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Jump Space : Prix, feuille de route et innovations majeures (mêlée, FPS) dévoilés avant la sortie du 19 septembre
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Il y a 25 jours

Jump Space : Prix, feuille de route et innovations majeures (mêlée, FPS) dévoilés avant la sortie du 19 septembre

Un titre coopératif spatial qui mise sur l'innovation et la communauté

Jump Space, le jeu coopératif spatial développé par Keepsake Games, se prépare à un décollage en accès anticipé le 19 septembre sur Xbox Series X|S et PC pour 20 dollars. Sans PvP mais riche en mécaniques PvE, il promet une expérience unique où quatre joueurs gèrent ensemble un vaisseau, alternant entre exploration planétaire, combats spatiaux et réparations d'urgence. Avec une feuille de route ambitieuse jusqu'en 2026 (armes de mêlée, mode FPS, nouveaux boss), le studio mise sur des mises à jour régulières pour fidéliser sa communauté – déjà forte de plus d'un million de wishlists sur Steam.

A retenir :

  • Sortie en accès anticipé le 19 septembre sur Xbox Series X|S et PC à 20$, avec une approche 100% coopérative PvE inspirée de Left 4 Dead et Sea of Thieves.
  • Feuille de route détaillée jusqu'en 2026 : armes blanches (2025), mode première personne (Q1 2026), boss terrestres et secteurs inédits, plus une refonte des boucliers et du scanner tactique.
  • Gestion dynamique du vaisseau : chaque joueur endosse un rôle (pilote, ingénieur, soldat) pour des missions aléatoires et renouvelables, évitant la lassitude des early access.
  • Inspirations multiples : l'artisanat de Valheim, l'immersion de No Man's Sky (vue FPS), et le travail d'équipe de Deep Rock Galactic (outils en armes de mêlée).
  • Défi communautaire : avec 1M+ de wishlists, le studio doit prouver sa capacité à livrer un contenu à la hauteur, surtout après des promesses comme le combat au corps-à-corps dans un jeu spatial.

Un décollage imminent pour une aventure coopérative hors norme

Le 19 septembre 2024, Jump Space quittera enfin les docks de développement pour entrer en accès anticipé sur Xbox Series X|S et PC, au prix modique de 20 dollars. Développé par le studio indépendant Keepsake Games, ce titre se positionne comme une expérience coopérative pure, où jusqu’à quatre joueurs incarnent l’équipage d’un vaisseau spatial, devant allier leurs compétences pour survivre dans une galaxie hostile. Pas de PvP ici : l’accent est mis sur la coordination, entre réparations en urgence, combats tactiques et exploration de planètes procédurales.

Le jeu puise son inspiration dans des mécaniques éprouvées : l’aspect survie en équipe rappelle Left 4 Dead, tandis que la gestion collaborative du vaisseau évoque Sea of Thieves, le tout saupoudré d’une touche d’artisanat spatial proche de Valheim. Une combinaison audacieuse qui a déjà séduit : avec plus d’un million de wishlists sur Steam, Jump Space arrive avec un capital sympathie rare pour un titre indépendant. Mais le vrai défi commence maintenant : tenir ses promesses sur la durée, dans un marché saturé de jeux en early access.


Concrètement, les joueurs devront alterner entre plusieurs rôles : pilote aux commandes du vaisseau, ingénieur chargé des réparations, ou soldat en première ligne lors des phases d’abordage. Chaque mission, générée procéduralement, mélange objectifs principaux (comme la récupération de ressources) et événements aléatoires (attaques de pirates, pannes critiques), garantissant selon les développeurs une rejouabilité élevée. Reste à voir si cette formule, aussi prometteuse soit-elle, suffira à éviter l’écueil de la répétition – un risque courant pour les jeux reposant sur des mécaniques procédurales.

"On ne veut pas d’un autre Star Citizen" : la philosophie derrière Jump Space

Lors d’une interview accordée à PC Gamer en juin 2024, Markus "Keepsake" Larsson, directeur du studio, a insisté sur une volonté claire : "Créer un jeu coopératif accessible, sans la pression toxique du PvP." Une prise de position qui tranche avec des titres comme Eve Online ou Star Citizen, où la compétition entre joueurs peut vite tourner au cauchemar pour les nouveaux venus. Ici, l’accent est mis sur la collaboration, avec des mécaniques conçues pour récompenser la coordination plutôt que la performance individuelle.

Cette philosophie se retrouve dans le design des missions : pas de quêtes solitaires, mais des objectifs nécessitant une synchronisation parfaite entre les membres d’équipage. Par exemple, lors d’un abordage ennemi, le pilote devra stabiliser le vaisseau pendant que l’ingénieur répare les brèches et que les soldats repoussent les intrus. Une approche qui rappelle les "opérations" de Deep Rock Galactic, où chaque classe a un rôle précis à jouer. Mais contrairement au jeu de Ghost Ship Games, Jump Space mise sur un cadre narratif plus structuré, avec une trame scénaristique qui évoluera au fil des chapitres de la feuille de route.


Autre particularité : l’absence de microtransactions. Markus Larsson a confirmé que tous les contenus post-lancement (armes, vaisseaux, cosmétiques) seraient déverrouillables via le jeu, sans boutique en ligne. Une décision rare dans un secteur où les loot boxes et les pass de combat sont devenus la norme. "On veut que les joueurs progressent ensemble, pas qu’ils se sentent lésés parce qu’ils n’ont pas sorti leur portefeuille," explique-t-il. Un parti pris qui pourrait bien jouer en faveur du titre sur le long terme.

2025-2026 : une feuille de route chargée, entre mêlée et immersion FPS

La feuille de route de Jump Space est divisée en quatre chapitres, chacun apportant son lot de nouveautés. Dès le lancement, le Chapitre 1 : The Resistance Coalition posera les bases de l’univers, avec un système de discussion textuelle et des marchands dans les hangars pour faciliter les échanges entre équipages. Mais c’est à partir de 2025 que les choses deviennent vraiment intéressantes.

Le Chapitre 2 : Atira Strikes Back (début 2025) introduira les armes de mêlée, une première pour un jeu où le combat à distance domine. Ces nouvelles armes, comme des gaffes électrifiées ou des lames plasma, seront particulièrement utiles lors des phases d’exploration planétaire, où les affrontements en environnements confinés (bases ennemies, épaves) gagneront en intensité. Deep Rock Galactic a prouvé que des outils de mêlée pouvaient devenir des armes redoutables – ici, l’enjeu sera de trouver le bon équilibre pour ne pas désavantager les joueurs préférant le tir à distance.


Le vrai tournant arrivera avec le Chapitre 3 : Secrets of the Telmari (Q1 2026), qui marquera l’arrivée du mode première personne. Une décision audacieuse, qui rappelle les ajouts post-lancement de No Man’s Sky, où Hello Games avait introduit une vue subjective pour renforcer l’immersion. Dans Jump Space, ce mode permettra aux joueurs de basculer entre une vue à la troisième personne (idéal pour la gestion du vaisseau) et une perspective FPS (pour les combats au sol). Les développeurs promettent aussi une refonte du scanner, avec un système inspiré du Ping System d’Apex Legends, mais adapté à un cadre spatial. "L’idée est de donner plus de contrôle aux joueurs lors de l’exploration, pour qu’ils puissent marquer des points d’intérêt ou des dangers en temps réel," précise un communiqué.

Enfin, le Chapitre 4 : Heart of Corruption (date non précisée) clora cette phase de développement, avec l’ajout d’un boss terrestre géant et de nouveaux secteurs de la galaxie à explorer. Si Keepsake Games tient ses promesses, Jump Space pourrait bien devenir la référence du coopératif spatial d’ici 2026. Mais entre les défis techniques (comme la fluidité des transitions entre les vues) et l’équilibrage des nouvelles mécaniques, la route s’annonce semée d’embûches.

Les risques à surveiller : équilibre, répétition et attentes communautaires

Malgré son potentiel, Jump Space devra surmonter plusieurs obstacles pour s’imposer. Le premier ? L’équilibre entre les rôles. Avec l’ajout des armes de mêlée, les joueurs en solo pourraient se retrouver en difficulté face à des groupes coordonnés. "Si un ingénieur peut réparer et combattre en même temps avec une lame, à quoi bon avoir un soldat dédié ?", s’interroge déjà Thomas "ZeratoR" Pirou, streamer spécialisé dans les jeux coopératifs, lors d’une session de preview.

Autre écueil : la répétition des missions. Même avec un système procédural, les joueurs pourraient vite lasser si les objectifs manquent de variété. Keepsake Games mise sur des "événements dynamiques" (comme des attaques surprises ou des pannes aléatoires) pour maintenir l’intérêt, mais seul le temps dira si cela suffira. Enfin, avec plus d’un million de wishlists, les attentes sont énormes. Un seul faux pas – un retard de mise à jour, un contenu moins ambitieux que prévu – et la communauté pourrait vite se retourner.


Pourtant, les signes sont encourageants. Lors d’une session fermée en août 2024, les testeurs ont salué la "synergie entre les rôles" et la "tension bien dosée" des combats. "C’est le premier jeu où j’ai l’impression de vraiment faire partie d’un équipage, pas juste d’un groupe de joueurs qui se suivent," confie Marie, 28 ans, une bêta-testeuse. Si Jump Space parvient à capitaliser sur cette dynamique, il pourrait bien devenir le titre coopératif surprise de 2024-2025.

Comparaisons et inspirations : entre Deep Rock Galactic et Starfield

Sur le papier, Jump Space emprunte à plusieurs titres phares, mais avec une identité propre. Comme Deep Rock Galactic, il mise sur la coopération stricte et des rôles complémentaires, mais transpose cela dans un cadre science-fiction bien plus vaste. À l’inverse de Starfield, qui privilégie l’exploration solo et la liberté absolue, ici tout est conçu pour le travail d’équipe.

Côté combat, l’ajout des armes blanches rappelle Warframe, où les joueurs alternent entre tir et mêlée en fonction de la situation. Quant au mode FPS, il évoque les expérimentations de No Man’s Sky, même si Jump Space semble mieux armé pour l’intégrer dès le départ, sans patchs correctifs interminables. Enfin, l’absence de PvP le rapproche de The Forest ou Valheim, où la menace vient uniquement de l’environnement et des PNJ hostiles.


Reste une question : parviendra-t-il à se démarquer dans un marché saturé de jeux spatiaux ? Entre Starfield, Eve Online, et les nombreux early access comme Pulsar: Lost Colony, la concurrence est féroce. Mais avec son approche 100% coopérative et son prix accessible, Jump Space a une carte à jouer. À condition de livrer des mises à jour régulières et d’écouter sa communauté – deux promesses que Keepsake Games semble déterminé à tenir.

Avec son lancement en accès anticipé le 19 septembre, Jump Space s’apprête à offrir une expérience coopérative spatial unique en son genre. Entre gestion de vaisseau en équipe, combats tactiques et exploration procédurale, le titre de Keepsake Games mise sur une formule épurée mais ambitieuse. La feuille de route jusqu’en 2026 – incluant armes de mêlée, mode FPS et nouveaux boss – montre une volonté claire de faire évoluer le jeu bien au-delà d’un simple early access.

Reste à voir si le studio parviendra à maintenir l’engouement d’une communauté déjà massive (plus d’1 million de wishlists), tout en évitant les pièges classiques des jeux procéduraux : répétition, déséquilibres et retards de contenu. Une chose est sûre : avec son prix abordable, son approche 100% PvE et ses mécaniques innovantes, Jump Space a tout pour devenir le jeu coopératif spatial de référence… à condition de tenir ses promesses. Les joueurs ont maintenant une date en tête : le 19 septembre, jour où ils pourront enfin embarquer à bord de leur vaisseau et écrire leur propre histoire.

L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"Jump Space, c'est comme si Valheim avait décidé de prendre un vol spatial avec Left 4 Dead. On a hâte de voir si ce crew de Keepsake Games va réussir à éviter les embûches de l'espace et à nous offrir une aventure coopérative qui ne se répète pas. On est fans, mais on reste vigilants, surtout avec un million de wishlists qui nous regardent."

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic