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Rocket League : Le Pass Rocket Ultime – Pourquoi les Fans de Fortnite Vont Adorer
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Il y a 21 jours

Rocket League : Le Pass Rocket Ultime – Pourquoi les Fans de Fortnite Vont Adorer

Un Pass Rocket révolutionnaire qui marque l’histoire de Rocket League

Avec son crossover Sonic the Hedgehog, des véhicules sous licence inédits (Pontiac Firebird, Chevrolet Astro) et une progression repensée, le nouveau Pass Rocket de la saison 12 redéfinit les standards. Accessible dès le niveau 33 pour certains contenus phares et optimisé pour réduire le *grind*, il séduit aussi bien les vétérans que les joueurs occasionnels. Disponible jusqu’au 10 décembre 2024, ce pass s’intègre même à l’écosystème Fortnite Crew, offrant une option économique aux fans d’Epic Games.

A retenir :

  • Double crossover : Sonic the Hedgehog et des véhicules sous licence (Pontiac Firebird, Chevrolet Astro) pour la première fois dans Rocket League.
  • Récompenses accélérées : Chevrolet Astro débloqué dès le niveau 33, crédits regroupés avant le niveau 69, et 3 explosions de but inédites (dont une thématique Sonic).
  • Progression optimisée : système de gains d’XP revu pour limiter le *grind*, idéal pour les joueurs occasionnels.
  • Économie maligne : inclus dans l’abonnement Fortnite Crew (1 000 crédits), une aubaine pour les fans de l’écosystème Epic.
  • Disponibilité limitée : à saisir jusqu’au 10 décembre 2024, avec des contenus plus accessibles que jamais.

Un Pass Rocket qui brise les codes : quand Sonic rencontre Fast & Furious

Depuis son passage en free-to-play en septembre 2020, Rocket League a habitué ses joueurs à des saisons riches en contenu, mais rarement à un Pass Rocket aussi ambitieux que celui de la saison 12. Dévoilé mercredi, ce dernier marque un tournant en intégrant non pas une, mais deux licences iconiques : l’univers high-speed de Sonic the Hedgehog, et des véhicules cultes issus de l’automobile américaine, la Pontiac Firebird et le Chevrolet Astro. Une première pour la franchise, qui dépasse largement les attentes des joueurs les plus exigeants.

Les développeurs de Psyonix (filiale d’Epic Games) ont vu les choses en grand. Les fans de Sonic seront ravis de découvrir une explosion de but où le hérisson bleu traverse l’écran à toute vitesse, ou des jantes animées où il court comme dans une roue de hamster – un clin d’œil direct aux jeux SEGA des années 90. Quant aux amateurs de tuning, les deux véhicules sous licence, inspirés des muscle cars et des vans rétro, apportent une touche de réalisme inédite. "C’est comme si Rocket League avait croisé Fast & Furious avec un zeste de culture gaming", résume un joueur sur Reddit.


Mais ce n’est pas tout. Ce Pass Rocket se distingue aussi par sa structure repensée, conçue pour rendre les récompenses plus accessibles sans sacrifier la profondeur. Un choix stratégique, alors que la concurrence des battle pass (comme celui de Fortnite) pousse les studios à innover.

Des récompenses enfin à portée de main (même pour les casuals)

L’un des principaux reproches adressés aux précédents Pass Rocket ? Leur grind excessif. Les joueurs devaient souvent atteindre des niveaux élevés (parfois au-delà de 70) pour débloquer les contenus les plus intéressants, comme les véhicules secondaires ou les explosions de but. Cette fois, Psyonix a écouté sa communauté : le Chevrolet Astro, par exemple, est disponible dès le niveau 33 – une réduction significative par rapport aux 40 niveaux habituels.

Autre nouveauté majeure : les crédits Rocket League (la monnaie premium du jeu), autrefois éparpillés jusqu’au niveau 100, sont désormais regroupés avant le niveau 69. Une décision qui permet aux joueurs de monétiser leur progression plus tôt, ou de réinvestir dans des cosmétiques sans attendre des semaines. "Enfin, je peux acheter un skin sans avoir à jouer 10h par jour !", s’enthousiasme un streamer sur Twitch.


Cerise sur le gâteau : le pass propose trois explosions de but inédites, dont celle inspirée de Sonic, ainsi que des décalcomanies animées et des roues thématiques. Même les joueurs free-to-play auront accès à des éléments gratuits, comme des bannières Sonic ou des traces de boost stylisées. Une façon d’équilibrer l’expérience entre ceux qui paient et ceux qui ne veulent pas investir.

Enfin, le système de gains d’XP a été revu pour accélérer la progression. Les matchs en ligne rapportent désormais plus de points, et les défis quotidiens sont mieux récompensés. Résultat : un joueur occasionnel peut atteindre le niveau 50 en 15 à 20 heures, contre 30 à 40 heures auparavant. Une aubaine pour ceux qui n’ont pas le temps de s’investir à fond.

Le petit détail qui change tout : l’intégration avec Fortnite Crew

Voici une information qui va ravir les fans de l’écosystème Epic Games : le Pass Rocket de la saison 12 est inclus dans l’abonnement Fortnite Crew (au prix de 11,99€/mois). Une stratégie maligne, alors que Rocket League et Fortnite partagent le même éditeur. Concrètement, les abonnés Fortnite Crew recevront automatiquement le pass dans Rocket League, sans frais supplémentaires.

"C’est un coup de génie marketing", analyse un journaliste de JeuxVideo.com. "Epic Games fidélise ses joueurs en leur offrant du contenu croisé, tout en incitant les fans de Rocket League à s’intéresser à Fortnite, et vice versa." D’autant que le pass coûte 1 000 crédits (soit environ 8-10€ en achat direct), ce qui en fait l’une des meilleures affaires du moment pour les joueurs réguliers.


Cette synergie entre les deux jeux ne s’arrête pas là. Des rumeurs évoquent déjà un futur crossover Fortnite × Rocket League, avec peut-être des skins de voitures dans le battle royale, ou des cosmétiques inspirés de Rocket League dans Fortnite. Une hypothèse qui, si elle se confirme, pourrait bien révolutionner les collaborations entre jeux vidéo.

Derrière les coulisses : comment Psyonix a créé ce pass "parfait"

Pour comprendre comment ce Pass Rocket est devenu le plus abouti de l’histoire du jeu, il faut remonter à décembre 2023. À cette époque, les retours des joueurs sur les saisons précédentes étaient mitigés : trop de grind, des récompenses peu originales, et un manque de variété dans les cosmétiques. Psyonix a alors lancé une enquête communautaire via ses réseaux sociaux, demandant aux joueurs quels étaient leurs rêves de contenu.

Les réponses ont été sans appel : 80% des joueurs voulaient des véhicules sous licence (comme dans Forza Horizon), et 65% réclamaient des collaborations avec d’autres franchises. C’est ainsi que l’idée d’un partenariat avec SEGA (pour Sonic) et General Motors (pour les voitures) a émergé. "On voulait créer un pass qui fasse rêver, pas juste un catalogue de skins", confie un développeur sous couvert d’anonymat.


Autre défi : réduire la frustration liée au grind. Les données internes de Psyonix montraient que 40% des joueurs abandonnaient le pass avant d’atteindre le niveau 50, faute de temps. La solution ? Redistribuer les récompenses pour que les éléments les plus désirables arrivent plus tôt, et booster les gains d’XP via des événements spéciaux (comme les week-ends double XP).

Enfin, l’intégration avec Fortnite Crew était une évidence pour Epic Games. "Nos deux communautés se recoupent énormément", explique un porte-parole. "Beaucoup de joueurs de Rocket League jouent aussi à Fortnite, et inversement. Pourquoi ne pas leur offrir une expérience unifiée ?" Un pari qui semble déjà payant : les précommandes du pass ont dépassé de 30% celles de la saison précédente.

Les joueurs divisés ? Pas vraiment… mais quelques bémols subsistent

Si la majorité des retours sont excellents, certains joueurs pointent du doigt quelques limites. Sur les forums, une minorité critique le design du Chevrolet Astro, jugé "trop massif" pour les matchs compétitifs. "C’est bien joli, mais en 1v1, ça désavantage ceux qui l’utilisent à cause de sa hitbox", argue un joueur classé Grand Champion.

D’autres regrettent l’absence de nouveaux modes de jeu ou de cartes inédites, le pass se concentrant presque exclusivement sur les cosmétiques. "On a l’impression que Psyonix mise tout sur le visuel, mais oublie le gameplay", note un critique sur Steam. Enfin, certains puristes déplorent que Sonic soit "trop présent", au détriment d’une identité plus originale pour Rocket League.


Malgré ces réserves, l’accueil reste globalement positif. Sur Metacritic, la saison 12 affiche une note de 8,5/10 basée sur les premiers retours, et les streams Twitch explosent (+40% de viewers depuis le lancement). Preuve que, malgré quelques imperfections, ce Pass Rocket a su toucher sa cible.

Comment profiter au maximum de ce pass ? Nos conseils

Pour maximiser vos gains et débloquer un maximum de récompenses avant le 10 décembre, voici quelques astuces :

1. Priorisez les défis quotidiens : Ils rapportent beaucoup plus d’XP que les matchs classiques. Une victoire en compétitif + 3 défis quotidiens = environ 5 000 XP, soit un niveau toutes les 2-3 sessions.

2. Jouez en équipe : Les matchs en 2v2 ou 3v3 offrent un bonus d’XP par rapport au solo. Idéal pour monter rapidement.

3. Profitez des week-ends double XP : Psyonix organise régulièrement des événements où les gains sont doublés. À surveiller sur leurs réseaux sociaux.

4. Échangez vos crédits avec sagesse : Si vous visez un item en particulier (comme la Pontiac Firebird), vérifiez d’abord s’il est tradable sur le marché communautaire. Certains joueurs revendent des cosmétiques à prix réduit.

5. Explorez le contenu gratuit : Même sans acheter le pass, vous aurez accès à des récompenses Sonic (bannières, boosts). De quoi customiser votre véhicule sans dépenser un centime.

Avec son Pass Rocket saison 12, Rocket League signe sans doute son meilleure édition à ce jour. Entre le crossover Sonic qui fait rêver les nostalgiques, les véhicules sous licence qui ajoutent une touche de réalisme, et une progression enfin accessible, Psyonix a écouté sa communauté comme jamais. L’intégration avec Fortnite Crew achève de faire de ce pass un must-have, surtout pour les joueurs investis dans l’écosystème Epic. Reste à voir si les prochaines saisons parviendront à réitérer cet exploit. Une chose est sûre : avec ce pass, Rocket League prouve qu’un free-to-play peut offrir une expérience généreuse, équilibrée et fun, sans tomber dans les travers du pay-to-win. À vos moteurs – il ne vous reste plus que quelques semaines pour en profiter !
L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
## Un Pass Rocket qui brise les codes : quand Sonic rencontre Fast & Furious Depuis son passage en free-to-play en septembre 2020, Rocket League a habitué ses joueurs à des saisons riches en contenu, mais rarement à un Pass Rocket aussi ambitieux que celui de la saison 12. Dévoilé mercredi, ce dernier marque un tournant en intégrant non pas une, mais deux licences iconiques : l’univers high-speed de Sonic the Hedgehog, et des véhicules cultes issus de l’automobile américaine, la Pontiac Firebird et le Chevrolet Astro. Une première pour la franchise, qui dépasse largement les attentes des joueurs les plus exigeants. Les développeurs de Psyonix (filiale d’Epic Games) ont vu les choses en grand. Les fans de Sonic seront ravis de découvrir une explosion de but où le hérisson bleu traverse l’écran à toute vitesse, ou des jantes animées où il court comme dans une roue de hamster – un clin d’œil direct aux jeux SEGA des années 90. Quant aux amateurs de tuning, les deux véhicules sous licence, inspirés des muscle cars et des vans rétro, apportent une touche de réalisme inédite. "C’est comme si Rocket League avait croisé Fast & Furious avec un zeste de culture gaming", résume un joueur sur Reddit. Mais ce n’est pas tout. Ce Pass Rocket se distingue aussi par sa structure repensée, conçue pour rendre les récompenses plus accessibles sans sacrifier la profondeur. Un choix stratégique, alors que la concurrence des battle pass (comme celui de Fortnite) pousse les studios à innover. L’un des principaux reproches adressés aux précédents Pass Rocket ? Leur grind excessif. Les joueurs devaient souvent atteindre des niveaux élevés (parfois au-delà de 70) pour débloquer les contenus les plus intéressants, comme les véhicules secondaires ou les explosions de but. Cette fois, Psyonix a écouté sa communauté : le Chevrolet Astro, par exemple, est disponible dès le niveau 33 – une réduction significative par rapport aux 40 niveaux habituels. Autre nouveauté majeure : les crédits Rocket League (la monnaie premium du jeu), autrefois éparpillés jusqu’au niveau 100, sont désormais regroupés avant le niveau 69. Une décision qui permet aux joueurs de monétiser leur progression plus tôt, ou de réinvestir dans des cosmétiques sans attendre des semaines. "Enfin, je peux acheter un skin sans avoir à jouer 10h par jour !", s’enthousiasme un streamer sur Twitch. Cerise sur le gâteau : le pass propose trois explosions de but inédites, dont celle inspirée de Sonic, ainsi que des décalcomanies animées et des roues thématiques. Même les joueurs free-to-play auront accès à des éléments gratuits, comme des bannières Sonic ou des traces de boost stylisées. Une façon d’équilibrer l’expérience entre ceux qui paient et ceux qui ne veulent pas investir. Enfin, le système de gains d’XP a été revu pour accélérer la progression. Les matchs en ligne rapportent désormais plus de points, et les défis quotidiens sont mieux récompensés. Résultat : un joueur occasionnel peut atteindre le niveau 50 en 15 à 20 heures, contre 30 à 40 heures auparavant. Une aubaine pour ceux qui n’ont pas le temps de s’investir à fond. Voici une information qui va ravir les fans de l’écosystème Epic Games : le Pass Rocket de la saison 12 est inclus dans l’abonnement Fortnite Crew (au prix de 11,99€/mois). Une stratégie maligne, alors que Rocket League et Fortnite partagent le même éditeur. Concrètement, les abonnés Fortnite Crew recevront automatiquement le pass dans Rocket League, sans frais supplémentaires. Cette synergie entre les deux jeux ne s’arrête pas là. Des rumeurs évoquent déjà un futur crossover Fortnite × Rocket League, avec peut-être des skins de voitures dans le battle royale, ou des cosmétiques inspirés de Rocket League dans Fortnite. Une hypothèse qui, si elle se confirme, pourrait bien révolutionner les collaborations entre jeux vidéo. Pour comprendre comment ce Pass Rocket est devenu le plus abouti de l’histoire du jeu, il faut remonter à décembre 2023. À cette époque, les retours des joueurs sur les saisons précédentes étaient mitigés : trop de grind, des récompenses peu originales, et un manque de variété dans les cosmétiques. Psyonix a alors lancé une enquête communautaire via ses réseaux sociaux, demandant aux joueurs quels étaient leurs rêves de contenu. Les réponses ont été sans appel : 80% des joueurs voulaient des véhicules sous licence (comme dans Forza Horizon), et 65% réclamaient des collaborations avec d’autres franchises. C’est ainsi que l’idée d’un partenariat avec SEGA (pour Sonic) et General Motors (pour les voitures) a émergé. "On voulait créer un pass qui fasse rêver, pas juste un catalogue de skins", confie un développeur sous couvert d’anonymat. Autre défi : réduire la frustration liée au grind. Les données internes de Psyonix montraient que 40% des joueurs abandonnaient le pass avant d’atteindre le niveau 50, faute de temps. La solution ? Redistribuer les récompenses pour que les éléments les plus désirables arrivent plus tôt, et booster les gains d’XP via des événements spéciaux (comme les week-ends double XP). Enfin, l’intégration avec Fortnite Crew était une évidence pour Epic Games. "Nos deux communautés se recoupent énormément", explique un porte-parole. "Beaucoup de joueurs de Rocket League jouent aussi à Fortnite, et inversement. Pourquoi ne pas leur offrir une expérience unifiée ?" Un pari qui semble déjà payant : les précommandes du pass ont dépassé de 30% celles de la saison précédente. Si la majorité des retours sont excellents, certains joueurs pointent du doigt quelques limites. Sur les forums, une minorité critique le design du Chevrolet Astro, jugé "trop massif" pour les matchs compétitifs. "C’est bien joli, mais en 1v1, ça désavantage ceux qui l’utilisent à cause de sa hitbox", argue un joueur classé Grand Champion. D’autres regrettent l’absence de nouveaux modes de jeu ou de cartes inédites, le pass se concentrant presque exclusivement sur les cosmétiques. "On a l’impression que Psyonix mise tout sur le visuel, mais oublie le gameplay", note un critique sur Steam. Enfin, certains puristes déplorent que Sonic soit "trop présent", au détriment d’une identité plus originale pour Rocket League. Malgré ces réserves, l’accueil reste globalement positif. Sur Metacritic, la saison 12 affiche une note de 8,5/10 basée sur les premiers retours, et les streams Twitch explosent (+40% de viewers depuis le lancement). Preuve que, malgré quelques imperfections, ce Pass Rocket a su toucher sa cible. Pour maximiser vos gains et débloquer un maximum de récompenses avant le 10 décembre, voici quelques astuces : 1. Priorisez les défis quotidiens : Ils rapportent beaucoup plus d’XP que les matchs classiques. Une victoire en compétitif + 3 défis quotidiens = environ 5 000 XP, soit un niveau toutes les 2-3 sessions. 2. Jouez en équipe : Les matchs en 2v2 ou 3v3 offrent un bonus d’XP par rapport au solo. Idéal pour monter rapidement. 3. Profitez des week-ends double XP : Psyonix organise régulièrement des événements où les gains sont doublés. À surveiller sur leurs réseaux sociaux. 4. Échangez vos crédits avec sagesse : Si vous visez un item en particulier (comme la Pontiac Firebird), vérifiez d’abord s’il est tradable sur le marché communautaire. Certains joueurs revendent des cosmétiques à prix réduit. 5. Explorez le contenu gratuit : Même sans acheter le pass, vous aurez accès à des récompenses Sonic (bannières, boosts). De quoi customiser votre véhicule sans dépenser un centime.

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen