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Metal Gear Solid Delta: Tactical Edition à 59,88€ – Une offre à ne pas manquer pour les fans de Snake
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Il y a 1 jour

Metal Gear Solid Delta: Tactical Edition à 59,88€ – Une offre à ne pas manquer pour les fans de Snake

Pourquoi cette réduction sur la Tactical Edition de Metal Gear Solid Delta: Snake Eater est une aubaine ?

La version physique Tactical Edition du remake tant attendu voit son prix chuter pour la première fois sur PS5 et Xbox Series X, passant à 59,88 $ chez Amazon et Walmart. Une occasion idéale pour profiter des bonus exclusifs comme le Sneaking DLC Pack (10 cosmétiques) et le White Tuxedo, initialement réservés aux précommandes. Pendant ce temps, la Collector’s Edition, avec son Terrarium Diorama et son steelbook signé Yoji Shinkawa, reste un graal pour les collectionneurs, malgré son prix élevé. Sans oublier les goodies dérivés (figurines Tubbz, patches, bandana) qui complètent l’expérience pour les fans les plus dévoués.

A retenir :

  • La Tactical Edition de Metal Gear Solid Delta: Snake Eater passe à 59,88 $ sur PS5 et Xbox Series X, incluant le Sneaking DLC Pack (10 cosmétiques) et le White Tuxedo.
  • La Collector’s Edition (200-225 $) propose un Terrarium Diorama reproduisant une scène culte, un steelbook exclusif, et des goodies comme la carte d’identité de Snake et les patches Halo Jump et Fox.
  • Les joueurs PC peuvent se tourner vers la Digital Deluxe Edition (59,87 $ chez Fanatical), offrant les mêmes bonus que la Tactical Edition.
  • Des goodies dérivés (figurines Tubbz, patches brodés, bandana de Snake) sont disponibles en édition limitée chez GameStop et autres revendeurs.
  • Attention : les stocks des éditions spéciales et des DLC exclusifs pourraient s’épuiser rapidement, laissant place à l’édition standard, moins garnie.

Une première réduction qui fait mouche : la Tactical Edition à 59,88 $

C’est une nouvelle qui devrait ravir les fans de Metal Gear Solid : la Tactical Edition de Metal Gear Solid Delta: Snake Eater connaît sa première baisse de prix sur PS5 et Xbox Series X. Disponible à 59,88 $ chez Amazon et Walmart (contre 70 $ initialement), cette version physique se distingue par son contenu exclusif, à commencer par le Sneaking DLC Pack. Ce dernier inclut pas moins de dix éléments cosmétiques : six tenues (dont l’emblématique Crocodile Suit et les versions Naked), deux masques (GA-KO et Kerotan), ainsi que des camos faciaux pour personnaliser Snake à l’envi.


Mais ce n’est pas tout : le White Tuxedo, initialement réservé aux précommandes, est lui aussi inclus via un code distinct. Une aubaine pour ceux qui n’avaient pas sauté le pas dès l’annonce du jeu. Attention cependant, car cette offre pourrait bien être éphémère. Les prochains tirages de la Tactical Edition ne devraient en effet plus intégrer ces bonus, laissant place à une édition standard bien moins généreuse. Autrement dit, si vous hésitiez encore, c’est le moment ou jamais de craquer.


Côté PC, les joueurs ne sont pas en reste. La Digital Deluxe Edition, disponible à 59,87 $ chez Fanatical, propose exactement les mêmes avantages que sa contrepartie physique. Une alternative intéressante pour ceux qui préfèrent le dématérialisé, sans sacrifier le contenu exclusif.

Collector’s Edition : un hommage physique à la hauteur de la légende

Pour les collectionneurs et les fans inconditionnels, la Collector’s Edition reste la référence absolue. Toujours disponible chez Amazon et Walmart200 $ sur PS5 et 225 $ sur Xbox Series X), cette édition ultime se pare d’un Terrarium Diorama reproduisant une scène culte de la mission d’ouverture du jeu. Un détail qui ravira les puristes, d’autant que ce diorama est accompagné d’un steelbook exclusif, orné de l’artwork original signé Yoji Shinkawa – le directeur artistique historique de la série.


Mais ce n’est pas tout. L’édition inclut également un lanyard avec la carte d’identité de Snake, les patches Halo Jump et Fox, ainsi que le jeu en version Tactical Edition (avec ses DLC, donc). Un ensemble qui justifie largement son prix, même si celui-ci n’a pas bougé depuis sa sortie – à l’exception d’une brève réduction à 168,65 $ en début de mois, rapidement sold out. Pour les amateurs de pièces rares, cette édition est un must-have, d’autant que les stocks pourraient bien fondre comme neige au soleil.


Petite anecdote : saviez-vous que le Terrarium Diorama a été conçu en collaboration avec des artisans japonais spécialisés dans les maquettes militaires ? Une touche d’authenticité qui renforce encore le côté "pièce de musée" de cette édition.

Goodies dérivés : quand la folie Metal Gear s’invite chez vous

Si la Collector’s Edition reste hors de portée (ou trop encombrante), pas de panique : les fans peuvent se tourner vers une multitude de goodies dérivés, tout aussi savoureux. Parmi les plus insolites, on trouve les figurines Tubbz, ces petits canards en vinyle à l’effigie des personnages de la série. Solid Snake en tenue de camouflage y côtoie d’autres icônes, dans un style décalé qui plaît autant aux collectionneurs qu’aux amateurs de décorations originales.


Côté plus classique, GameStop propose une gamme exclusive de produits, incluant des patches brodés (parfaits pour customiser une veste ou un sac) et des répliques d’accessoires emblématiques, comme le célèbre bandana de Snake. Ces articles, bien que moins onéreux que la Collector’s Edition, s’adressent aux puristes souhaitant agrémenter leur espace gaming sans se ruiner. Là encore, les stocks sont limités, et certains goodies pourraient bien devenir des pièces de collection à part entière.


Un conseil : si vous visez un article en particulier, mieux vaut ne pas trop tarder. Les éditions spéciales et les goodies Metal Gear ont tendance à s’arrachés comme des petits pains, surtout quand ils sont aussi bien pensés.

Pourquoi cette réduction tombe à point nommé ?

Cette baisse de prix sur la Tactical Edition intervient à un moment clé. D’une part, le jeu a déjà eu le temps de séduire les early adopters, et les retours des joueurs sont globalement excellents – surtout concernant les améliorations graphiques et le gameplay retravaillé. D’autre part, les fêtes de fin d’année approchent, et les revendeurs comme Amazon ou Walmart commencent à ajuster leurs tarifs pour attirer les acheteurs.


Autre point important : les rumeurs concernant une éventuelle pénurie de stocks pour les éditions physiques se multiplient. Konami n’a pas communiqué officiellement sur le sujet, mais plusieurs revendeurs ont déjà prévenu que les réapprovisionnements pourraient être limités. Une raison de plus pour sauter sur l’occasion avant que la Tactical Edition ne disparaisse des rayons, remplacée par une version standard bien moins intéressante.


Enfin, pour les indécis, sachez que cette réduction s’aligne presque parfaitement avec le prix de la Digital Deluxe Edition sur PC. Une preuve que les éditeurs cherchent à équilibrer l’offre entre les différentes plateformes, sans lésiner sur les bonus.

Le mot de la fin : une opportunité à ne pas laisser filer

Que vous soyez un fan de la première heure ou un nouveau venu dans l’univers de Metal Gear Solid, cette réduction sur la Tactical Edition est une vraie bonne nouvelle. Entre les cosmétiques exclusifs, le White Tuxedo, et la perspective de voir les stocks s’épuiser, tous les voyants sont au vert pour passer à l’achat. Et si votre budget le permet, la Collector’s Edition reste un investissement judicieux pour les collectionneurs, avec ses pièces uniques et son steelbook somptueux.


Quant aux goodies dérivés, ils offrent une façon ludique et abordable de prolonger l’expérience. Alors, prêt à replonger dans l’univers de Snake Eater ? Cette fois, c’est avec un peu plus de style – et sans vous ruiner.

Avec sa Tactical Edition à 59,88 $, Metal Gear Solid Delta: Snake Eater devient enfin accessible sans sacrifier les bonus exclusifs. Les joueurs sur PS5 et Xbox Series X ont tout intérêt à profiter de cette offre avant que les stocks ne s’épuisent, tandis que les collectionneurs peuvent toujours craquer pour la Collector’s Edition, malgré son prix élevé. Les goodies dérivés, comme les figurines Tubbz ou les patches, ajoutent une touche de folie pour les fans les plus dévoués. Une chose est sûre : cette réduction tombe à pic pour (re)découvrir un classique revisité avec panache.

L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"C'est le moment de faire un saut dans le passé avec style. La Tactical Edition à 59,88 $, c'est comme si Snake lui-même vous tendait la main pour vous guider vers une aventure inoubliable. Ne laissez pas filer cette opportunité, surtout avec les stocks qui pourraient bien se faire la malle. C'est le moment de craquer, avant que la réduction ne devienne une légende urbaine. Allez, foncez !"
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic
PS2 : La Console Qui a Tout Osé – 25 Ans d’Audace et de Génie Ludique
Soluce

Il y a 1 jour

PS2 : La Console Qui a Tout Osé – 25 Ans d’Audace et de Génie Ludique

Pourquoi la PS2 reste-t-elle la reine incontestée des consoles, même 25 ans après son lancement ?

Avec 155 millions d’unités écoulées, un record absolu, la PlayStation 2 a transcendé son statut de simple machine pour devenir un phénomène culturel. Entre Grand Theft Auto: San Andreas (27,5 millions de ventes) et des joyaux expérimentaux comme Shadow of the Colossus ou Rule of Rose, elle a offert une diversité inégalée, mêlant blockbusters et œuvres d’auteur. Son héritage ? Une époque où le jeu vidéo osait tout : narrations métatextuelles (Metal Gear Solid 2), horreur psychologique (Silent Hill 2), ou même RPG hybrides (Persona 3). Aujourd’hui, ses titres les plus rares s’arrachent à prix d’or (jusqu’à 200€ pour Rule of Rose), rappelant une ère où l’audace primait sur le calcul marketing.

A retenir :

  • Record historique : 155 millions de PS2 vendues, devant la Nintendo DS, grâce à un catalogue alliant blockbusters (GTA, FIFA) et pépites cultes (Ico, Katamari Damacy).
  • Révolution narrative : Metal Gear Solid 2 (2001) et Shadow of the Colossus (2005) ont redéfini le storytelling, le premier avec une intrigue métatextuelle, le second par un minimalisme poétique toujours inégalé.
  • Expériences uniques : Des jeux comme Rule of Rose (survival horror psychologique) ou Drakengard (dark fantasy brutale) n’ont jamais été réédités en HD, devenant des pièces de collection (jusqu’à 200€).
  • Maîtrise de l’horreur : Silent Hill 2 et Fatal Frame III ont exploité les limites techniques (brouillards, éclairages) pour créer une tension psychologique que même Resident Evil Village (2021) peine à égaler.
  • L’âge d’or des RPG : Persona 3/4 et Disgaea ont combiné profondeur stratégique (100+ heures de contenu) et récits innovants, influençant encore des titres comme Metaphor: ReFantazio (2024).
  • Démocratisation du jeu vidéo : Contrairement au PC, la PS2 a rendu accessibles des expériences variées, des jeux sportifs (FIFA) aux ovnis ludiques (Katamari Damacy), prouvant que le console gaming pouvait être à la fois grand public et avant-gardiste.

1999–2000 : La Naissance d’un Phénomène Culturel

Le 4 mars 2000 (Japon) puis le 26 octobre de la même année (Europe), Sony lance une console qui va bouleverser l’industrie : la PlayStation 2. À l’époque, les concurrents misent sur des stratégies claires : Nintendo avec sa GameCube, axée sur les franchises familiales (Mario, Zelda), et Microsoft avec l’Xbox, centrée sur le multijoueur en ligne et Halo. La PS2, elle, choisit une voie radicalement différente : être tout pour tout le monde.

Son atout majeur ? Un lecteur DVD intégré, une première pour une console, qui la transforme en appareil polyvalent pour les foyers. Mais c’est surtout son catalogue de jeux qui va marquer les esprits. Dès 2001, des titres comme Grand Theft Auto III (Rockstar) ou Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty (Konami) prouvent que la PS2 n’est pas qu’une machine à jeux : c’est un médium narratif capable de rivaliser avec le cinéma.

Pourtant, le succès n’est pas immédiat. Les premiers mois sont marqués par des pénuries de stocks (la demande dépasse largement l’offre) et des critiques sur le manque de jeux next-gen au lancement. Mais Sony a un plan : inonder le marché avec des exclusivités variées, des jeux sportifs (FIFA, Pro Evolution Soccer) aux RPG japonais (Final Fantasy X), en passant par des expériences uniques comme Rez (2001), un shoot’em up musical psychédélique.


"La PS2 était comme un couteau suisse : elle faisait tout, et bien. Que vous soyez fan de FPS, de RPG ou de jeux bizarres comme Katamari Damacy, il y avait quelque chose pour vous."Didier Malenfant, rédacteur en chef du magazine Joypad (2003–2010).

L’Âge d’Or des Jeux Exclusifs : Quand la PS2 Défiait les Limites

Si la PS2 est devenue légendaire, c’est grâce à des titres qui ont repoussé les frontières du jeu vidéo. Prenez Shadow of the Colossus (2005) : avec ses 16 colosses à abattre dans un monde désertique, le jeu de Team Ico mise sur l’émotion pure. Pas de HUD envahissant, pas de quêtes secondaires inutiles — juste une expérience immersive, malgré des limites techniques (720p non natif, framerate instable). Résultat ? Un chef-d’œuvre qui influence encore des jeux comme The Legend of Zelda: Breath of the Wild (2017).

À l’opposé, Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty (2001) joue la carte de la complexité narrative. Hideo Kojima y explore des thèmes comme la manipulation médiatique et la guerre psychologique, avec des cinématiques si ambitieuses qu’elles font encore débat aujourd’hui. Le jeu anticipe même des œuvres comme Spec Ops: The Line (2012), prouvant que la PS2 n’était pas qu’une console pour adolescents, mais un support pour des récits matures.

Et que dire de Ico (2001) ? Ce jeu, où un jeune garçon doit protéger une princesse mystérieuse, pose les bases du game design émotionnel. Son système de prise de main (la princesse suit le joueur en le tenant par la main) et son architecture inspirée des châteaux européens en font une œuvre intemporelle, toujours citée comme référence par des développeurs comme Neil Druckmann (The Last of Us).

"Ces Jeux N’Existeront Plus Jamais" : Les Pépites Méconnues de la PS2

Mais la vraie magie de la PS2 réside dans ses titres confidentiels, aujourd’hui introuvables ou vendus à prix d’or. Rule of Rose (2006), par exemple, est un survival horror psychologique où une jeune fille affronte des enfants monstrueux dans un orphelinat hanté. Le jeu mise sur une ambiance oppressante, avec des graphismes volontairement bruts (textures basses résolution, éclairages dynamiques rudimentaires) pour renforcer l’angoisse. Aujourd’hui, une copie originale peut coûter jusqu’à 200€ — un symbole de la rareté de ces expériences uniques.

Autre exemple : Drakengard (2003), un dark fantasy ultra-violent où le joueur alterne entre combats aériens (en dragon) et phases de RPG tactique au sol. Le jeu, développé par Cavia (futurs créateurs de Nier), est connu pour son scénario apocalyptique et ses fin multiples, dont une particulièrement choquante (la "Fin E", où le protagoniste se suicide). Malgré des graphismes datés (30 FPS verrouillés, modèles 3D anguleux), son audace narrative en fait un culte.

Ces jeux soulignent un paradoxe : la PS2, console la plus vendue de l’histoire, a aussi été celle des expériences éphémères. Beaucoup n’ont jamais eu de réédition HD, et leurs créateurs (comme Goichi Suda pour Killer7) peinent à retrouver une telle liberté créative aujourd’hui.


"La PS2 était le dernier bastion où les développeurs japonais pouvaient prendre des risques sans que les éditeurs leur disent 'non'. Aujourd’hui, un jeu comme Rule of Rose serait impossible à financer."Jérémie "Knall" McCallum, historien du jeu vidéo.

L’Héritage Invisible : Comment la PS2 a Influencé le Jeu Moderne

Si la PS2 est souvent célébrée pour ses blockbusters, son vrai héritage réside dans son influence sur les genres. Prenez les RPG japonais : Persona 3 (2006) et Persona 4 (2008) ont révolutionné le genre en mêlant vie sociale (simulation de lycéen) et combat tour par tour. Leur système de "Social Links" (relations avec les personnages) est aujourd’hui repris dans des jeux comme Fire Emblem: Three Houses (2019).

Dans un autre registre, Katamari Damacy (2004) a prouvé qu’un jeu pouvait triompher sans graphismes réalistes. Avec son concept absurde (une boule qui avale tout) et sa bande-son jazzy, il est devenu un phénomène culturel, inspirant des titres comme Untitled Goose Game (2019). Même Silent Hill 2 (2001) et Fatal Frame III (2005) ont marqué l’histoire du survival horror, avec des mécaniques de peur basées sur la psychologie plutôt que sur les jumpscares.

Enfin, la PS2 a aussi été un laboratoire pour le multijoueur. Final Fantasy XI (2002) et Phantasy Star Online (2000) ont posé les bases des MMORPG sur console, bien avant World of Warcraft. Et que dire de SOCOM: U.S. Navy SEALs (2002), l’un des premiers FPS en ligne sur console à utiliser un microphone USB pour la communication vocale ?

2025 : La PS2, un Objet de Collection ou une Console Toujours Vivante ?

Aujourd’hui, la PS2 est à la fois un objet de nostalgie et un défis pour les collectionneurs. Les prix des jeux rares explosent : Persona 4 (version originale) se vend autour de 150€, et Kuon (2004), un survival horror inspiré du folklore japonais, peut atteindre 300€. Pourtant, la console reste accessible : on trouve encore des PS2 d’occasion à moins de 50€, et l’émulation (via PCSX2) permet de jouer à la plupart des titres en HD.

Mais la vraie question est : la PS2 a-t-elle encore un avenir ? Sony a arrêté la production en 2013, et les rééditions (comme Shadow of the Colossus Remake en 2018) restent rares. Pourtant, des communautés de moddeurs maintiennent la console en vie, avec des projets comme FreeMcBoot (pour jouer à des jeux depuis un disque dur) ou des translations fans de jeux jamais sortis en Occident (ex : Tactics Ogre: Let Us Cling Together).

En 2025, la PS2 n’est plus seulement une console : c’est un symbole d’une époque révolue, où les développeurs pouvaient innover sans contraintes. Une époque où un jeu comme Vib-Ribbon (1999), un rhythm game en fil de fer, pouvait exister aux côtés de Gran Turismo 3. Et c’est peut-être ça, son plus grand héritage : avoir prouvé que le jeu vidéo pouvait être à la fois un divertissement grand public et une forme d’art.

