films de la saga, le titre a tout pour séduire. Reste à voir si le gameplay tiendra ses promesses, mais une chose est sûre : l’agent 007 n’a jamais été aussi proche de nous… même à l’écran.
À suivre donc, avec une sortie prévue en 2025 sur PC et consoles. En attendant, une question persiste : Selina Tan deviendra-t-elle une légende du MI6, à l’image de M ou Q ? L’avenir — et les joueurs — nous le diront.
L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
### Gemma Chan : de l’univers Marvel à l’espionnage britannique L'annonce a de quoi surprendre : après avoir marqué les esprits dans des blockbusters comme Captain Marvel (2019) ou Eternals (2021), Gemma Chan s'apprête à endosser un rôle bien différent, celui de Selina Tan dans 007: First Light. Ce personnage, décrit comme une "brillante académicienne spécialisée en psychologie et théorie des jeux", n’est pas un simple faire-valoir. Selon les premières informations, elle aurait joué un rôle décisif dans l’obtention du prestigieux statut 00 par James Bond, un détail qui ravira les fans de la saga. Une incursion dans l’univers de l’espionnage qui tombe à point nommé pour Chan, après son interprétation de l’énigmatique Erys dans Diablo IV (2023), où elle avait déjà prouvé son talent pour les rôles complexes et ambivalents. Mais qui est vraiment Selina Tan ? Les développeurs d’IO Interactive (à qui l’on doit la série Hitman) restent discrets, mais les rumeurs suggèrent un personnage aussi intelligent que manipulateur, capable de déjouer les pièges les plus subtils grâce à sa maîtrise des mécanismes psychologiques. Une approche qui rappelle étrangement celle de M dans ses jeunes années, ou même de certains antagonistes emblématiques comme Rosa Klebb (Bons baisers de Russie). Une chose est sûre : avec Chan dans ce rôle, 007: First Light pourrait bien offrir une nouvelle dimension aux relations humaines au sein du MI6, loin des clichés de l’agent solitaire. Pour l’actrice, ce projet représente aussi une opportunité unique : "Rejoindre l’univers de James Bond, c’est comme toucher à un mythe. Selina Tan est un personnage fascinant, à la fois vulnérable et redoutable. J’ai hâte que les joueurs découvrent son histoire." Une déclaration qui confirme l’ambition narrative du jeu, bien loin des simples shooters ou aventures linéaires. ### Un casting à la hauteur de la légende Bond Si Gemma Chan est sans doute la recrue la plus médiatisée, elle n’est pas la seule à apporter son talent à 007: First Light. Le jeu peut en effet se targuer d’un casting digne des plus grands films de la saga, avec : Patrick Gibson (The OA, Bridgerton) dans le rôle-titre de James Bond : un choix audacieux pour incarner un Bond plus jeune, encore en construction, avant qu’il ne devienne la légende que l’on connaît. Priyanga Burford (The Witcher: Blood Origin) en M : une interprétation qui promet d’être moins austère que celle de Judi Dench, avec peut-être plus de nuances. Lennie James (The Walking Dead, Line of Duty) dans le rôle de John Greenway, un mentor ambigu dont l’influence sur Bond pourrait s’avérer cruciale. Kiera Lester en Moneypenny : une version rajeunie du personnage, peut-être plus proactive que dans les films. Alastair Mackenzie et Noemie Nakai, respectivement en Q et Miss Roth, deux figures qui pourraient apporter une touche d’originalité à l’équipe technique du MI6. Une telle distribution ne peut que renforcer l’immersion cinématographique promise par les développeurs. D’autant que 007: First Light est le fruit d’une collaboration entre IO Interactive — maîtres du stealth et des mécaniques d’infiltration avec Hitman — et EON Productions, la société derrière les films Bond depuis Dr. No (1962). Un mariage entre expertise vidéoludique et héritage cinématographique qui laisse présager le meilleur. À noter que ce casting 100 % vocal (le jeu étant une aventure narrative) souligne une volonté de qualité dramatique, une tendance de plus en plus marquée dans les productions AAA. Comme l’explique un porte-parole d’IO Interactive : "Nous voulions des voix qui portent l’émotion, qui donnent vie à ces personnages comme dans un film. Avec ce casting, nous y sommes parvenus." ### 007: First Light : le retour tant attendu de Bond dans le jeu vidéo Il faut remonter à 007 Legends (2012) — un jeu au succès mitigé — pour trouver la dernière adaptation vidéoludique de la licence Bond. Depuis, les fans attendaient un retour en grâce, surtout après l’annulation du projet Project 007 initial d’IO Interactive en 2023. 007: First Light arrive donc comme une réhabilitation, avec une approche radicalement différente : celle d’une aventure narrative centrée sur les origines de l’agent 007. Contrairement aux jeux précédents, souvent critiqués pour leur gameplay daté ou leur scénario prévisible, ce nouveau titre mise sur : un système de choix influençant les relations entre personnages et, potentiellement, le dénouement de certaines missions. Une reconstruction fidèle des lieux emblématiques de la saga (Londres, Istanbul, Jamaïque…), avec une attention particulière aux détails historiques. Des mécaniques d’infiltration et de dialogue inspirées de Hitman, mais adaptées à l’univers Bond — moins de sandbox, plus de tension narrative. Un pari risqué ? Peut-être. Mais avec un tel casting et une équipe de développement rompue à l’exercice (IO Interactive a prouvé avec Hitman 3 qu’elle maîtrisait l’art de l’immersion), les chances de succès sont réelles. D’autant que le jeu s’inscrit dans une continuité canonique avec les films, une première depuis GoldenEye 007 (1997). Reste une question : 007: First Light parviendra-t-il à capturer l’essence de James Bond, ce mélange unique d’élégance, de danger et d’ironie qui fait le charme de la saga depuis 60 ans ? Les premiers éléments — casting, ambiance, scénario — laissent penser que oui. Mais comme le dirait Bond lui-même : "Les apparences sont parfois trompeuses." ### Derrière les coulisses : quand le cinéma inspire le jeu Peut-être ignorez-vous que 007: First Light est né d’une collaboration inédite entre le monde du jeu vidéo et celui du cinéma. Dès 2021, Barbara Broccoli et Michael G. Wilson (producteurs historiques de la saga Bond chez EON Productions) ont approché IO Interactive avec une idée claire : "Nous voulions un jeu qui ne se contente pas de reprendre les codes de Bond, mais qui les réinvente pour une nouvelle génération, tout en restant fidèle à l’esprit original." Le résultat ? Un titre qui puise dans trois sources d’inspiration majeures : Les romans de Fleming : Selina Tan, par exemple, est un clin d’œil aux personnages féminins complexes de l’auteur, comme Vesper Lynd (Casino Royale). Les films "classiques" (années 60-70) : l’accent est mis sur l’espionnage froid et les intrigues politiques, plutôt que sur l’action pure. Les jeux narratifs modernes : des titres comme Disco Elysium ou The Quarry ont influencé la structure dialoguée et les choix moraux. Autre détail marquant : le jeu intégrera des archives audio inédites, notamment des enregistrements de Sean Connery et Roger Moore (avec l’accord de leurs familles), utilisés pour recréer l’ambiance sonore des décors historiques. Une touche d’authenticité qui devrait ravir les puristes. Enfin, saviez-vous que Gemma Chan a elle-même participé à des sessions de motion capture pour les scènes clés de Selina Tan ? Une première pour l’actrice, qui confie : "C’était étrange de voir mon personnage prendre vie en 3D, avec mes expressions, mes gestes… Comme si Selina existait vraiment." Un détail qui renforce encore le réalisme du projet.

Ils en parlent aussi

Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen