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Tales of Berseria Remastered (2026) : Le Retour Triomphal de Velvet Crowe en 4K/60 FPS
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Pourquoi ce remaster de Tales of Berseria (2026) est-il un événement à ne pas manquer ?
À l’occasion des 30 ans de la saga Tales of, Bandai Namco revisite son RPG culte de 2017 avec une refonte technique ambitieuse : **4K/60 FPS**, **ray tracing sur PC**, et un **système de combat (LMBS) optimisé** pour les consoles next-gen. L’**édition Deluxe**, riche en contenus exclusifs (artbook numérique, bande-son réorchestrée, skin alternatif pour Velvet), célèbre l’héritage du titre tout en séduisant les nouveaux joueurs. Une plongée émotionnelle dans l’histoire sombre de **Velvet Crowe**, désormais enrichie par la **motion capture** et un **doublage retravaillé**, pour une expérience fidèle à l’original mais résolument moderne.A retenir :
- Un bond technique spectaculaire : 4K/60 FPS sur PS5 et Xbox Series X|S, **ray tracing et modèles 3D haute densité sur PC**, et des temps de chargement réduits grâce aux SSD.
- Velvet Crowe comme jamais : Une histoire de vengeance **plus immersive** grâce à la motion capture, des animations faciales expressives, et un doublage repensé pour coller aux émotions du personnage.
- L’édition Deluxe, un hommage aux fans : Artbook numérique de 100 pages, bande-son réorchestrée, et des bonus exclusifs comme la **Lame du Crépuscule** (absente en 2017) et un skin inédit pour Velvet.
- Un système de combat dynamisé : Le **Linear Motion Battle System (LMBS)** revisité offre des animations plus fluides et une **IA partenaire améliorée**, répondant aux critiques de la version originale.
- Fidélité récompensée : Les joueurs ayant possédé le jeu en 2017 bénéficieront de **bonus exclusifs** via un système de fidélité (détails à venir).
Velvet Crowe, une héroïne intemporelle qui mérite son retour en lumière
Quand Tales of Berseria est sorti en 2017, il a marqué un tournant pour la saga Tales of. Non pas par son succès commercial – la série a toujours eu un public fidèle –, mais par son **audace narrative**. Velvet Crowe, son héroïne tourmentée, brisait les codes des RPG japonais avec sa **quête de vengeance sombre**, loin des archétypes du "héros élu". Six ans plus tard, Bandai Namco lui offre une seconde jeunesse avec un remaster qui promet d’être **à la hauteur de son statut de culte**.
Ce n’est pas un hasard si ce remaster arrive en **2026**, année des **30 ans de la saga**. Après des titres comme Tales of Arise (2021), qui a modernisé la formule avec brio, les développeurs ont choisi de revenir aux sources en **subtilisant l’expérience originale** plutôt qu’en la révolutionnant. Une approche similaire à celle de NieR Replicant ver.1.22474487139..., où l’accent est mis sur **l’immersion émotionnelle** et la **fidélité à l’esprit du jeu**.
Mais pourquoi Berseria et pas un autre ? La réponse tient en trois mots : **Velvet, l’histoire, le système de combat**. Le personnage de Velvet, interprétée avec une intensité rare par la comédienne japonaise **Rina Satou**, a marqué les joueurs par sa **complexité psychologique**. Son parcours, entre **trahison, souffrance et rédemption**, est porté par un scénario qui ose aborder des thèmes comme **la folie, la manipulation religieuse, et le prix de la vengeance**. Des thèmes toujours d’actualité, et que le remaster compte **mettre encore plus en valeur** grâce à des **cinématiques retravaillées** et un **doublage enrichi**.
Une refonte technique qui place la barre très haut
Passons aux choses sérieuses : **que change concrètement ce remaster ?** Sur le papier, la liste est impressionnante. Les joueurs sur **PS5, Xbox Series X|S et PC** pourront profiter d’une **résolution 4K native en 60 FPS**, là où la version PS4 peignait en 1080p à 30 FPS. Les possesseurs de **PC ultra-performants** iront plus loin avec le **support du ray tracing** et des **modèles 3D haute densité**, une première pour la saga.
Côté optimisations, les **temps de chargement** – un point noir de la version originale – ont été **drastiquement réduits** grâce aux SSD des consoles next-gen. Les **effets visuels** ont également été repensés : éclairages dynamiques plus réalistes, ombres portées plus précises, et une **gestion des particules** (pour les sorts, par exemple) bien plus fluide. Pour se faire une idée, Bandai Namco cite Tales of Arise comme référence technique, un titre déjà salué pour sa **direction artistique époustouflante**.
Le **Linear Motion Battle System (LMBS)**, cœur du gameplay de la série, n’a pas été oublié. Les développeurs promettent des **animations plus fluides**, une **IA partenaire moins "bête"** (un reproche récurrent en 2017), et des **combinaisons de coups mieux équilibrées**. Les puristes apprécieront aussi la possibilité de **désactiver certaines aides** pour retrouver la difficulté originale.
Enfin, côté **accessibilité**, le remaster intégrera des **options de personnalisation** inédites : taille des sous-titres, vitesse des dialogues, et même un **mode "cinéma"** pour savourer les cutscenes sans interruption. Une attention aux détails qui rappelle que Tales of Berseria n’est pas qu’un jeu, mais une **expérience narrative**.
"L’Édition du 30e Anniversaire" : un hommage aux fans, et une porte d’entrée pour les nouveaux
Si le jeu de base promet déjà de belles surprises, c’est l’**édition Deluxe** (ou "Édition du 30e Anniversaire", comme la nomme Bandai Namco) qui risque de faire parler d’elle. Au menu :
- Un **artbook numérique de 100 pages**, retraçant les **concepts visuels** du jeu, des croquis inédits aux illustrations finales. Un must pour les amateurs d’art et les collectionneurs.
- Une **bande-son complète réorchestrée**, avec des pistes retravaillées pour coller aux standards audio actuels. Les mélodies de **Go Shiina** (compositeur historique de la saga) n’ont jamais sonné aussi bien.
- Un **pack de bataille "Héritage"** inspiré des thèmes musicaux des anciens Tales of, pour les nostalgiques.
- Un **pack d’herbes rares**, offrant un **boost statistique dès le début** de l’aventure – un clin d’œil aux bonus des éditions limitées japonaises, comme ceux de Tales of Zestiria (2015).
Mais le vrai argument choc, c’est le **contenu exclusif aux précommandes** :
- Un **skin alternatif pour Velvet**, inspiré de son **design conceptuel initial** (plus sombre et plus "guerrier" que la version finale).
- La **Lame du Crépuscule**, une arme légendaire **absente du jeu original**, qui promet des capacités uniques en combat.
- Des **bonus de fidélité** pour les joueurs ayant possédé la version 2017 (détails à venir, mais on parle de **tenues supplémentaires** ou d’**objets rares**).
Une stratégie qui rappelle celle de Final Fantasy VII Remake, où les éditions collector visaient à **célébrer l’héritage** tout en attirant les nouveaux joueurs. Ici, Bandai Namco mise sur **l’équilibre entre nostalgie et innovation**, un pari risqué mais qui pourrait payer.
Derrière les coulisses : comment ce remaster a vu le jour
Saviez-vous que Tales of Berseria était à l’origine conçu comme un **spin-off** de Tales of Zestiria ? À la base, l’équipe voulait explorer le **passé du monde** introduit dans Zestiria, avec un ton bien plus adulte. Mais au fil du développement, le projet a pris son envol, devenant un **titre à part entière**, avec son propre univers et ses mécaniques.
Pour ce remaster, Bandai Namco a fait un choix audacieux : **ne pas tout changer**. Contrairement à Final Fantasy VII Remake, qui réinventait presque entièrement son scénario, ici, l’accent est mis sur **l’amélioration de l’existant**. Les développeurs ont collaboré avec **l’équipe originale**, dont le réalisateur **Hideo Baba**, pour s’assurer que chaque modification respecte **l’âme du jeu**.
Un exemple frappant : les **scènes de Malveillance** (où Velvet se transforme sous l’effet de sa rage). Dans la version 2017, ces moments étaient déjà impressionnants, mais limités par la puissance de la PS4. Aujourd’hui, avec la **motion capture et des animations faciales plus précises**, ces séquences gagnent en **intensité dramatique**. "Nous voulions que les joueurs **ressentent physiquement** la douleur et la colère de Velvet", explique un membre de l’équipe dans une interview récente.
Autre détail intéressant : le **doublage**. Si Rina Satou reprend son rôle de Velvet, certains personnages secondaires ont été **recastés** pour mieux coller aux attentes actuelles. Une décision qui a divisé les fans, mais qui s’inscrit dans une volonté de **moderniser sans trahir**.
Velvet vs. Artorius : une rivalité qui dépasse le jeu
Au cœur de Tales of Berseria, il y a **Velvet et Artorius**, deux personnages dont la relation complexe a marqué les joueurs. Artorius Collbrand, le "méchant" du jeu, n’est pas un simple antagoniste : c’est un **hommes brisé par ses idéaux**, dont les actes ont des conséquences dévastatrices. Leur duel, à la fois **physique et philosophique**, est l’un des points forts du scénario.
Dans le remaster, cette dynamique est **renforcée** par :
- Des **dialogues supplémentaires** (optionnels) qui éclairent leurs motivations.
- Des **expressions faciales plus nuancées**, rendant leurs échanges encore plus **chargés d’émotion**.
- Une **bande-son adaptative**, qui évolue en fonction des choix du joueur (notamment via le système de Malveillance).
Un choix narratif qui rappelle The Witcher 3, où les relations entre personnages gagnent en profondeur grâce à des **détails immersifs**. Ici, Bandai Namco prouve qu’un RPG peut être **à la fois épique et intime**, sans sacrifier l’un pour l’autre.
Pour qui est fait ce remaster ?
**Les puristes** y trouveront une version **fidèle mais sublimée** de leur jeu préféré, avec des **bonus qui célèbrent l’héritage** de la saga. Les **nouveaux joueurs**, eux, découvriront un RPG **mature et technique**, loin des clichés du genre. Quant aux **collectionneurs**, l’édition Deluxe est une **mine d’or** de contenus exclusifs.
Reste une question : **faut-il craquer pour ce remaster si on a déjà le jeu original ?** Tout dépend de ce que vous cherchez. Si vous voulez **redécouvrir l’histoire de Velvet avec des graphismes et un gameplay modernisés**, la réponse est oui. Si vous espérez un **scénario entièrement réécrit** ou des **donjons inédits**, en revanche, vous risquez d’être déçu.
Une chose est sûre : avec ce remaster, Bandai Namco **pose les bases** pour l’avenir de la saga. Après Tales of Arise, qui a séduit un public plus large, Berseria rappelle que les Tales of savent aussi **oser la noirceur et la complexité**. Et ça, c’est une excellente nouvelle pour les fans de RPG.
À suivre de près : les **bonus de fidélité** pour les anciens joueurs, et surtout, **l’accueil réservé à cette version 2026**. Si le pari est réussi, on peut espérer voir d’autres Tales of bénéficier du même traitement. En attendant, une chose est sûre : **Velvet Crowe est de retour, et elle n’a pas fini de nous surprendre**.

