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Everwind : Le *Minecraft* nouvelle génération qui défie la gravité avec Unreal Engine 5
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Il y a 32 jours

Everwind : Le *Minecraft* nouvelle génération qui défie la gravité avec Unreal Engine 5

Imaginez un monde où *Minecraft* rencontre *No Man’s Sky* sous stéroïdes graphiques, avec des **îles-naves volantes** à personnaliser et une **survie tactique** qui défie vos réflexes. **Everwind**, développé par le studio espagnol **Enjoy Studio** et propulsé par **Unreal Engine 5**, repousse les limites du *sandbox* avec des **graphismes voxel ultra-détaillés** (éclairage dynamique, textures 4K) et une **mécanique de navigation aérienne** inédite.
Annoncé pour **2026**, ce jeu mise sur un **mode coopératif à deux joueurs**, des **combats stratégiques** contre des créatures comme les **Golems**, et une **gestion des ressources punitive** (carburant, matériaux rares) qui rappelle *The Forest*, le tout dans un univers généré procéduralement. Avec une campagne **Kickstarter déjà financée à plus de 40 000 dollars**, *Everwind* s’impose comme le prétendant sérieux à la couronne des *sandbox* nouvelle génération – à mi-chemin entre l’accessibilité de *Minecraft* et la complexité de *Valheim*.

A retenir :

  • Everwind fusionne l’ADN voxel de Minecraft avec la puissance d’Unreal Engine 5 : éclairage dynamique, textures 4K et physique avancée pour des environnements ultra-immersifs, loin des blocs low-poly.
  • Innovation majeure : des îles-naves volantes personnalisables, pilotables en monde ouvert procédural, avec une mécanique de navigation aérienne inspirée de No Man’s Sky mais plus tactique.
  • Un système de survie exigeant : gestion du carburant, ressources rares, et combats tactiques contre des ennemis comme les Golems, avec un équilibrage évitant l’extrême de Darkwood.
  • Mode coopératif à deux joueurs avec personnalisation poussée des personnages (visage, coiffures, tenues), une première pour un jeu voxel aussi ambitieux.
  • Campagne Kickstarter réussie (40 000+ dollars) et sortie prévue en 2026 : un pari audacieux pour Enjoy Studio, entre Valheim et Core Keeper.
  • Un public adulte visé : difficulté accrue, stratégie obligatoire et exploration active, loin du côté "créatif sans pression" de Minecraft.

Si Minecraft a marqué l’histoire du jeu vidéo en démocratisant le sandbox, Everwind pourrait bien en écrire le prochain chapitre – avec une touche d’adrénaline et une bonne dose de réalisme graphique. Développé par le studio espagnol Enjoy Studio, ce jeu de survie en monde ouvert ose un pari fou : réinventer les codes du voxel en y injectant la puissance d’Unreal Engine 5, des mécaniques de vol ambitieuses, et une difficulté qui ne pardonne pas. Résultat ? Une expérience à mi-chemin entre Minecraft, No Man’s Sky et The Forest, avec une identité visuelle et ludique qui détonne.

Des graphismes voxel qui défient les limites de l’Unreal Engine 5

Oubliez les cubes basiques et les textures pixelisées : Everwind propulse le voxel dans une nouvelle dimension. Grâce à Unreal Engine 5, le jeu exploite :

  • Lumen pour un éclairage dynamique qui réagit en temps réel (ex. : les ombres des nuages sur vos îles-naves).
  • Nanite pour des textures ultra-haute résolution, même sur de vastes étendues procédurales.
  • Une physique avancée : les blocs ne sont plus statiques, mais réagissent aux explosions, au vent, ou aux chocs.

Les créatures, comme les Golems de pierre ou les squelettes corrompus, bénéficient de modèles 3D détaillés, avec des animations fluides et des comportements IA complexes. "On voulait garder l’âme voxel, mais avec un niveau de détail qui surprend", explique l’équipe d’Enjoy Studio dans une interview récente. Mission accomplie : les premiers screenshots montrent des paysages à couper le souffle, où chaque bloc semble presque tangible.

Comparaison visuelle :

  • Minecraft : esthétique low-poly, charmante mais limitée.
  • Core Keeper : voxel plus travaillé, mais toujours dans un style "rétro".
  • Everwind : hyper-réalisme voxel, avec des effets de lumière et de matière dignes d’un AAA.

"Et si on pouvait voler ?" : La révolution des îles-naves

L’innovation phare d’Everwind ? Ses îles-naves volantes. Imaginez des plateformes flottantes, entièrement personnalisables (comme dans Raft, mais en 3D), que vous pouvez :

  • Construire pièce par pièce, avec des matériaux aux propriétés uniques (bois léger, métal résistant, etc.).
  • Piloter à travers un monde ouvert procédural, avec des courants d’air et des tempêtes à éviter.
  • Amarrer à d’autres îles pour échanger des ressources ou affronter des donjons.

"C’est comme si on avait mélangé la liberté de Minecraft avec la sensation de vol de No Man’s Sky, mais en plus organique", résume un testeur en early access. La mécanique rappelle aussi Valheim (pour la construction navale), mais avec une dimension verticale bien plus poussée. Attention cependant : votre île consomme du carburant (une ressource rare), et tomber en panne en plein ciel peut virer au cauchemar...

Le saviez-vous ? Les îles-naves sont générées via un algorithme inspiré des fractales, garantissant une variété infinie de formes et de biomes (des jungles suspendues aux déserts flottants).

Survie, combats et coopération : Un équilibre risqué mais maîtrisé

Everwind ne se contente pas d’être beau : il veut aussi être exigeant. Voici ce qui attend les joueurs :

  • Combats tactiques : Fini le clic frénétique de Minecraft. Ici, il faut esquiver, parer, et exploiter les faiblesses des ennemis (ex. : les Golems sont vulnérables aux attaques de feu).
  • Gestion des ressources : Le carburant pour votre île, la nourriture, les munitions... Tout se raréfie, et l’exploration devient une nécessité.
  • Mode coopératif : Jusqu’à 2 joueurs peuvent s’allier pour construire, combattre et explorer. La synchro des actions (ex. : un joueur pilote pendant que l’autre défend) ajoute une couche stratégique.

"On a voulu éviter le piège du ‘survie punitive’ comme Darkwood, mais sans tomber dans la facilité de Minecraft", précise un développeur. Le résultat ? Une courbe de difficulté progressive, où chaque mort s’accompagne d’une leçon (ex. : "La prochaine fois, je prends plus de carburant").

Exemple concret : Affronter un Golem gardien sans préparation revient à signer son arrêt de mort. Il faut :

  1. Repérer ses points faibles (ses articulations lumineuses).
  2. Utiliser des armes adaptées (une épée en obsidienne pour percer son armure).
  3. Gérer son endurance et ses soins pendant le combat.
Une approche qui rappelle The Forest, mais dans un univers voxel.

Derrière les blocs : L’histoire secrète d’un studio espagnol ambitieux

Enjoy Studio, le studio derrière Everwind, n’est pas un géant de l’industrie. Basé à Madrid, il est composé d’une dizaine de passionnés, dont certains ont travaillé sur des licences comme Metro ou Far Cry. Leur objectif avec Everwind ? "Créer un sandbox qui parle aux adultes, sans sacrifier la créativité", confie Alejandro, le directeur artistique.
Le projet est né d’une frustration : "Pourquoi les jeux voxel sont-ils toujours associés à un public jeune ou casual ? On voulait prouver qu’on pouvait faire du voxel mature, avec des enjeux réels." D’où le choix d’Unreal Engine 5 (pour le réalisme) et d’une survie exigeante (pour le défi).
Le coup de pouce du Kickstarter : La campagne, lancée en 2023, a dépassé les 40 000 dollars en quelques semaines, preuve que l’engouement est réel. Les backers ont notamment débloqué :

  • Un biome "ciel toxique" infesté de créatures mutantes.
  • Un système de quêtes dynamiques générées par IA.

Everwind vs. la concurrence : Où se situe-t-il ?

Everwind ne sort pas dans un vide : le marché des sandbox est saturé. Voici comment il se positionne : Jeu Points forts Où Everwind fait mieux Minecraft Accessibilité, créativité illimitée Graphismes, survie tactique, navigation aérienne Valheim Combats épiques, progression claire Personnalisation, monde procédural plus varié No Man’s Sky Exploration spatiale, multijoueur Construction organique, survie plus immersive Core Keeper Ambiance rétro, donjons profonds Graphismes next-gen, mécaniques de vol
Son talon d’Achille ? Le risque de trop en faire. En mélangeant survie, construction, combats et exploration aérienne, Everwind pourrait perdre en cohérence. "J’ai peur que le jeu soit trop ambitieux pour son petit studio", tempère un journaliste de PC Gamer. Réponse en 2026.

Ce qu’en pensent les joueurs (déjà !)

Malgré son stade de développement, Everwind fait déjà parler :

  • Les fans de Minecraft : Divisés. Certains adorent l’évolution graphique, d’autres regrettent la simplicité du jeu original. "C’est plus un ‘Minecraft pour adultes’ qu’un vrai successeur", note un joueur sur Reddit.
  • Les amateurs de survie : Conquis par la difficulté équilibrée et les mécaniques de vol. "Enfin un jeu qui ne me traite pas comme un enfant !"
  • Les sceptiques : Craignent un "vaporware" (projet trop ambitieux, jamais fini). La sortie en 2026 sera un test crucial.

Le mot de la fin revient à un streamer espagnol : "Si Enjoy Studio tient ses promesses, Everwind pourrait devenir le ‘Dark Souls’ des jeux sandbox. Sinon, ce sera un beau gâchis. J’ai hâte de voir ça."

Avec Everwind, Enjoy Studio prend un risque calculé : celui de bousculer un genre dominé par des géants comme Minecraft ou Valheim. En misant sur des graphismes voxel next-gen, une navigation aérienne innovante et une survie tactique, le jeu séduit déjà une communauté en quête de défis. Reste à voir si le studio parviendra à livrer une expérience aussi ambitieuse que prometteuse d’ici 2026.
Une chose est sûre : entre son Kickstarter réussi, ses mécaniques hybrides et son public adulte visé, Everwind a tout pour marquer l’histoire des sandbox... ou finir dans les oubliettes des projets trop audacieux. À suivre de très près.
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
Ah, *Everwind*... Ce jeu où ton île-nave a plus de chances de s’écraser que ton QI après trois tutos YouTube sur *"comment builder un château en 10 minutes"*. Entre le *voxel qui fait son cinéma* grâce à l’Unreal 5 et la survie qui te rappelle que non, *tu n’es pas un dieu*, juste un mec avec une pioche et des rêves trop grands—c’est *croquignolesque* à quel point ça pourrait soit tout casser, soit devenir le sandbox qui fait pleurer *Minecraft* dans son coin. *"On a gardé l’âme voxel"*, disent-ils. Ouais, enfin, l’âme avec des abdos en 4K et une addiction au *carburant* qui te fait regretter d’avoir zappé tes cours de chimie. **2026, on juge.** *(Et si c’est nul, on dira que c’est la faute aux Golems.)*

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Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic