Il y a 42 jours
**Sisu: Road to Revenge** – Le trailer explosif de la suite ultra-violente : vengeance finlandise, duels brutaux et paysages enflammés
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**Pourquoi *Sisu: Road to Revenge* va-t-il redéfinir le cinéma d'action en 2025 ?**
Après le succès fracassant de *Sisu* (2023), comparé à un *John Wick* scandinave exterminant des nazis, la suite **promet un carnage encore plus spectaculaire**. Jorma Tommila incarne à nouveau **Aatami Korpi**, un héros quasi invincible de **65 ans**, lancé dans une **quête de vengeance sanglante** contre l’Armée rouge en Finlande post-Seconde Guerre mondiale. Face à lui, **Stephen Lang** (*Avatar*, *Don’t Breathe*), **71 ans**, campe un commandant soviétique aussi impitoyable que physique.**Ce qui change tout ?**
- Des **duels corps-à-corps 100% réels** – *« des os qui craquent pour de vrai »*, sans cascades numériques.
- Des **séquences pyrotechniques tournées sans CGI**, comme un **camion-citerne enflammé** sur un lac gelé à **-15°C**.
- Un **son Atmos binaural** qui plonge le spectateur au cœur de l’action – *« on entend les pas de l’ennemi se rapprocher »*.
- Des **paysages finlandais transformés en arènes mortelles**, inspirés des tactiques de la **Guerre d’Hiver (1939-1940)**.
A retenir :
- Duel de titans : **Jorma Tommila (65 ans) vs Stephen Lang (71 ans)** – des combats **brutaux et crédibles**, sans trucages, où *« chaque coup porte son poids »*.
- Finnish Fury 2.0 : La Finlande devient une **arme** – forêts enneigées, lacs gelés et **pièges inspirés de la Guerre d’Hiver**, avec des cascades tournées dans des **conditions extrêmes (-15°C)**.
- Effets pratiques spectaculaires : Scène culte du **pont enflammé** – **3 véhicules réels brûlés**, *« l’odeur de gasoil imprégnait le plateau »*.
- Immersion sensorielle totale : Son **Atmos binaural** pour une expérience *« où l’on entend la neige craquer sous les bottes de l’ennemi »*.
- Un tournage sans compromis : **3 semaines de répétitions** pour les scènes de combat, avec Lang réalisant **80% de ses cascades**.
- Date clé : **21 novembre 2025** – le retour du **cinéma d’action pur**, loin des blockbusters aseptisés.
**Sisu: Road to Revenge – Quand la vengeance se écrit dans le sang et la neige**
Il y a des films qui marquent par leur **folie contrôlée**, et *Sisu* (2023) en faisait partie. Avec son héros **quasi invincible**, son **humour noir décomplexé** et ses **séquences d’action dignes d’un cartoon hyperviolent**, le film de Jalmari Helander avait séduit les fans de **cinéma d’action brut**. Deux ans plus tard, *Sisu: Road to Revenge* promet d’aller encore plus loin – et le **trailer exclusif** le confirme : **la Finlande va brûler**.
Cette fois, **Aatami Korpi** (Jorma Tommila) revient dans son pays natal après la Seconde Guerre mondiale, pour découvrir un **cauchemar** : sa famille a été **massacrée par l’Armée rouge**. Ce qui suit ? Une **traque impitoyable**, où chaque plan semble conçu pour **électriser les salles**. *« Nous avons poussé les limites en termes d’émotion, de folie et de séquences d’action »*, déclare Helander. *« C’est du cinéma à l’état pur, avec un son Atmos qui fait vibrer les murs. »*
Et pour cause : le réalisateur a **transformé les paysages finlandais en personnages à part entière**. Forêts enneigées, lacs gelés, routes désertes… Tout devient une **arme** dans les mains de Korpi. *« On a étudié les tactiques des partisans finlandais pendant la Guerre d’Hiver (1939-1940) »*, explique Helander. *« Aatami utilise les mêmes principes, mais en version *Mad Max* – avec des explosifs, des pièges et une rage qui n’a pas de limites. »*
**Tommila vs Lang : le choc des générations (et des poings)**
Si *Sisu* avait déjà imposé **Jorma Tommila** comme une **force brute du cinéma d’action**, *Road to Revenge* mise sur un **affrontement intergénérationnel explosif**. En face de lui, **Stephen Lang** (*Avatar*, *Don’t Breathe*), en commandant soviétique **Yeagor**, incarne l’antagoniste idéal : *« Un adversaire à sa mesure, avec une présence physique qui rend chaque combat crédible »*, souligne Helander.
Le réalisme est **au cœur du film**. Pas de chorégraphies trop lisses, pas de cascades numériques : *« Ce sont deux mecs qui s’envoient valdinguer dans la boue, les os qui craquent pour de vrai »*, confie une source proche du tournage. Pour y parvenir, l’équipe a consacré **trois semaines de répétitions** aux scènes de combat, avec Lang insistant pour effectuer **80% de ses cascades lui-même**. *« Il voulait que ça se sente, que le public ait mal pour eux »*, révèle un membre de l’équipe.
Résultat ? Des séquences où **chaque coup porte son poids** – littéralement. *« Quand Yeagor et Korpi s’affrontent dans la neige, on sent la fatigue, la douleur, la rage »*, décrit Helander. *« C’est du cinéma **physique**, pas du spectacle aseptisé comme dans *Fast & Furious* ou *Mission Impossible*. »*
🔥 Le saviez-vous ?
Pendant le tournage de la scène du **pont enflammé**, l’équipe a dû **éteindre un début d’incendie** dans la forêt environnante. *« On avait prévenu les pompiers, mais le vent a propagé les flammes plus vite que prévu »*, raconte un technicien. *« Finalement, ça a ajouté une tension réelle à la scène ! »*
**La Finlande, terrain de jeu mortel : quand la nature devient complice**
*Sisu: Road to Revenge* ne se contente pas d’exploiter ses acteurs : **le pays lui-même joue un rôle clé**. Helander a transformé les **forêts enneigées** et les **lacs gelés** en **terrains de guerre**, inspirés des **tactiques de guérilla** utilisées pendant la **Guerre d’Hiver** contre l’URSS.
Exemple frappant : **la scène du pont**, tournée sur le **lac Inari**, où Korpi détourne un **camion-citerne pour enflammer une colonne de blindés**. *« On a brûlé trois véhicules réels, sans CGI »*, raconte un technicien. *« L’odeur de gasoil et de pin carbonisé imprégnait tout le plateau. C’était **glacial, dangereux et incroyablement excitant**. »*
Autre détail technique marquant : les **sons environnementaux** (craquement de la glace, vent dans les sapins) ont été enregistrés en **binaural** pour le mix Atmos. *« Quand Yeagor traque Korpi dans la neige, on entend littéralement ses pas se rapprocher derrière vous »*, précise le sound designer **Timo Hietala**. *« Le public va **ressentir le froid, la peur et l’adrénaline** comme s’il y était. »*
Cette approche rappelle des films comme *The Raid* ou *Dredd*, mais avec une **touche nordique unique** : *« Ici, le froid est un personnage à part entière »*, souligne Helander. *« Il ralentit les mouvements, rend les combats plus difficiles, et ajoute une **dimension survie** à l’action. »*
**Un son qui tue (littéralement) : l’immersion Atmos comme arme secrète**
Si les images promettent déjà un **spectacle visuel époustouflant**, le son de *Sisu: Road to Revenge* pourrait bien être **son atout majeur**. Le film mise sur une **bande-son Atmos ultra-précise**, où chaque détail compte : *« Le craquement de la neige sous les bottes, le souffle haletant des personnages, le bruit sourd d’un coup de poing… Tout a été enregistré pour que le spectateur **ressente physiquement** l’action »*, explique Timo Hietala.
Pour y parvenir, l’équipe a utilisé des **microphones binauraux**, placés directement sur les acteurs pendant les scènes de combat. *« Quand Korpi se bat, vous entendez **son cœur battre**, sa respiration s’accélérer »*, décrit le sound designer. *« C’est une expérience **viscérale**, bien loin du son standard des blockbusters. »*
Helander va même plus loin : *« On a travaillé avec des **bruiteurs** pour recréer des sons de **corps qui s’écrasent**, de **neige qui se soulève sous les impacts**… *« Le but ? Que le public **ait l’impression d’être dans la mêlée**. »*
Une approche qui rappelle des films comme *1917* ou *Dunkirk*, où le son joue un rôle **aussi important que l’image**. *« Ici, c’est encore plus brutal »*, prévient Helander. *« Parce que *Sisu*, c’est avant tout une **expérience sensorielle**. »*
**Pourquoi ce film pourrait bien devenir culte (ou diviser)**
*Sisu: Road to Revenge* a tout pour plaire aux fans d’**action pure et dure** : des **cascades réelles**, des **duels physiques**, une **ambiance glaciale** et un **son immersif**. Pourtant, il pourrait aussi **diviser**.
Certains critiques pointent déjà du doigt son **côté "trop violent"** ou son **humour noir parfois limite**. *« C’est un film qui **ne fait aucun compromis** »*, reconnaît Helander. *« Soit vous adhérez à cette folie, soit vous détestez. Il n’y a pas de demi-mesure. »*
D’autres, comme le journaliste **Mark Kermode**, saluent au contraire son **audace** : *« Enfin un film d’action qui **ose être brutal, drôle et émouvant** sans tomber dans le politiquement correct ! »*
Une chose est sûre : avec *Sisu: Road to Revenge*, **le cinéma d’action européen** prouve qu’il peut rivaliser avec Hollywood – **sans effets numériques surabondants**, mais avec **du sang, de la sueur et une bonne dose de folie nordique**.