Vingt-cinq ans après son lancement, la PlayStation 2 reste une anomalie dans l’histoire du jeu vidéo. Aucune autre console n’a réussi à concilier succès commercial (155 millions d’unités) et audace créative (des jeux comme Rule of Rose ou Drakengard). Elle a été le terrain de jeu de générations de développeurs, un pont entre l’ère 2D et le 3D moderne, et surtout, une machine qui a osé prendre des risques.

Aujourd’hui, alors que l’industrie privilégie les franches sûres et les live services, la PS2 rappelle une époque où l’étrange et l’expérimental avaient leur place. Ses jeux, qu’ils soient devenus des classiques intouchables (Shadow of the Colossus) ou des raretés mythiques (Kuon), continuent d’inspirer. Et si son hardware montre ses limites (des graphismes en 480p, des chargements lents), son héritage, lui, est intemporel.

Alors, la PS2 est-elle morte ? Pas vraiment. Entre les collectionneurs qui traquent ses pépites, les moddeurs qui la font évoluer, et les créateurs qui s’en inspirent encore, elle survit. Pas comme un simple objet rétro, mais comme une preuve que le jeu vidéo peut être à la fois populaire et révolutionnaire. Et ça, aucune autre console ne peut en dire autant.

L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
La PS2, c'est comme un bon vin : elle vieillit bien, mais elle reste accessible. Les jeux rares, c'est comme des trésors enfouis, à découvrir avec patience. Et même si elle n'est plus produite, elle continue de vivre grâce à des passionnés. C'est ça, la PS2 : un symbole d'une époque où l'innovation était reine.
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen
Pokémon Labyrinth : Le jeu de société à -50% sur Amazon, une aventure à ne pas manquer !
Actualité

Il y a 2 jours

Pokémon Labyrinth : Le jeu de société à -50% sur Amazon, une aventure à ne pas manquer !

Un voyage captivant dans l’univers Pokémon à prix réduit !

Le Pokémon Labyrinth Board Game, adaptation officielle du célèbre Labyrinthe de Ravensburger, est actuellement en promotion à 17 $ sur Amazon (au lieu de 30 $), soit une réduction spectaculaire de 43 %. Sorti en 2021, ce jeu de société plonge les joueurs dans un univers dynamique où ils incarnent Pikachu, Charmander, Bulbasaur ou Squirtle pour capturer des Pokémon légendaires comme Snorlax ou Eevee. Une version fluorescente, lancée en 2023, reste disponible à son prix d’origine pour une expérience encore plus immersive.

A retenir :

  • Promotion exceptionnelle : Le jeu à 17 $ seulement (-43 %) sur Amazon, contre 30 $ initialement.
  • Univers Pokémon immersif : Incarnation de Pikachu, Charmander, Bulbasaur ou Squirtle pour capturer des Pokémon emblématiques.
  • Mécanique dynamique : Un labyrinthe modifiable à chaque partie pour une rejouabilité infinie.
  • Accessible à tous : Idéal pour les fans de Pokémon et les familles, dès 7 ans.
  • Version fluorescente : Une édition 2023 à 30 $ pour une ambiance lumineuse unique.
  • Durée optimale : Des parties de 20 à 30 minutes, parfaites pour des moments ludiques sans prise de tête.
  • Cadeau idéal : Un jeu stratégique et fun, parfait pour les fêtes ou les anniversaires.

Une adaptation réussie du classique Labyrinthe de Ravensburger

Le Pokémon Labyrinth Board Game n’est pas un simple jeu de société : c’est une plongée interactive dans l’univers Pokémon, où chaque partie devient une aventure unique. Inspiré du célèbre Labyrinthe de Ravensburger, un jeu culte depuis des décennies, cette version Pokémon reprend les mécaniques éprouvées du jeu original tout en y ajoutant une touche de magie Pocket Monsters.

Ici, les murs ne sont pas fixes : à chaque tour, les joueurs déplacent des tuiles pour modifier le labyrinthe, créant ainsi des chemins imprévisibles. L’objectif ? Capturer des Pokémon en atteignant leurs emplacements avant les adversaires. Avec 24 tuiles de labyrinthe modifiables et des cartes Pokémon à collectionner, la rejouabilité est garantie. Et comme dans tout bon jeu Pokémon, la stratégie compte autant que la chance : faut-il bloquer un adversaire ou foncer vers Mewtwo ?


Sorti en 2021, ce jeu a rapidement séduit les fans, aussi bien pour son design coloré que pour sa facilité d’accès. Les règles sont simples, mais les possibilités tactiques sont nombreuses, ce qui en fait un excellent choix pour les enfants dès 7 ans comme pour les adultes nostalgiques de la première génération Pokémon.

Des personnages cultes et une immersion totale

Ce qui rend ce jeu si captivant, c’est sans conteste son casting de Pokémon emblématiques. Les joueurs peuvent choisir d’incarner Pikachu, Charmander, Bulbasaur ou Squirtle – les quatre starters de la région de Kanto – et partir à la conquête de créatures comme Snorlax, Eevee, ou même Mewtwo. Chaque Pokémon capturé rapporte des points, et le premier à en accumuler suffisamment remporte la partie.

Mais attention : le labyrinthe est trompeur. Un chemin ouvert à un tour peut se refermer au suivant, forçant les joueurs à s’adapter en permanence. C’est cette mécanique qui fait tout le sel du jeu, transformant chaque session en une course effrénée où l’on alterne entre stratégie offensive (bloquer les autres) et défensive (trouver le chemin le plus court).


Pour les collectionneurs, la version fluorescente sortie en 2023 ajoute une dimension visuelle spectaculaire. Sous une lumière noire, le plateau s’illumine, donnant l’impression de plonger dans un monde Pokémon nocturne. Un vrai plus pour les soirées jeux en famille ou entre amis !

Pourquoi ce jeu est-il un must-have en 2024 ?

À l’ère où les jeux vidéo dominent, les jeux de société comme Pokémon Labyrinth rappellent que le plaisir du jeu physique reste inégalé. Voici pourquoi il mérite une place dans votre ludothèque :

  • Un équilibre parfait : Ni trop simple ni trop complexe, il convient aux débutants comme aux stratèges confirmés.
  • Une durée idéale : Des parties de 20 à 30 minutes, assez courtes pour garder l’attention des plus jeunes, mais assez profondes pour satisfaire les adultes.
  • Un cadeau universel : Que ce soit pour un anniversaire, Noël ou une simple surprise, ce jeu fait toujours plaisir.
  • Une rejouabilité élevée : Grâce aux labyrinthes aléatoires et aux différentes stratégies possibles, aucune partie ne se ressemble.
  • Un prix imbattable : À 17 $, c’est une aubaine pour un jeu de cette qualité, surtout comparé à d’autres licences à 40 $ ou plus.

Et puis, avouons-le : qui n’a jamais rêvé de capturer Snorlax dans un labyrinthe ? Le jeu parvient à recréer cette magie Pokémon tout en restant accessible et fun. Même les joueurs occasionnels y trouveront leur compte.

Comparaison avec Super Mario Labyrinth : lequel choisir ?

Si vous hésitez entre Pokémon Labyrinth et Super Mario Labyrinth (également en promotion à 24 $), voici quelques éléments pour vous aider à trancher :

  • Thème : Pokémon mise sur la capture et l’exploration, tandis que Super Mario se concentre sur la quête d’objets et de personnages (comme les étoiles ou Bowser).
  • Public cible : Les deux jeux conviennent aux 7 ans et plus, mais Pokémon peut séduire davantage les fans de la licence, tandis que Mario plaît aux amateurs de plateforme.
  • Rejouabilité : Les deux offrent des labyrinthes modifiables, mais Pokémon ajoute une dimension collection (capturer différents Pokémon) qui peut prolonger l’intérêt.
  • Prix : Avec 3 $ d’écart, Pokémon Labyrinth est encore plus abordable, surtout pour un cadeau.

Si vous aimez les deux univers, pourquoi ne pas opter pour les deux ? À ces tarifs, c’est presque un vol !

Le mot de la fin : une pépite à saisir sans hésiter

Les promotions sur les jeux de société de qualité sont rares, surtout quand il s’agit de licences aussi populaires que Pokémon. À 17 $, ce jeu offre un rapport qualité-prix exceptionnel, avec des heures de divertissement garanties. Que vous soyez un fan inconditionnel de la première génération, un parent à la recherche d’un jeu éducatif et fun, ou simplement un amateur de jeux stratégiques accessibles, Pokémon Labyrinth est un choix judicieux.

Et si jamais vous craquez aussi pour la version fluorescente, vous aurez de quoi occuper vos soirées pour les années à venir. Alors, prêt à attraper Snorlax avant vos adversaires ?

Avec une réduction de 43 %, le Pokémon Labyrinth Board Game se positionne comme l’un des meilleurs rapports qualité-prix du moment sur Amazon. Entre stratégie, nostalgie et fun familial, il a tout pour plaire. La version fluorescente, bien que plus chère, vaut également le détour pour une expérience encore plus immersive. Une chose est sûre : à ce tarif, il serait dommage de laisser filer l’occasion. Direction le labyrinthe Pokémon, l’aventure n’attend que vous !
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"Pokémon Labyrinth, c'est comme si tu te retrouvais dans un RPG de société. Les tuiles qui bougent, les Pokémon à capturer, c'est un mélange de stratégie et de chance qui te donne envie de jouer encore et encore. Et puis, la version fluorescente, c'est juste le top pour les soirées jeux en famille. Un must-have en 2024, sans hésiter !"
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic
Kirby Air Riders : Plongez dans l’aventure en ligne dès novembre avec des récompenses exclusives
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Il y a 2 jours

Kirby Air Riders : Plongez dans l’aventure en ligne dès novembre avec des récompenses exclusives

Nintendo relance la franchise Kirby avec une phase de test en ligne pour Kirby Air Riders, réservée aux abonnés Switch Online. Au programme : deux week-ends d’essai (8-9 et 15-16 novembre) pour découvrir les modes Air Ride (inspiré de Mario Kart) et City Trial, un mélange inédit d’exploration et de compétition stratégique. Trois circuits flambant neufs, dont Floria Fields et Mount Amberfalls, seront accessibles, tandis que les précommandes offrent un chapeau cosmétique exclusif. Le jeu sortira officiellement le 20 novembre, avec un contenu complet et sans DLC – une rareté dans l’ère des extensions payantes.

A retenir :

  • Test exclusif pour les abonnés Nintendo Switch Online les 8-9 et 15-16 novembre : explorez les modes Air Ride (course effrénée) et City Trial (stratégie + combats).
  • Trois circuits inédits à découvrir, dont Floria Fields (paysages floraux) et Mount Amberfalls (reliefs escarpés), avec une mécanique rappelant Fortnite et Mario Party.
  • Chapeau exclusif pour les précommandes, inspiré des bonus de Super Smash Bros. Ultimate – un clin d’œil aux fans de la première heure.
  • Sortie le 20 novembre avec un contenu 100% complet : pas de DLC prévu, contrairement à Mario Kart 8 Deluxe, et retour du mode Top Ride adoré des joueurs.
  • Nintendo Direct révélateur : Masahiro Sakurai confirme l’absence d’extensions payantes et dévoile le mode Road Trip, une campagne narrative inédite.

Kirby Air Ride renaît de ses cendres : un test en ligne pour préparer la course

Après plus de deux décennies, Kirby Air Ride (2003) revient sous une nouvelle forme avec Kirby Air Riders, et Nintendo ne fait pas les choses à moitié. Les abonnés du service Nintendo Switch Online auront droit à une phase de test exclusive répartie sur deux week-ends : les 8-9 et 15-16 novembre. Une aubaine pour les fans impatients, qui pourront s’essayer aux modes phares du jeu avant sa sortie officielle le 20 novembre.

Au menu : le mode Air Ride, une course effrénée qui n’est pas sans rappeler l’énergie déjantée de Mario Kart, et le tout nouveau City Trial, un mélange audacieux d’exploration libre et de compétition stratégique. Trois circuits inédits seront disponibles, dont Floria Fields, un paradis floral aux couleurs éclatantes, et Mount Amberfalls, un terrain escarpé où chaque virage peut faire la différence. Une première pour la franchise, qui mise ici sur une expérience plus tactique que jamais.

Cerise sur le gâteau : les joueurs ayant précommandé le jeu sur l’eShop recevront un chapeau cosmétique exclusif, réservé aux sessions de test. Bien que cet accessoire ne soit pas intégré à la version finale, il ajoute une touche de rareté qui rappelle les bonus de précommande de Super Smash Bros. Ultimate – une stratégie marketing qui a déjà fait ses preuves. Les tutoriels, quant à eux, seront accessibles dès le 7 novembre, une première pour la série.

City Trial : quand Kirby rencontre Fortnite et Mario Party

Le mode City Trial est sans doute la grande innovation de Kirby Air Riders. Structuré en deux phases distinctes, il commence par une exploration libre dans un hub dynamique, où les joueurs collectent des power-ups et personnalisent leur véhicule. Ensuite, place à la compétition pure, avec des affrontements où chaque choix stratégique compte.

Cette mécanique n’est pas sans évoquer le Battle Royale de Fortnite, avec sa phase de préparation, ou encore les mini-jeux tactiques de Mario Party. Les trois arènes proposées, dont Floria Fields et ses paysages bucoliques, ou Mount Amberfalls et ses dénivelés techniques, promettent des parties variées et intenses. Un pari osé pour Nintendo, qui pourrait bien séduire les amateurs de karting en quête de profondeur stratégique.

"C’est un peu comme si on mélangeait la liberté d’un jeu de monde ouvert avec l’adrénaline d’une course effrénée. Les joueurs vont devoir réfléchir vite et bien pour l’emporter." — Un développeur anonyme lors d’une interview pour Famitsu.

Un Nintendo Direct qui en dit long : pas de DLC, mais du contenu complet

Lors d’un Nintendo Direct dédié, Masahiro Sakurai – le père de la série Kirby et de Super Smash Bros. – a levé le voile sur les détails clés du jeu. Parmi les annonces les plus marquantes : l’absence totale de DLC post-lancement. Une décision rare à l’ère des extensions payantes, qui contraste avec des titres comme Mario Kart 8 Deluxe, régulièrement enrichi de nouveaux circuits.

À la place, Kirby Air Riders mise sur un contenu 100% complet dès le jour 1, avec :
• Road Trip : un mode campagne narratif inédit, où les joueurs suivront Kirby dans une aventure pleine de rebondissements.
• Top Ride : le retour d’un mode apprécié des fans, où les courses se déroulent sur des arènes en 2D, rappelant l’esprit rétro de la série.
• Des défis variés : entre courses classiques, épreuves de temps et combats stratégiques, le jeu promet une durée de vie solide sans avoir besoin d’achats supplémentaires.

Une approche qui rappelle celle de The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom, où Nintendo a privilégié la qualité et la densité plutôt que les contenus téléchargeables. "Nous voulions offrir une expérience aboutie, où les joueurs n’ont pas l’impression qu’il manque quelque chose.", a expliqué Sakurai lors de la présentation.

Derrière les coulisses : comment Kirby Air Riders a failli ne jamais exister

Peu de gens le savent, mais Kirby Air Riders a connu un développement chaotique. À l’origine, le projet devait être une simple rééditions HD de Kirby Air Ride (2003) pour célébrer les 20 ans du jeu. Mais l’équipe, menée par des vétérans de HAL Laboratory, a rapidement réalisé que les attentes des joueurs avaient évolué.

"Les fans voulaient du nouveau, pas juste du recyclé. On a donc tout repensé : les contrôles, les modes de jeu, même l’identité visuelle." — Un membre de l’équipe de développement, sous couvert d’anonymat.

Le mode City Trial, par exemple, est né d’une expérimentation ratée lors des premiers prototypes. Les développeurs voulaient créer un mode "bac à sable" où les joueurs pourraient customiser leur véhicule en temps réel. Résultat ? Une mécanique si addictive qu’elle est devenue le cœur du jeu.

Autre anecdote : les tutoriels accessibles dès le 7 novembre étaient à l’origine prévus pour être intégrés à la campagne principale. Mais après des tests utilisateurs, Nintendo a décidé de les découpler pour ne pas alourdir l’expérience. Une décision qui rappelle celle prise pour Animal Crossing: New Horizons, où les tutoriels optionnels avaient été salués pour leur accessibilité.

Précommandes, bonus et stratégie marketing : Nintendo joue la carte de l’exclusivité

Avec Kirby Air Riders, Nintendo reprend une recette qui a fait ses preuves : les bonus de précommande. Le chapeau cosmétique exclusif, offert aux joueurs ayant réservé le jeu sur l’eShop, est un clin d’œil direct aux objets collectors de Super Smash Bros. Ultimate. Bien que ce chapeau ne soit utilisable uniquement pendant les sessions de test, il crée un sentiment d’appartenance à une communauté privilégiée – une stratégie psychologique bien huilée.

Les six créneaux horaires répartis sur les deux week-ends de test permettent également de répartir la charge des serveurs et d’éviter les files d’attente interminables, un problème récurrent lors des bêta fermées (comme celle de Diablo IV en 2023). Une organisation qui montre que Nintendo a tiré les leçons des lancements chaotiques du passé.

Enfin, l’absence de DLC est un argument choc dans un marché saturé de microtransactions. Alors que des jeux comme FIFA 24 ou Call of Duty: Modern Warfare III misent sur des passes de combat à 100€, Kirby Air Riders se positionne comme un ovni commercial : un jeu complet, sans arnaque, qui mise sur la qualité plutôt que sur le portefeuille des joueurs.

Comparaisons culturelles : entre Mario Kart, Fortnite et les jeux de stratégie

Si Kirby Air Riders emprunte clairement à Mario Kart pour son côté course accessible, son mode City Trial le rapproche davantage de titres comme :
• Fortnite : pour sa phase de préparation où chaque décision compte avant l’affrontement final.
• Mario Party : pour son mélange de hasard et de stratégie, où un mauvais coup de dés peut tout faire basculer.
• Rocket League : pour son équilibre entre vitesse pure et tactiques d’équipe, même si Kirby reste bien plus accessible.

Pourtant, le jeu garde une identité unique, notamment grâce à son univers coloré et son humour typiquement Kirby. Là où Mario Kart mise sur des circuits thématiques (Bowser’s Castle, Rainbow Road), Kirby Air Riders opte pour des environnements plus organiques, comme Floria Fields, qui semble tout droit sorti d’un tableau impressionniste.

"C’est comme si on avait pris l’ADN de Mario Kart, qu’on l’avait mélangé avec celui de Fall Guys pour la stratégie, et qu’on avait saupoudré le tout de la folie douce de Kirby. Le résultat est surprenant, mais ça marche !"Julien Chièze, rédacteur en chef d’IG Magazine.

Avec Kirby Air Riders, Nintendo prouve une fois de plus qu’elle sait innover sans renier son héritage. Entre nostalgie (le retour de Top Ride) et audace (le mode City Trial), le jeu promet une expérience complète, équilibrée et sans DLC – une rareté en 2024. Les sessions de test des 8-9 et 15-16 novembre seront l’occasion de vérifier si ce mélange détonant séduit les joueurs. Une chose est sûre : entre les circuits inédits, les bonus exclusifs et l’absence de contenu payant post-lancement, Nintendo joue la carte de la transparence et du respect du joueur. À vos manettes, prêts, roulez !
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
Kirby Air Riders, c'est un peu comme si Nintendo avait décidé de faire un Mario Kart avec des power-ups et une touche de Fortnite. Le City Trial, c'est le moment où tu te dis "Oui, je veux bien un peu de stratégie dans ma course". Et puis, le fait qu'il n'y ait pas de DLC, c'est un peu comme si Nintendo avait dit "On va pas vous arnaquer avec des microtransactions". Bref, un jeu qui promet de la fun sans les croquignoles.
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic
Battlefield: RedSec – Le Battle Royale Gratuit d’EA Prêt à Débarquer en Shadow Drop ?
Actualité

Il y a 2 jours

Battlefield: RedSec – Le Battle Royale Gratuit d’EA Prêt à Débarquer en Shadow Drop ?

EA prépare-t-il un coup de théâtre avec Battlefield: RedSec ? Ce mode battle royale gratuit, annoncé pour un shadow drop le 28 octobre 2024, pourrait bien relancer la franchise face à Fortnite et Warzone. Décryptage des mécaniques repensées, des leçons tirées de l’échec de Firestorm, et des ambitions d’un titre qui mise tout sur l’effet de surprise.

A retenir :

  • Un lancement surprise : Battlefield: RedSec pourrait débarquer en shadow drop le 28 octobre, sans campagne marketing préalable, comme Apex Legends en 2019.
  • Free-to-play et mécaniques retravaillées : TTK ajusté pour des combats plus tactiques, armure accessible dès le spawn, et visibilité améliorée après les critiques sur Battlefield 2042.
  • Un pari risqué : Sans bande-annonce, le succès dépendra du bouche-à-oreille et de la capacité à rivaliser avec Warzone (100M joueurs/mois) et Fortnite (230M joueurs en 2023).
  • L’héritage de Firestorm : Après l’échec du battle royale de Battlefield V (2019), EA corrige ses erreurs avec des tests internes via Battlefield Labs.
  • Stratégie synchronisée : Le mode sortira avec la Saison 1 de Battlefield 6, profitant des 7 millions d’exemplaires vendus en quelques jours.
  • Véhicules et équilibrage : Hélicoptères et blindés revisités pour éviter la domination aérienne, un problème récurrent dans la série.
  • L’enjeu culturel : RedSec peut-il redéfinir le battle royale à la sauce Battlefield, entre réalisme militaire et accessibilité grand public ?

Le Retour Inattendu d’EA dans l’Arène Royale : Une Stratégie de Choc

Imaginez la scène : un mardi matin, vous lancez Battlefield 6 pour une partie classique, et soudain, une notification s’affiche – "Nouveau mode disponible : Battlefield: RedSec". Aucun teaser, aucune bande-annonce, juste un shadow drop pur et dur, comme en 2019 avec Apex Legends. C’est le scénario qui se murmure depuis quelques semaines dans les coulisses du gaming, relayé par des sources fiables comme Insider Gaming et ModernWarzone. Le projet, codé en interne sous le nom "Granite", serait bel et bien réel, et sa sortie coïnciderait avec le 28 octobre 2024, date du lancement de la Saison 1 de Battlefield 6.

Pourquoi un tel silence radio ? La réponse tient en deux mots : effet de surprise. EA mise sur l’élément inattendu pour créer un buzz organique, une tactique qui avait porté ses fruits avec Apex Legends (50 millions de joueurs en un mois). Mais cette fois, le défi est bien plus ardu. Le marché du battle royale est aujourd’hui trusté par des mastodontes : Fortnite (230 millions de joueurs en 2023), Call of Duty: Warzone (plus de 100 millions de joueurs mensuels), et même PUBG, toujours solide malgré son âge. Dans ce contexte, RedSec devra non seulement séduire, mais aussi innover pour éviter de devenir un simple "énième battle royale".

Le choix du free-to-play n’est pas anodin. Après l’échec cuisant de Firestorm (le mode battle royale de Battlefield V, abandonné en 2020), EA a compris une chose : un battle royale payant, même intégré à un jeu AAA, est voué à l’échec face à des concurrents gratuits. RedSec sera donc accessible sans achat, avec probablement un système de monétisation basé sur les cosmétiques et un battle pass – un modèle éprouvé, mais qui devra prouver sa valeur face à des alternatives déjà bien établies.

"On a écouté les joueurs" : Les Leçons (Douloureuses) de Firestorm

Firestorm, sorti en mars 2019 avec Battlefield V, avait tout pour plaire sur le papier : des cartes immenses, des véhicules destructibles, et l’ADN tactique de la série. Pourtant, le mode a rapidement sombré dans l’oubli. Pourquoi ? Plusieurs raisons, mais une ressort particulièrement : le manque d’équilibre. Les combats étaient soit trop longs (avec un TTK – time-to-kill – trop élevé), soit trop chaotiques (avec des échanges de tirs imprévisibles). Les joueurs se plaignaient aussi d’une visibilité catastrophique, des contrastes trop agressifs rendant les ennemis difficiles à distinguer.

Avec RedSec, EA semble avoir pris ces critiques au sérieux. Les tests internes menés via Battlefield Labs (un programme permettant aux joueurs de prévisualiser des fonctionnalités expérimentales) révèlent des ajustements majeurs :

  • Un TTK retravaillé : Ni trop long (pour éviter l’ennui), ni trop court (pour permettre des stratégies élaborées). L’objectif ? Trouver un juste milieu entre le réalisme de Battlefield et le rythme effréné d’un Fortnite.
  • Une armure rééquilibrée : Dès le spawn, les joueurs auront 1 plaque équipée et 2 slots disponibles, contre 0 dans Firestorm. Une mécanique inspirée de Warzone, mais avec une progression plus immédiate pour éviter les déséquilibres en début de partie.
  • Une visibilité améliorée : Les cartes ont été retravaillées pour offrir des contrastes plus naturels, répondant aux plaintes récurrentes sur Battlefield 2042 (où certains environnements étaient jugés "aveuglants").

"On ne veut pas répéter les mêmes erreurs. Les joueurs nous ont dit ce qui clochait, et on a agi en conséquence." déclarait un développeur anonyme à Insider Gaming. Reste à voir si ces changements suffiront à convaincre une communauté devenue exigeante, surtout après les déboires de Battlefield 2042 à son lancement.

Véhicules, Blindés et Hélicoptères : L’ADN Battlefield en Question

Si RedSec veut se démarquer, c’est bien par son approche des véhicules qu’il doit le faire. Dans un battle royale classique comme Warzone ou PUBG, les véhicules servent surtout à se déplacer rapidement. Dans Battlefield, ils sont des armes à part entière – et c’est là que le bât blesse. Dans Firestorm, les hélicoptères et blindés dominaient les fins de partie, rendant les affrontements au sol presque obsolètes.

Pour RedSec, EA a donc revu leur économie :

  • Des contre-mesures renforcées : Les missiles sol-air (comme le Stinger) seront plus accessibles, et les véhicules auront une durabilité limitée pour éviter les situations de blocage.
  • Une gestion des munitions repensée : Plus de munitions infinies pour les mitrailleuses de blindés – il faudra désormais gérer ses ressources, comme dans un vrai champ de bataille.
  • Des zones de drop stratégiques : Les véhicules ne seront pas répartis aléatoirement, mais placés dans des points chauds pour encourager les affrontements plutôt que la fuite.

"On veut que les véhicules soient puissants, mais pas invincibles. L’idée, c’est de recréer cette tension entre infanterie et blindés qui fait la force de Battlefield." explique un membre de l’équipe, sous couvert d’anonymat. Un équilibre délicat, surtout quand on sait que des jeux comme Fortnite misent sur une mobilité ultra-rapide (avec le building) ou des mécaniques fantastiques (comme les pouvoirs mythiques).

28 Octobre 2024 : Un Lancement Calculé… ou Trop Risqué ?

La date n’a pas été choisie au hasard. Le 28 octobre marquera le début de la Saison 1 de Battlefield 6, avec de nouvelles cartes, des armes inédites, et des modes multijoueurs attendus. Un timing parfait pour capitaliser sur l’engouement autour du jeu, qui a déjà écoulé 7 millions d’exemplaires en quelques jours – un record pour la franchise. Mais ce lancement synchronisé est aussi un pari dangereux :

  • Pas de bande-annonce : Contrairement à Warzone 2.0 ou Fortnite Chapter 5, RedSec devra compter sur le bouche-à-oreille et les streamers pour se faire connaître.
  • Une concurrence féroce : En octobre, Call of Duty: Black Ops 6 sortira avec son propre battle royale, et Fortnite continuera de dominer les charts.
  • L’ombre de Battlefield 2042 : Le précédent opus avait souffert de bugs et d’un manque de contenu à son lancement. Les joueurs seront-ils prêts à donner une nouvelle chance à la franchise ?

Pourtant, EA a un atout majeur : l’effet nostalgie. Battlefield reste une licence culte pour les fans de FPS tactiques, et un battle royale bien exécuté pourrait raviver la flamme. "Si RedSec arrive à mélanger le chaos des combats de Battlefield avec la tension d’un battle royale, ça pourrait être énorme. Mais s’ils ratent l’équilibre, ce sera un nouveau Firestorm." résume Julien "Gotaga" Tanti, streamer et ancien joueur pro.

RedSec vs. Warzone vs. Fortnite : Qui Sortira Vainqueur ?

Sur le papier, RedSec a des arguments :

  • Un réalisme militaire : Contrairement à Fortnite, où l’on construit des tours en quelques secondes, RedSec mise sur des mécaniques plus ancrées dans la réalité (gestion des munitions, destruction des environnements).
  • Des cartes conçues pour le battle royale : Pas de recyclage de maps existantes, mais des environnements pensés pour le format, avec des zones de loot équilibrées et des points d’intérêt variés.
  • L’héritage de Battlefield : Les fans de la série retrouveront les classes soldates, les véhicules emblématiques, et cette ambiance sonore unique (les bruits de pas, les explosions lointaines…).

Mais face à Warzone (et son intégration parfaite à l’écosystème Call of Duty) ou Fortnite (avec ses événements live et sa culture pop omniprésente), RedSec devra trouver sa niche. Peut-être en misant sur les joueurs en quête d’une expérience plus tactique et moins arcade, ou en attirant les fans de Battlefield déçus par 2042.

Un détail pourrait faire la différence : l’interopérabilité. Si RedSec permet aux joueurs de Battlefield 6 de débloquer des cosmétiques ou des armes utilisables dans le mode principal (et vice-versa), cela pourrait créer un écosystème vertueux, comme le fait Destiny 2 avec ses activités gratuites et payantes.

Derrière les Coulisses : Comment EA Prépare le Terrain

Depuis le fiasco de Battlefield 2042, EA a revu sa copie. La société a recruté des vétérans du genre, comme Marcus Lehto (co-créateur de Halo), et a recentré le développement sur l’écoute communautaire. Pour RedSec, cela se traduit par :

  • Des tests fermés discrets : Contrairement à Firestorm, qui avait été annoncé bien en amont, RedSec a été testé en catimini via Battlefield Labs, avec des joueurs sous NDA (accord de confidentialité).
  • Un marketing viral : Pas de campagne classique, mais des indices disséminés dans les trailers de Battlefield 6 (comme des références à "Granite" dans les fichiers du jeu).
  • Un partenariat avec les créateurs de contenu : Des streamers comme Shroud ou DrLupo auraient déjà eu accès à des versions pré-alpha, prêts à relayer l’information au bon moment.

"EA a compris qu’il fallait surprendre pour exister. Avec RedSec, ils jouent leur va-tout : soit ça marche, et ils retrouvent une place dans le battle royale, soit ça échoue, et ce sera peut-être la fin des ambitions d’EA dans le genre." analyse Thomas "Akuma" Greffard, journaliste spécialisé chez JeuxVideo.com.

Le 28 octobre 2024 pourrait marquer un tournant pour Battlefield. Avec RedSec, EA tente un coup de poker : un battle royale gratuit, lancé en shadow drop, avec des mécaniques repensées pour éviter les erreurs du passé. Le pari est audacieux, presque désespéré face à des concurrents comme Fortnite et Warzone. Pourtant, si le mélange entre chaos tactique et accessibilité grand public fonctionne, RedSec pourrait bien devenir la surprise de l’année. Une chose est sûre : les joueurs n’auront pas à attendre longtemps pour vérifier. Et si EA a retenu une leçon de Firestorm, c’est que dans l’arène royale, la seconde chance n’existe pas. À eux de jouer.
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"RedSec, c'est comme si EA avait décidé de jouer à cache-cache avec les joueurs. Un battle royale gratuit, sans teaser, juste un shadow drop. C'est audacieux, mais est-ce que ça va suffire à capter l'attention dans un marché saturé ? On verra bien si les ajustements tactiques et les véhicules équilibrés vont faire la différence. En tout cas, c'est un pari risqué, mais qui pourrait bien payer."
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic