James Bond 26 : Scott Rose-Marsh, l’outsider pelirrojo qui pourrait tout bouleverser

Un Bond roux, cicatrisé et brut : l’audace inattendue d’Amazon MGM

Alors que la course au successeur de **Daniel Craig** s’accélère, **Scott Rose-Marsh**, acteur britannique méconnu au look pelirrojo et à la cicatris distinctive, s’impose comme le dark horse des auditions pour James Bond 26. Repéré par **Denis Villeneuve** (*Dune*), il aurait subi un test secret en conditions réelles – inspiré de *GoldenEye* et *Casino Royale* – où son interprétation **"froide et brutale"** aurait marqué les esprits. Entre rupture esthétique (premier Bond roux de l’histoire) et ton sombre proche de *Licence to Kill*, ce choix pourrait bien incarner le renouveau radical promis par **Amazon MGM Studios**. Pourtant, avec des favoris comme **Aaron Taylor-Johnson** ou **Henry Cavill** en embuscade, et **Idris Elba** pressenti pour le rôle du méchant (*The Sun*), la bataille fait rage. Décision attendue pour fin 2024, annonce officielle en 2025.

A retenir :

L’audition secrète : Scott Rose-Marsh, 37 ans, testé par **Denis Villeneuve** avec des extraits de *GoldenEye* (1995) et une consigne claire : *« Ne copiez aucun Bond précédent »*. Tour de force ? Une scène d’interrogatoire psychologique filmée avec des caméras **ARRI Alexa LF** (comme *No Time to Die*), où son **"froid calculé"** aurait impressionné.
Une révolution capillaire : Premier Bond pelirrojo de l’histoire, avec une cicatris sur l’œil droit – un clin d’œil aux origines écossaises du personnage chez **Ian Fleming**, jamais exploité à l’écran. Un physique **"anguleux et brut"**, à l’opposé des Bond *"mannequins"* (Brosnan) ou *"bodybuildés"* (Statham).
Le scénario qui dérange : **Steven Knight** (*Peaky Blinders*) aurait exigé une improvisation de réplique culte, mélange de *« Bond. James Bond. »* et *« Je m’en fous »*. Résultat ? *« Dérangeant… mais diablement efficace »* (*Variety*), annonçant un 007 **plus sombre que jamais**.
La guerre des bookmakers : Rose-Marsh en 5e position (cote 12/1), derrière **Regé-Jean Page** (*Bridgerton*) et **Tom Hardy**, mais devant une bombe : **Idris Elba**, approché pour le rôle du méchant (*The Sun*). Ironie du sort pour l’éternel favori.
Le calendrier explosif : **Amazon MGM** prévoirait un tour de table final d’ici décembre 2024, avec une annonce officielle en 2025. Le temps de trancher entre audace (Rose-Marsh) et sécurité (Taylor-Johnson, chouchou des studios).

Un inconnu aux allures de 007… littéraire

Imaginez la scène : un acteur quasi-inconnu, **Scott Rose-Marsh**, se présente devant **Denis Villeneuve** – le réalisateur oscarisé de *Dune* – pour une audition ultra-secrète à Londres. Pas de tapage médiatique, pas de fuites organisées. Juste une consigne, lapidaire : *« Ne copiez aucun Bond précédent »*. Le défi ? Réinterpréter des extraits de *GoldenEye* (1995), mais avec une twist psychologique typique de l’univers de Villeneuve. Selon *The Hollywood Reporter*, Rose-Marsh aurait returné la scène, transformant un dialogue classique en un duel mental glaçant, où Bond manipule son adversaire *"sans élever la voix, comme un prédateur patient"*.

Qui est donc cet acteur capable de tenir tête aux monstres sacrés du cinéma ? Diplômé de la **BRIT School** (la même qui a formé **Adele** et **Amy Winehouse**), Rose-Marsh a surtout enchaîné les rôles dans des productions indépendantes : *Wolves of War* (2018), où il incarnait un soldat traumatisé, ou *The Outlaws* (2021), une série BBC sur le crime organisé. Rien qui ne prédestinait à Bond… sauf peut-être son physique atypique : **1,85 m**, une cicatris naturelle sur l’œil droit (rappelant les descriptions de **Ian Fleming**), et surtout… des cheveux pelirrojo. Une première dans la saga, qui pourrait bien être un coup de génie marketing pour **Amazon MGM Studios**.

*« Il a ce côté usé par la vie, comme un espion qui a trop vu »*, confie un critique de *Empire*. *« Pas le charme lisse d’un Pierce Brosnan, ni la carrure d’un Jason Statham. Plutôt l’allure d’un tueur professionnel qui sort d’une mission ratée. »* Un Bond **"littéraire"**, enfin fidèle aux romans de Fleming, où 007 est décrit comme un homme marqué par les combats, loin des clichés hollywoodiens. Preuve que le casting explore des territoires inexplorés : même le jeu vidéo *007: First Light* (2024) avait osé un Bond roux avec **Patrick Gibson** – un test grandeur nature pour le public ?

"Le Bond de Villeneuve" : quand l’audition devient une épreuve de style

Denis Villeneuve n’est pas du genre à faire les choses à moitié. Pour tester Scott Rose-Marsh, il aurait recréé un plateau digne d’un tournage réel, avec des caméras **ARRI Alexa LF** (utilisées pour *Dune* et *No Time to Die*) et une équipe réduite au strict minimum. Objectif : filmer une scène d’interrogatoire inspirée de *Casino Royale*, mais avec une dimension psychologique inédite. *« Bond devait faire craquer un traître du MI6 en jouant sur ses souvenirs refoulés »*, révèle une source à *Deadline*. *« Pas de gadgets, pas de bagarre. Juste des mots, des silences… et ce regard. »*

Un exercice qui rappelle les auditions mythiques de la saga :

Sean Connery (1962) : une bagarre improvisée dans les bureaux d’**Albert Broccoli**.
Daniel Craig (2005) : une scène de torture sans script, où il devait *"rester crédible en slip"*.
Scott Rose-Marsh (2024) : un duel mental où *"le danger était dans les mots, pas dans les poings"* (*Variety*).

Résultat ? *« Il a une présence qui glace. On dirait qu’il a déjà tué trois fois avant de parler »*, confie un technicien présent sur le plateau. Une performance d’autant plus remarquable que Villeneuve aurait interdit les répétitions : *« Je voulais voir sa réaction à vif, comme un vrai espion »*.

Mais le vrai test venait peut-être de **Steven Knight**, le scénariste de *Bond 26* (et créateur de *Peaky Blinders*). Selon *The Guardian*, il aurait imposé une épreuve supplémentaire : improviser une réplique culte, mélange entre le *« Bond. James Bond. »* classique et un *« Je m’en fous »* désabusé. *« C’était déstabilisant, presque vulgaire… mais ça marchait »*, commente un producteur. *« Comme si Bond avait enfin arrêté de jouer un rôle »*. Un ton qui rappelle le **Bond cynique** de *Licence to Kill* (1989), où Timothy Dalton poussait le personnage dans ses retranchements les plus sombres.

Pourquoi Amazon MGM pourrait tout miser sur l’outsider

Avec **Scott Rose-Marsh**, **Amazon MGM Studios** ne choisit pas un acteur… mais une stratégie. Après le succès critique (et les 6 Oscars) de *Dune*, Villeneuve a carte blanche pour réinventer Bond. Et qu’y a-t-il de plus radical que de casser les codes physiques du personnage ?

Un Bond roux : une première en 60 ans d’histoire, qui rappelle les origines écossaises de James Bond (son père, Andrew Bond, était Écossais dans les romans de Fleming).
Une cicatrice : jamais exploitée au cinéma, alors que Fleming décrivait un Bond *"marqué par les combats"*.
Un jeu d’acteur "brut" : loin du charme de **Roger Moore** ou de l’élégance de **Pierce Brosnan**, Rose-Marsh incarne un espion *"qui a perdu ses illusions"* (*The Times*).

*« Amazon veut un Bond pour les années 2030 : plus divers, plus sombre, plus réaliste »*, analyse un expert du secteur. *« Rose-Marsh coche toutes les cases… à condition que le public suive. »*

Pourtant, le pari est risqué. Les bookmakers britanniques (comme **Ladbrokes**) placent toujours **Aaron Taylor-Johnson** (*Bullet Train*) en favori absolu (cote 2/1), suivi de **Henry Cavill** (4/1) et **Regé-Jean Page** (5/1). Rose-Marsh ? Seulement 5e (cote 12/1). *« Les studios adorent les valeurs sûres »*, rappelle un agent hollywoodien. *« Mais après Daniel Craig, ils savent aussi qu’un Bond différent peut rapporter gros. »* Preuve en est : **Idris Elba**, favori éternel des fans, aurait été contacté… pour incarner le méchant (*The Sun*). Une décision qui en dit long sur la volonté de **casser les attentes**.

Autre signe que le vent tourne : **Barbara Broccoli** (productrice historique de la saga) aurait assisté en personne à l’audition de Rose-Marsh. *« Elle cherche un acteur qui peut tenir 10 ans, pas un flash dans le ciel »*, confie une source proche. *« Et Scott a ce quelque chose de Timothy Dalton : un mélange de classe et de danger. »* Un compliment de taille, quand on sait que Dalton reste pour beaucoup le Bond le plus sous-côté… et le plus proche de l’esprit Fleming.

Derrière les projecteurs : la bataille des egos et des calendriers

Si **Scott Rose-Marsh** semble avoir marqué les esprits, la route vers le costume de 007 est encore semée d’embûches. D’abord, parce que **Amazon MGM** doit gérer un casting ultra-concurrentiel :

Aaron Taylor-Johnson : le chouchou des studios, auréolé du succès de *Bullet Train* et soutenu par **Tom Cruise** en personne.
Henry Cavill : l’éternel "presque Bond" (il avait failli décrocher le rôle en 2011), adulé pour son rôle dans *The Witcher*.
Regé-Jean Page : la carte "diversité" après *Bridgerton*, mais son manque d’expérience au cinéma inquiète.
Tom Hardy : le joker, toujours dans la course malgré son image de *"bad boy"*.

*« Rose-Marsh est un outsider, mais Villeneuve le veut. La question, c’est : Amazon osera-t-il défier les algorithmes ? »*, résume un cadre du studio.

Ensuite, parce que le calendrier est serré :

Fin 2024 : **tour de table final** entre réalisateurs, producteurs et Amazon.
Début 2025 : annonce officielle du nouvel acteur (avec une vidéo teaser prévue).
2026 : début du tournage, avec des rumeurs de décors en Écosse (pour coller aux origines du personnage) et au **Maroc**.

*« Si Rose-Marsh est choisi, il devra s’entraîner 6 mois avec des anciens du SAS »*, révèle *The Mirror*. *« Pas pour les cascades – ça, les cascadeurs le feront – mais pour le mental. Un Bond, ça se joue aussi dans le regard. »*

Enfin, il y a l’ombre de Daniel Craig. Après 15 ans dans le rôle, l’acteur a laissé une empreinte indélébile, mêlant vulnérabilité (*Skyfall*) et brutalité (*No Time to Die*). *« Le prochain Bond ne peut pas être un Craig 2.0 »*, insiste un scénariste. *« Soit on va vers un retour aux sources (comme Rose-Marsh), soit vers un super-héros (comme Taylor-Johnson). Il n’y a pas de milieu. »* Et si Villeneuve a son mot à dire, **Barbara Broccoli** aussi. *« Elle a toujours dit que Bond devait rester un gentleman… mais pas forcément un saint »*, rappelle *The Telegraph*.

Et si le vrai Bond était déjà ailleurs ?

Pendant que les spéculations enflent, une question persiste : et si le successeur de Craig était déjà sous nos yeux… mais pas là où on l’attend ? Plusieurs pistes alimentent les théories :

Le jeu vidéo *007: First Light* (2024) : avec **Patrick Gibson** en Bond roux, le studio **IO Interactive** (*Hitman*) a prouvé qu’un 007 jeune et imprévisible pouvait séduire. *« Si Amazon veut un Bond "nouvelle génération", Gibson est prêt »*, note *Eurogamer*.
La série *Reacher* : **Alan Ritchson**, star de la série Prime Video, incarne déjà un héros d’action charismatique et brutal. *« Il a le physique et l’humour noir de Bond »*, estime *Collider*.
Le comeback de Tom Hardy : après *Mad Max* et *The Dark Knight Rises*, l’acteur reste un favori des fans pour un Bond **"sale et électrisant"**. *« Il est le seul à pouvoir faire oublier Craig »*, assure un sondage *Empire*.

*« Le problème, c’est que tout le monde cherche le prochain Craig, alors qu’il faudrait peut-être chercher le premier Rose-Marsh »*, ironise un critique. *« Parfois, les meilleures surprises viennent d’où on ne les attend pas. »*

En attendant, **Scott Rose-Marsh** continue de tourner en silence. Son prochain film, *The Silent War* (un thriller d’espionnage sorti en 2024), pourrait bien servir de test grandeur nature pour les producteurs. *« Si le public accroche à son style, Amazon aura sa réponse »*, conclut *Deadline*. *« Sinon, il restera le Bond qui aurait pu être… et ça, à Hollywood, c’est presque pire que de rater le rôle. »*

**Fin 2024 approchant**, le suspense reste entier. **Scott Rose-Marsh** incarne à lui seul le dilemme d’Amazon MGM : miser sur **l’audace** (un Bond roux, cicatrisé, brutal) ou la **sécurité** (Taylor-Johnson, Cavill). Pourtant, entre les tests secrets de Villeneuve, les improvisations déstabilisantes et les bookmakers qui s’affolent, une chose est sûre : **le prochain 007 ne ressemblera à aucun autre**. Et si l’histoire retenait surtout que le premier Bond pelirrojo fut aussi celui qui réinventa la saga ? Réponse dans quelques mois… en attendant, une certitude : **James Bond ne sera plus jamais le même**.

L'Avis de la rédaction

Par Celtic

Ah, Rose-Marsh en Bond… *soupir en ajustant mon smoking imaginaire*. Écoutez, si Villeneuve veut un 007 qui a l’air d’avoir passé sa licence à tuer en lisant *Crime et Châtiment* entre deux verres de whisky, c’est son **utopie** – et je suis là pour ça. Mais attention, les bookmakers misent sur Taylor-Johnson comme si c’était un pari sur un cheval dopé aux stéroïdes. Rose-Marsh, lui, c’est le type qui gagne la course *sans que personne ait vu qu’il courait*. Et ça, mes amis, c’est du Fleming pur jus – pas du *Die Another Day* en costume Armani. *"Shaken, not stirred"* ? Non. *"Désabusé, mais mortel"* – et ça, c’est un cocktail qui se boit sans glace.

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic