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Arcade1Up : Les bornes **Countercade** rétro (Pac-Man, Galaga) à 150€ – L’option compacte qui séduit les nostalgiques
Actualité

Il y a 1 jour

Arcade1Up : Les bornes **Countercade** rétro (Pac-Man, Galaga) à 150€ – L’option compacte qui séduit les nostalgiques

Les bornes **Countercade** d’Arcade1Up reviennent à 150€ chez Amazon, un tarif qui ravira les fans de rétrogaming. Avec leur format ultra-compact et leurs jeux cultes (Pac-Man, Galaga), elles offrent une alternative accessible aux bornes Deluxe. Pour une expérience plus complète, l’Evercade Alpha Taito Edition (260€) propose 10 jeux et un écran plus grand, mais à un prix bien plus élevé. Un duel entre nostalgie minimaliste et luxe rétro.

A retenir :

  • Les **Countercades** d’Arcade1Up (Pac-Man, Galaga, Dig Dug) de retour à 150€ chez Amazon, après des mois à 168€.
  • Format **ultra-compact** (22 x 24 x 33 cm) et **léger** (2,8 kg) : idéal pour un usage bureau ou nomade (USB/piles).
  • Design **années 80** fidèle, avec joystick à bille rouge et boutons arcades – un objet **collectionnable** autant que fonctionnel.
  • L’Evercade Alpha Taito Edition (260€) en alternative premium : **10 jeux préinstallés**, écran 8 pouces et cartouches interchangeables.
  • Sortie prévue le **12 novembre** pour l’Evercade Alpha – une option pour les puristes prêts à investir.
  • Parfait pour les **débutants en rétrogaming** ou les collectionneurs à l’espace limité.

Un retour inattendu : les **Countercades** d’Arcade1Up enfin abordables

Après des mois d’absence et des prix fluctuants autour de **168€**, Amazon remet en stock les bornes **Countercade** d’Arcade1Up à leur tarif initial de **150€**. Une aubaine pour les amateurs de rétrogaming, d’autant que ces modèles – inspirés des mythiques Pac-Man et Galaga – avaient disparu des rayons depuis les fêtes de fin d’année. Leur retour coïncide avec une demande croissante pour des solutions **compactes et accessibles**, loin des bornes Deluxe encombrantes et souvent hors de prix.

Avec des dimensions réduites (**22 x 24 x 33 cm**) et un poids de seulement **2,8 kg**, ces mini-bornes se glissent partout : sur un bureau, une étagère, voire sur les genoux pour une partie improvisée. Leur alimentation flexible (câble **micro-USB** ou **piles AA**) en fait des compagnes idéales pour les déplacements ou les soirées gaming spontanées. Un argument de taille face aux modèles haut de gamme, souvent cantonnés à un usage fixe.


Mais attention : si leur prix est attractif, leur contenu l’est moins. Seulement **trois jeux** sont préinstallés (Ms. Pac-Man, Galaga et Dig Dug), ce qui peut décevoir les joueurs en quête de variété. Un choix assumé par Arcade1Up, qui mise sur **l’essentiel** plutôt que sur la quantité – une philosophie qui divise les collectionneurs.

Le modèle **Class of '81** : quand le rétro rencontre le minimalisme

Le **Class of '81** se distingue par son écran **LCD 7 pouces** orienté à la verticale, encadré par des visuels inspirés des bornes des années 1980. Malgré sa petite taille, la qualité d’affichage reste correcte, avec des couleurs vives et un **ratio d’aspect fidèle** aux originaux. Les commandes, elles, n’ont rien de miniature : un **joystick à bille rouge** réactif et trois **boutons arcades** colorés reproduisent à la perfection le feeling des salles d’arcade d’autrefois.

Côté design, Arcade1Up a soigné les détails : les **interrupteurs mécaniques** pour le volume et l’alimentation, les **autocollants rétro** sur les côtés, ou encore la **finition mate** qui évite les traces de doigts. Résultat ? Une borne qui fait aussi bien office d’**objet déco** que de machine à jouer. *"C’est exactement le genre de produit qui plaît aux trentenaires nostalgiques, mais aussi aux jeunes qui découvrent ces classiques"*, confie un vendeur spécialisé en rétrogaming.


Pourtant, certains puristes regrettent l’absence de **réglages d’affichage** (comme un mode "scanlines" pour simuler un écran CRT) ou d’une **sortie HDMI** pour brancher la borne sur un téléviseur. Des compromis inévitables pour maintenir un prix aussi bas, mais qui peuvent freiner les plus exigeants.

"Derrière l’écran" : comment Arcade1Up a relancé la mode des mini-bornes

L’idée des **Countercades** est née d’un constat simple : les bornes d’arcade classiques, bien que très prisées, prennent trop de place et coûtent cher. *"On voulait créer quelque chose qui puisse s’intégrer dans un appartement parisien ou un studio étudiant, sans sacrifier l’expérience de jeu"*, explique un responsable marketing d’Arcade1Up. Le pari était risqué : réduire la taille sans altérer la jouabilité.

Pour y parvenir, l’équipe a collaboré avec des **anciens ingénieurs de Namco** (éditeur historique de Pac-Man) afin de reproduire fidèlement les **mécanismes des joysticks** et le **timing des jeux**. *"Le joystick à bille, par exemple, a nécessité six prototypes avant d’obtenir la bonne résistance"*, révèle une source proche du projet. Un travail de fourmi qui paie : les retours des joueurs soulignent la **précision des commandes**, rare sur des produits à ce prix.


Autre défi : choisir les jeux. Pourquoi seulement trois titres ? *"On a opté pour des licences intemporelles, faciles à prendre en main mais avec une profondeur de gameplay suffisante pour justifier l’achat"*, répond l’équipe. Ms. Pac-Man pour le côté accessible, Galaga pour les amateurs de shoot’em up, et Dig Dug pour varier les plaisirs. Une sélection qui, si elle peut sembler légère, évite l’écueil des compilations surchargées où la moitié des jeux sont oubliés.

Evercade Alpha Taito Edition : le luxe rétro a-t-il un prix ?

À **260€**, l’Evercade Alpha Taito Edition s’adresse à un public différent : celui des collectionneurs prêts à investir pour une expérience plus complète. Contrairement aux **Countercades**, elle propose **dix jeux préinstallés**, dont des pépites comme Space Invaders, Bubble Bobble ou Arkanoid. Mais son atout majeur réside dans son système de **cartouches interchangeables**, qui permet d’étendre sa ludothèque à l’infini (ou presque).

Techniquement, elle surpasse aussi les modèles d’Arcade1Up : un écran **8 pouces** (contre 7), une **meilleure luminosité**, et des **haut-parleurs stéréo** plus puissants. Ses finitions en **plastique texturé** et ses boutons **métalliques** lui donnent également un côté premium absent chez la concurrence. *"C’est presque une borne de salon en miniature"*, s’enthousiasme un testeur du magazine Retro Gamer.


Pourtant, son prix reste un frein. *"À ce tarif, on approche celui d’une Raspberry Pi avec des émulateurs, qui offre bien plus de jeux"*, tempère un utilisateur sur Reddit. Un argument recevable, même si l’Evercade Alpha séduit par son **côté "prêt à l’emploi"** et sa **licence officielle** – un gage de qualité pour les puristes. Sa sortie, prévue pour le **12 novembre**, sera l’occasion de voir si le marché du rétrogaming haut de gamme est prêt à exploser.

Mini-borne vs. borne Deluxe : quel modèle choisir ?

Le choix entre une **Countercade** et une borne **Deluxe** (ou une Evercade Alpha) dépend avant tout de vos attentes :

Optez pour une Countercade si :
• Vous débutez dans le rétrogaming et voulez tester sans vous ruiner.
• Votre espace est limité (studio, bureau).
• Vous cherchez un **objet déco** aussi bien qu’une machine à jouer.
• Trois jeux vous suffisent (ou vous comptez compléter avec d’autres supports).

Préférez une Evercade Alpha ou une borne Deluxe si :
• Vous voulez une **ludothèque étendue** (via cartouches ou jeux préinstallés).
• La qualité d’affichage et le son sont prioritaires.
• Vous avez un budget plus conséquent et cherchez un **objet durable**.
• Vous aimez **collectionner** les éditions limitées (l’Evercade Alpha sortira en série numérotée).


Un dernier conseil : si vous hésitez, attendez les **soldes du Black Friday**. Les bornes Arcade1Up sont souvent en promotion à cette période, et l’Evercade Alpha pourrait bénéficier de bundles avantageux à sa sortie.

Le mot de la fin : une porte d’entrée vers le rétrogaming

Que l’on choisisse la **simplicité des Countercades** ou le **luxe de l’Evercade Alpha**, une chose est sûre : ces mini-bornes démocratisent l’accès aux jeux d’arcade. *"Avant, il fallait soit trouver une borne d’occasion à 500€, soit bricoler un émulateur. Là, pour 150€, tu as un produit clé en main, avec des jeux qui ont marqué l’histoire"*, résume un collectionneur.

Reste une question : ces modèles compacts vont-ils **tuer le marché des bornes Deluxe** ? Peu probable. Comme le souligne un revendeur, *"les gros modèles restent des pièces maîtresses pour les passionnés, tandis que les mini-bornes attirent un nouveau public"*. Une complémentarité qui profite à tous, et surtout aux joueurs.

Avec leur retour à **150€**, les **Countercades** d’Arcade1Up confirment leur statut de **meilleur rapport qualité-prix** pour les amateurs de rétrogaming. Leur format ultra-compact, leur design fidèle aux années 80 et leurs jeux cultes en font un **cadeau idéal** – pour soi ou pour un proche nostalgique. À l’inverse, l’Evercade Alpha Taito Edition mise sur le premium, avec un prix et des fonctionnalités qui la réservent aux collectionneurs avertis.
Une chose est sûre : que vous soyez **débutant** ou **expert**, il n’a jamais été aussi simple de s’offrir un morceau d’histoire du jeu vidéo. Et avec les fêtes qui approchent, ces bornes pourraient bien devenir **les stars des listes de Noël 2024**.
L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
Les Countercades d’Arcade1Up sont enfin abordables ! 150€, c’est le prix d’un bon burger, mais avec plus de pixels. Parfait pour les petits espaces et les soirées gaming improvisées. Trois jeux, c’est peu, mais c’est suffisant pour se rappeler les années 80. Une borne qui se glisse partout, même sur les genoux. Un must pour les nostalgiques et les débutants.
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen
Call of Duty Zombies : L’Artbook Ultime de Treyarch Dévoile 16 Ans de Survival Horreur
Actualité

Il y a 1 jour

Call of Duty Zombies : L’Artbook Ultime de Treyarch Dévoile 16 Ans de Survival Horreur

Un artbook exceptionnel pour les 16 ans du mode Zombies

À l’occasion des 16 ans du mode Zombies, Treyarch lève le voile sur Call of Duty Zombies: The Art of Treyarch, un artbook de 256 pages regorgeant de croquis inédits, d’interviews exclusives et d’archives des maps cultes. Disponible en précommande pour 50 $ (sortie prévue le 16 juin 2026), cet ouvrage retrace l’évolution du mode, de World at War (2008) à Black Ops 7. Complété par des comics, des Field Manuals et des guides stratégiques, il offre une immersion totale dans l’univers et le lore de la franchise, pour les fans comme pour les collectionneurs.

A retenir :

  • 16 ans de survival horror : Un artbook de 256 pages pour célébrer l’héritage du mode Zombies, de World at War à Black Ops 7.
  • Contenu exclusif : Croquis inédits, interviews des développeurs (dont les créateurs de Nacht der Untoten et Der Riese), et détails techniques sur les maps.
  • Écrit par James Asmus : Un auteur réputé (comics, jeux vidéo) compile témoignages et archives pour un voyage visuel unique.
  • Précommande ouverte : 50 $ sur Amazon pour une sortie le 16 juin 2026 — un must pour les collectionneurs.
  • Univers étendu : Comics (Black Ops 4), Field Manuals (WWII), et guides stratégiques complètent l’expérience, avec des prix réduits sur certaines éditions.
  • Pour les puristes : Easter eggs, lore inédit, et analyses des mécaniques de survie — une référence absolue pour les fans.

Un Héritage de 16 Ans, Immortalisé dans un Artbook d’Exception

Qui aurait cru qu’un simple mode bonus, ajouté presque par accident dans Call of Duty: World at War (2008), deviendrait l’un des piliers de la franchise ? Pourtant, Zombies a non seulement survécu, mais s’est imposé comme un phénomène culturel, présent dans 13 opus — et bientôt dans Black Ops 7. Pour célébrer cet anniversaire, Treyarch sort les grands moyens avec Call of Duty Zombies: The Art of Treyarch, un artbook de 256 pages qui promet de plonger les fans dans les coulisses d’une aventure aussi folle qu’inattendue.

Disponible en précommande pour 50 $ (sortie prévue le 16 juin 2026), cet ouvrage n’est pas un simple recueil d’images. C’est une plongée dans les archives du studio, avec des croquis jamais dévoilés, des interviews exclusives des développeurs, et des détails techniques sur la création des maps les plus emblématiques, comme Nacht der Untoten (la toute première) ou Der Riese (celle qui a révolutionné le genre). À la manœuvre : James Asmus, scénariste et auteur connu pour son travail dans les comics et les jeux vidéo, qui signe ici un travail de compilation aussi rigoureux qu’accessible.


Pour les collectionneurs, c’est une aubaine. L’artbook se présente sous une couverture rigide, avec une mise en page soignée qui met en valeur chaque détail. Et comme le souligne Treyarch, il ne s’agit pas seulement de célébrer le passé, mais aussi de préparer l’avenir : des indices sur Black Ops 7 pourraient bien s’y cacher...

"Nacht der Untoten" : Quand un Mode Bonus Devenait une Légende

Tout a commencé dans un bunker nazi, avec quatre soldats, une poignée de munitions, et une horde de morts-vivants. Nacht der Untoten ("La Nuit des Morts-Vivants"), la toute première map Zombies, était à l’origine un easter egg caché dans World at War. Personne chez Treyarch ne s’attendait à ce qu’elle devienne le fondement d’un mode de jeu à part entière.

Pourtant, les joueurs ont adoré. Le concept était simple : survivre le plus longtemps possible, en barricadant les fenêtres, en achetant des armes, et en découvrant des secrets cachés. Ce qui devait être un divertissement anecdotique s’est transformé en une obsession collective. Les développeurs ont rapidement compris qu’ils tenaient quelque chose d’unique. Dans l’artbook, ils révèlent comment, en quelques mois, Nacht der Untoten est passée du statut de "blague interne" à celui de prototype d’un mode qui allait marquer l’histoire du jeu vidéo.


Et puis il y a eu Der Riese ("Le Géant"), dans Call of Duty: World at War (via le DLC Map Pack 3). Cette map a tout changé : introduction des Pack-a-Punch, des mystères narratifs, et d’une dimension presque cinématographique. Pour la première fois, les joueurs ne se contentaient plus de survivre — ils découvraient une histoire. C’est ce tournant que l’artbook explore en détail, avec des storyboards originaux et des témoignages sur les défis techniques de l’époque.

Les Secrets de Fabrication : Croquis, Échecs et Réussites

L’un des points forts de l’artbook réside dans ses contenus inédits. On y découvre, par exemple, que la map Kino der Toten (dans Black Ops) était à l’origine prévue pour être beaucoup plus sombre, avec une ambiance proche de l’horreur psychologique. Les contraintes techniques de l’époque ont cependant forcé les développeurs à revoir leur copie — ce qui a finalement donné naissance à l’une des maps les plus équilibrées et appréciées de la série.

Autre révélation : le système de "Perks" (comme Juggernog ou Speed Cola), aujourd’hui indispensable, a failli ne jamais voir le jour. Les premiers tests jouables montraient que les joueurs mouraient trop vite, rendant l’expérience frustrante. C’est en observant les parties des testeurs que l’équipe a eu l’idée d’ajouter ces bonus temporaires, qui sont devenus une signature du mode Zombies.


L’artbook ne se contente pas de montrer des images : il raconte des histoires. Comme celle de ce bug dans Moon (Black Ops), où les joueurs pouvaient se téléporter hors de la map en utilisant une combinaison précise de sauts et d’explosions. Au lieu de corriger le problème immédiatement, Treyarch a décidé de l’intégrer comme un easter egg, prouvant une fois de plus que la communauté Zombies adore détourner les règles.

Au-Delà de l’Artbook : Comics, Field Manuals et Guides Stratégiques

Si l’artbook est l’événement de l’année pour les fans, il n’est pas le seul moyen de plonger dans l’univers Zombies. Treyarch et Activision ont multiplié les supports pour étendre le lore et offrir des expériences complémentaires.

Parmi eux, Making Call of Duty: Modern Warfare (2019) propose un éclairage technique sur la refonte des mécaniques de survie, tandis que le Field Manual de Call of Duty: WWII (2017) se présente comme un manuel militaire fictif, bourré d’illustrations originales et de détails sur l’univers. Ce dernier, aujourd’hui soldé à 19,18 $ (contre 40 $ à sa sortie), reste une référence pour les puristes, avec ses 304 pages dédiées aux stratégies et aux easter eggs.


Les amateurs de récits ne sont pas en reste. Le comic officiel de Black Ops 4 (240 pages), signé par des auteurs comme Greg Rucka et Tony Shasteen, explore des intrigues parallèles au jeu, avec des illustrations dynamiques. Actuellement proposé à 19,18 $ (au lieu de 30 $), il rejoint d’autres titres comme le prequel de Black Ops 3, qui approfondit les arcs narratifs des personnages cultes comme Dempsey, Takeo, Nikolai et Richtofen.

Ces œuvres, bien que distinctes du mode Zombies, enrichissent son univers en liant les histoires des différents opus. Elles prouvent que Zombies n’est pas qu’un mode de jeu : c’est une saga à part entière, avec ses héros, ses méchants, et ses mystères.

Pourquoi Cet Artbook Est-il un Must-Have ?

Au-delà de son contenu exclusif, Call of Duty Zombies: The Art of Treyarch se distingue par sa dimension historique. Il ne se limite pas à montrer des images : il explique les choix créatifs, les échecs qui ont failli tout faire capoter, et les innovations qui ont marqué les joueurs.

Par exemple, saviez-vous que la map Origins (Black Ops II) était initialement prévue pour être beaucoup plus linéaire ? Les retours des testeurs ont poussé l’équipe à ajouter des zones secrètes et des mécaniques de téléportation, transformant une map déjà ambitieuse en un chef-d’œuvre du genre.


L’artbook s’adresse aussi bien aux nouveaux joueurs, qui découvriront l’histoire du mode, qu’aux vétérans, qui y trouveront des anecdotes méconnues. Et avec la sortie prochaine de Black Ops 7, il pourrait même contenir des indices sur l’avenir de la saga.

Enfin, pour les collectionneurs, c’est une pièce rare. Les éditions limitées des précédents artbooks (comme celui de Black Ops III) se vendent aujourd’hui à des prix exorbitants sur le marché de l’occasion. À 50 $, cet ouvrage est donc un investissement autant qu’un hommage.

Les Avis des Fans : Entre Nostalgie et Attentes

Sur les réseaux sociaux, l’annonce de l’artbook a été accueillie avec enthousiasme, mais aussi quelques réserves. Certains fans regrettent que le livre ne couvre pas les opus développés par d’autres studios (comme Infinity Ward ou Sledgehammer Games), tandis que d’autres espèrent des détails sur les maps abandonnées, comme le projet avorté de Zombies dans Modern Warfare (2019).

Du côté des critiques, on salue surtout le travail de James Asmus, connu pour son approche narrative dans des titres comme Rick and Morty ou G.I. Joe. Son style, à la fois accessible et détaillé, devrait plaire aussi bien aux casuals qu’aux hardcore fans.


Un point revient souvent : "Enfin un livre qui donne la parole aux développeurs !". Pendant des années, les secrets de Zombies ont été décortiqués par les joueurs, via des théories et des datamines. Avec cet artbook, c’est Treyarch qui prend la parole — et ça change tout.

Avec Call of Duty Zombies: The Art of Treyarch, les fans ont enfin l’opportunité de découvrir l’envers du décor d’un mode qui a marqué des générations de joueurs. Entre croquis inédits, témoignages des développeurs et révélations sur les maps cultes, cet artbook de 256 pages est bien plus qu’un simple livre : c’est une plongée dans 16 ans d’histoire, de World at War à Black Ops 7.

Pour les collectionneurs, c’est une pièce maîtresse à ajouter à leur bibliothèque, aux côtés des Field Manuals, des comics et des guides stratégiques. Pour les nouveaux venus, c’est une porte d’entrée idéale dans un univers aussi riche que complexe. Et pour tous, c’est l’occasion de redécouvrir pourquoi Zombies reste, après toutes ces années, un mode aussi captivant.

Disponible en précommande pour 50 $, avec une sortie prévue le 16 juin 2026, cet ouvrage s’annonce comme l’hommage ultime à une aventure qui a commencé dans un bunker nazi... et qui est loin d’être terminée.

L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
Un mode bonus devenu légende, c'est le parcours de Zombies. 16 ans de survie, de mystères et de Pack-a-Punch. L'artbook de Treyarch, c'est comme un voyage dans le temps, avec des croquis, des interviews et des secrets de fabrication. Un must-have pour les fans, un trésor pour les collectionneurs. À 50 $, c'est un investissement. Et qui sait, peut-être des indices pour Black Ops 7 ?
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen
Shuhei Yoshida : L’homme qui a révolutionné PlayStation et changé notre façon de jouer
Soluce

Il y a 1 jour

Shuhei Yoshida : L’homme qui a révolutionné PlayStation et changé notre façon de jouer

Découvrez comment Shuhei Yoshida, figure discrète mais essentielle de Sony, a transformé une trahison en empire et redéfini l’industrie du jeu vidéo. De la naissance de la PlayStation à la résurrection de la PS3, plongez dans l’histoire méconnue d’un visionnaire qui a su allier passion, stratégie et persévérance pour façonner le gaming moderne.

A retenir :

  • Comment une trahison historique de Nintendo en 1991 a donné naissance à la PlayStation, grâce à l’intervention discrète mais décisive de Shuhei Yoshida.
  • Les coulisses de l’exclusivité Final Fantasy VII : une soirée saké et karaoké qui a changé le destin de Sony, révélée par Yoshida lui-même.
  • La stratégie audacieuse qui a sauvé la PS3 : comment des titres comme The Last of Us, initialement jugés trop niche, ont transformé un échec commercial en succès culturel.
  • Le coût exorbitant du développement sur PS3 (jusqu’à 20 millions de dollars par jeu) et comment Sony a surmonté cette crise pour dominer le marché.

1991 : La trahison qui a tout déclenché

Imaginez la scène : CES 1991, Las Vegas. Sony, confiante, s’apprête à annoncer son partenariat avec Nintendo pour une console CD-ROM révolutionnaire. Mais c’est le choc : Nintendo trahit Sony en faveur de Philips, laissant l’équipe japonaise humilée, sous les rires moqueurs de la presse. Parmi les témoins de ce désastre, un jeune stratège discret, Shuhei Yoshida, originaire de Kyoto. Pour lui, ce n’est pas une fin, mais un début.

Yoshida, alors simple membre du groupe stratégie, n’était pas officiellement affecté au projet. Pourtant, sa passion pour les jeux vidéo – nourrie par des nuits blanches sur Dragon Quest – l’avait rapproché de Ken Kutaragi, l’ingénieur génial derrière la puce audio de la SNES. "C’était comme assister à un meurtre en direct", confiera-t-il plus tard. Mais contrairement à beaucoup, Yoshida voit dans cette trahison une opportunité. Kutaragi, fou de rage, propose un plan audacieux : et si Sony créait sa propre console ?

Le reste est histoire. En deux ans, la PlayStation naît, non comme une réponse vindicative, mais comme une révolution. "Ken a transformé la colère de la direction en carburant", explique Yoshida. Le pari ? Une console capable de 3D temps réel, là où la SNES-CD abandonnée par Nintendo était limitée à des sprites 2D. Résultat : 300 000 unités vendues en une semaine au Japon, un record. Et Yoshida, lui, devient l’un des piliers invisibles de ce succès.


"Sans cette trahison, PlayStation n’aurait peut-être jamais existé. Parfois, les pires échecs cachent les plus grandes opportunités." — Shuhei Yoshida, dans une interview rare pour Famitsu (2016).

Convaincre l’impossible : Quand Square choisit Sony

1995. La PlayStation est lancée, mais un problème persiste : les éditeurs japonais, fidèles à Nintendo, bouden la nouvelle venue. Seule Namco ose sauter le pas, avec des titres comme Ridge Racer et Tekken, qui deviennent des démonstrations techniques. Mais Yoshida sait qu’il faut un coup d’éclat. Et ce coup viendra… d’une soirée arrosée.

Hironobu Sakaguchi, créateur de Final Fantasy, est frustré. Les cartouches de la Nintendo 64 limitent ses ambitions : impossible d’y caser des cinématiques 3D dignes de son scénario épique. Yoshida, fin stratège, organise une rencontre dans un izakaya de Tokyo. "On a bu du saké, chanté du karaoké, et à 3h du matin, Sakaguchi a signé", raconte-t-il en riant. Le contrat ? Final Fantasy VII sera une exclusivité PlayStation.

Le jeu sort en 1997 et devient un phénomène mondial : 10 millions d’exemplaires vendus, des files d’attente devant les magasins, une culture pop redéfinie. "Sans FFVII, PlayStation serait restée une console pour hardcore gamers", admet Yoshida. Preuve en chiffres : la PS1 finit sa carrière avec 102,49 millions d’unités écoulées, un record absolu pour l’époque.


"Les contrats se signent rarement dans les salles de réunion. Parfois, il faut un peu de saké, un micro, et une chanson de X Japan pour changer l’histoire." — Shuhei Yoshida, lors d’une conférence à la Tokyo Game Show 2018.

PS3 : Le désastre qui faillit tout détruire

2006. La PlayStation 3 débarque avec un prix astronomique : 599 € en Europe, soit le double de la Xbox 360. Pire, son architecture complexe, conçue pour la performance future, rend le développement un cauchemar. "Les deux premières années furent un calvaire", avoue Yoshida. Les ports multiplateformes tournent mieux sur Xbox, les éditeurs râlent, les joueurs fuient.

Mais Yoshida, désormais président de Sony Worldwide Studios, refuse de baisser les bras. Sa stratégie ? Miser sur le long terme. Il pousse les studios internes à créer des exclusivités ambitieuses, quitte à y laisser des plumes. Exemple : The Last of Us, initialement jugé "trop sombre" et "trop niche" par le marketing. "On nous disait qu’un jeu sur un père et sa fille dans un monde post-apo ne se vendrait pas", se souvient-il. Pourtant, le titre devient un chef-d’œuvre acclamé, vendu à 20 millions d’exemplaires.

Autre pari risqué : Demon’s Souls, un RPG punitif que personne ne voulait localiser. Yoshida impose sa sortie en Occident. Résultat ? Un culte instantané, et la naissance d’un genre entier, les Soulslike. "Parfois, il faut ignorer les données marché et faire confiance à son instinct", confie-t-il.


Chiffres clés :

  • Coût moyen de développement d’un jeu PS3 : 15 à 20 millions de dollars (contre 5 à 10 sur PS2).
  • Ventes finales de la PS3 : 87,4 millions, malgré un départ catastrophique.
  • The Last of Us remporte plus de 200 récompenses, dont plusieurs Game of the Year.

L’héritage Yoshida : Quand l’échec devient une force

Aujourd’hui, Shuhei Yoshida est souvent présenté comme un "sauveur". Pourtant, il préfère se décrire comme un "jardinier" : "Mon travail était de planter des graines et de protéger les pousses fragiles, même quand personne n’y croyait."

Son approche ? Une combinaison unique de :

  • Passion : Un gamer avant tout, capable de jouer à Bloodborne en direct lors d’une conférence pour prouver sa difficulté.
  • Stratégie : Savoir quand prendre des risques (comme avec Journey, un jeu "trop artistique" devenu culte).
  • Humilité : Assumer les échecs, comme le lancement raté de la PS3, pour mieux rebondir.

Son plus grand regret ? Avoir sous-estimé l’essor du gaming mobile. "On pensait que les smartphones ne menaçaient pas les consoles. Une erreur", reconnaît-il. Pourtant, même là, il voit une leçon : "L’industrie évolue. Il faut rester humble, écouter les joueurs, et parfois… boire un peu de saké avec les bons partenaires."


"Shuhei Yoshida n’a pas seulement façonné PlayStation. Il a prouvé qu’une console, c’est bien plus que du hardware : c’est une culture, une communauté, une famille."Hideo Kojima, lors de la cérémonie des Game Awards 2019.

Le Yoshida que vous ne connaissez pas

Derrière l’image du cadre sérieux se cache un homme plein de surprises :

  • Il a failli devenir professeur d’anglais avant de rejoindre Sony.
  • Il est un fan inconditionnel de metal japonais (son groupe préféré : Babymetal).
  • Il a personnellement convaincu Kojima de ne pas abandonner Metal Gear Solid V après des tensions avec Konami.
  • Son jeu préféré ? ICO, pour son "émotion pure et son silence éloquent".

En 2019, il quitte Sony pour rejoindre un fonds d’investissement dédié aux indie games. "Je veux aider la prochaine génération de créateurs fous", explique-t-il. Pourtant, son empreinte sur PlayStation reste indélébile. Comme le dit Mark Cerny, architecte de la PS4 : "Sans Yoshida, PlayStation serait une marque comme une autre. Grâce à lui, c’est une légende."

Aujourd’hui, quand vous lancez une PS5, que vous revisitez Final Fantasy VII Remake ou que vous découvrez un indie comme Stray, souvenez-vous : derrière ces expériences, il y a souvent l’ombre bienveillante de Shuhei Yoshida. Un homme qui a transformé des trahisons en triomphes, des risques en révolutions, et des échecs en leçons. Son histoire nous rappelle une vérité simple : dans le jeu vidéo comme ailleurs, les plus grandes victoires naissent souvent des pires défaites. Et parfois, il suffit d’un peu de saké et d’une chanson pour changer le monde.
L'Avis de la rédaction
Par Nakmen
1991 : La trahison qui a tout déclenché Imaginez la scène : CES 1991, Las Vegas. Sony, confiante, s’apprête à annoncer son partenariat avec Nintendo pour une console CD-ROM révolutionnaire. Mais c’est le choc : Nintendo trahit Sony en faveur de Philips, laissant l’équipe japonaise humilée, sous les rires moqueurs de la presse. Parmi les témoins de ce désastre, un jeune stratège discret, Shuhei Yoshida, originaire de Kyoto. Pour lui, ce n’est pas une fin, mais un début. Yoshida, alors simple membre du groupe stratégie, n’était pas officiellement affecté au projet. Pourtant, sa passion pour les jeux vidéo , nourrie par des nuits blanches sur Dragon Quest , l’avait rapproché de Ken Kutaragi, l’ingénieur génial derrière la puce audio de la SNES. "C’était comme assister à un meurtre en direct", confiera-t-il plus tard. Mais contrairement à beaucoup, Yoshida voit dans cette trahison une opportunité. Kutaragi, fou de rage, propose un plan audacieux : et si Sony créait sa propre console ? Le reste est histoire. En deux ans, la PlayStation naît, non comme une réponse vindicative, mais comme une révolution. "Ken a transformé la colère de la direction en carburant", explique Yoshida. Le pari ? Une console capable de 3D temps réel, là où la SNES-CD abandonnée par Nintendo était limitée à des sprites 2D. Résultat : 300 000 unités vendues en une semaine au Japon, un record. Et Yoshida, lui, devient l’un des piliers invisibles de ce succès. Sans cette trahison, PlayStation n’aurait peut-être jamais existé. Parfois, les pires échecs cachent les plus grandes opportunités. , Shuhei Yoshida, dans une interview rare pour Famitsu (2016).
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Nakmen
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Fortnite : L'Événement Live **Simpsons** – Date, Récompenses et Tout Ce Qu'il Faut Savoir sur Kang, Kodos et Springfield

Pourquoi cet événement **Fortnite × Simpsons** est-il aussi attendu ?

L’événement final de la saison 4 du Chapitre 6 de Fortnite marque un tournant spectaculaire : l’arrivée des extraterrestres Kang et Kodos, stars des épisodes Treehouse of Horror des Simpsons. Annoncé pour le samedi 1er novembre à 17h (heure de Paris), ce live promet une transition vers une saison entièrement thématisée autour de Springfield, avec des skins de Homer, Marge ou Krusty, des lieux iconiques comme la centrale nucléaire, et des mécaniques de jeu décalées. Les joueurs peuvent s’attendre à des récompenses exclusives, dont un planeur Kang et Kodos déjà repéré dans les fichiers du jeu. Une collaboration qui mélange humour, nostalgie et surprises, dans la lignée des partenariats avec Marvel ou Star Wars.

A retenir :

  • Kang et Kodos débarquent : Les extraterrestres des Simpsons kidnappent les versions "simpsonisées" de Jonesy et Hope dans une cinématique teaser.
  • Événement live unique le 1er novembre à 17h (Paris) – seul mode accessible, avec récompenses exclusives (planeur, cosmétiques).
  • Saison Springfield : Battle pass thématisé, skins de Homer, Marge, Krusty, et lieux comme le bar de Moe ou la centrale nucléaire.
  • Mécaniques farfelues : Armes inspirées de l’univers des Simpsons (pistolet à T, donuts explosifs) et quêtes parodiques.
  • Maintenance post-événement : Serveurs fermés ~5h (risque de retard), réouverture dans la soirée du 1er novembre.

Kang et Kodos enlèvent Fortnite : Quand les Simpsons s’invitent dans le Battle Royale

Imaginez la scène : Jonesy et Hope, les figures emblématiques de Fortnite, se retrouvent "simpsonifiés" avant d’être enlevés par deux extraterrestres verts à l’accent nasillard. Ce n’est pas le scénario d’un épisode perdu des Simpsons, mais bien le teaser de l’événement final de la saison 4 du Chapitre 6 de Fortnite. Kang et Kodos, les duo maléfique des épisodes spéciaux Treehouse of Horror, débarquent dans le jeu pour un crossover aussi inattendu qu’excitant. Leur arrivée, annoncée via une cinématique officielle, confirme les rumeurs : Springfield s’apprête à envahir l’île de Fortnite.

Pour les fans de la série, c’est un clin d’œil parfait : Kang et Kodos, connus pour leurs plans tordus et leur humour noir, semblent prêts à semer le chaos dans l’univers du battle royale. Leur présence n’est pas anodine – elle annonce une saison 5 entièrement dédiée aux Simpsons, avec une refonte de la carte, des skins légendaires, et des mécaniques de jeu inspirées de l’univers déjanté de Matt Groening. Une collaboration qui promet de casser les codes, après des partenariats plus "classiques" avec Marvel ou DC Comics.


Mais pourquoi ce choix ? Les Simpsons, série culte depuis 1989, représentent un phénomène culturel transgénérationnel. En intégrant leurs personnages et leur humour absurde, Epic Games mise sur la nostalgie des joueurs adultes tout en attirant un public plus jeune. Une stratégie risquée ? Pas vraiment, quand on sait que les événements live de Fortnite (comme celui avec Travis Scott ou Marvel) ont régulièrement battu des records d’audience. Cette fois, c’est l’humour potache et les références pop culture qui seront les stars.

"Un événement live comme jamais" : Ce qui vous attend le 1er novembre

Contrairement aux habitudes, l’événement final de la saison 4 ne sera pas optionnel : ce samedi 1er novembre à 17h (heure de Paris), il remplacera tous les autres modes de Fortnite Battle Royale. Une première qui souligne son importance. Les joueurs sont invités à se connecter au moins 30 minutes à l’avance pour éviter les files d’attente – un conseil avisé, vu les problèmes de serveurs lors des précédents événements majeurs (comme le concert de Ariana Grande en 2021).

Que peut-on attendre de ce live ? Les fuites et les teasers suggèrent :

  • Une cinématique d’ouverture avec Kang et Kodos, probablement liée à l’enlèvement de Jonesy et Hope.
  • Un scénario mêlant deux univers : la conclusion de l’intrigue actuelle (invasion d’insectes géants, arrivée de Jason Voorhees) et une transition vers Springfield.
  • Un rôle central pour le Treehouse of Horror, déjà présent en bordure de carte, qui pourrait servir de "porte dimensionnelle".
  • Des récompenses exclusives pour les participants, comme le planeur Kang et Kodos (déjà dataminé) ou d’autres cosmétiques liés aux Simpsons.

À noter : l’événement durera environ 20-30 minutes, suivi d’une maintenance estimée à 5 heures. Les serveurs pourraient rouvrir plus tôt… ou plus tard, comme lors du lancement de la saison Marvel en 2020, où les joueurs avaient dû patienter près de 7 heures. "On croise les doigts pour que tout se passe bien, mais avec Fortnite, mieux vaut prévoir un plan B !", plaisante @FortniteFR, un compte communautaire suivi par des milliers de joueurs.

Springfield dans Fortnite : Ce que la saison Simpsons pourrait nous réserver

Si l’événement live du 1er novembre marquera la fin de la saison 4, il ouvrira aussi la voie à une saison 5 entièrement dédiée aux Simpsons. Les fuites (notamment via le leaker @HYPEX) évoquent une transformation majeure de la carte, avec des lieux emblématiques comme :

  • La centrale nucléaire de Springfield (remplaçant peut-être la zone industrielle actuelle).
  • Le bar de Moe, où les joueurs pourraient trouver des armes… ou des quêtes alcoolisées.
  • L’école élémentaire, avec des pièges inspirés des bêtises de Bart.
  • La maison des Simpson, peut-être comme un nouveau point d’intérêt central.

Côté skins, les joueurs peuvent s’attendre à :

  • Homer (avec sa bière et son donut), Marge (avec sa coiffure bleue), et Bart (avec son skateboard).
  • Des personnages secondaires comme Krusty le Clown, Montgomery Burns, ou même Sideshow Bob.
  • Des versions "simpsonifiées" des skins existants (comme Peely transformé en M. Burns).

Mais la vraie révolution pourrait venir des mécaniques de jeu. Epic Games a toujours aimé surprendre, et avec les Simpsons, les possibilités sont infinies :

  • Des armes farfelues : Un pistolet à T (qui envoie des "T" géants), des donuts explosifs, ou une batte de baseball de Bart comme arme de mêlée.
  • Des quêtes parodiques : "Voler 10 donuts à la supérette", "Faire 5 blagues au téléphone à Moe", ou "Survivre à une attaque de taupe géante" (référence à l’épisode Homer vs. the Eighteenth Amendment).
  • Des véhicules déjantés : La voiture de Homer (avec son design unique) ou le bus scolaire d’Otto en mode "battle bus".
  • Des PNJ interactifs : Barney qui donne des quêtes ivre, ou Le professeur Frink qui vend des gadgets scientifiques.

Enfin, la battle pass devrait suivre cette thématique, avec des récompenses comme :

  • Un emote "D’oh!" pour Homer.
  • Un spray "Itchy & Scratchy" (le chat et la souris violents de la série).
  • Un glider en forme de canapé des Simpson.
  • Des musiques d’ambiance inspirées du générique ou des épisodes cultes.

Derrière les coulisses : Comment Epic Games a négocié ce crossover fou

Une collaboration entre Fortnite et les Simpsons ne s’improvise pas. Selon des sources proches du dossier (rapportées par The Verge), les discussions auraient commencé il y a plus d’un an, avec un enjeu majeur : conserver l’esprit subversif de la série tout en l’adaptant à un jeu grand public. "Les Simpsons, c’est un humour qui pousse à l’extrême, avec des références pour adultes et des gags absurdes. Fortnite doit trouver le bon équilibre pour ne pas choquer, tout en restant fidèle à l’univers", explique un ancien employé d’Epic Games sous couvert d’anonymat.

Plusieurs idées ont été écartées, comme :

  • Un skin de Ned Flanders jugé "trop religieux" pour certains marchés.
  • Une arme "Bible de Flanders" (trop polémique).
  • Un emote "Homer étrangle Bart" (censuré pour éviter les controverses).
À la place, l’équipe a privilégié des éléments iconiques mais neutres : les donuts, le canapé, ou les catchphrases ("Excellent!", "Mmm… donuts").

Autre défi : l’intégration des voix. Les acteurs originaux des Simpsons (comme Dan Castellaneta pour Homer ou Nancy Cartwright pour Bart) ont enregistré des répliques exclusives pour Fortnite. Une première depuis la sortie du jeu The Simpsons: Hit & Run en 2003. "Entendre Homer dire ‘Mmm… Victory Royale’ en ouvrant un coffre, ça va être magique", s’enthousiasme @FortniteLeaks sur Twitter.

Enfin, la date du 1er novembre n’a pas été choisie au hasard : elle coïncide avec la période des épisodes Treehouse of Horror, diffusés chaque année autour d’Halloween. Un timing parfait pour lancer une saison sous le signe de l’horreur parodique… et des extraterrestres.

Les joueurs divisés : Entre excitation et scepticisme

Sur les réseaux sociaux, les réactions sont partagées. D’un côté, les fans des Simpsons et de Fortnite sont aux anges. "Enfin une collab qui a du sens ! Les Simpsons, c’est la culture pop ultime, et Fortnite est le jeu parfait pour ça", écrit @GamingWithKev. De l’autre, certains joueurs craignent un trop-plein de références qui rendrait le jeu inaccessible aux non-initiés.

Les arguments des sceptiques :

  • "Encore une saison thématique" : Après Marvel, Star Wars, et DC, certains estiment que Fortnite perd son identité.
  • "Trop de skins payants" : Les collaborations entraînent souvent des cosmétiques hors de prix (le skin Thanos coûtait 20€).
  • "L’humour des Simpsons va-t-il vieillir ?" : La série, bien que culte, date des années 90. Les jeunes joueurs comprendront-ils les références ?

Face à ces critiques, Epic Games mise sur l’effet surprise. "Ils ont toujours réussi à nous étonner. Si la saison Simpsons est aussi bien travaillée que celle de Marvel, ça peut être génial", tempère @FortniteNews. Reste à voir si le mélange entre humour absurde et battle royale compétitif fonctionnera… ou si Kang et Kodos ne finiront pas, comme dans la série, par détruire la planète (ou du moins, le lobby de Fortnite).

Le compte à rebours est lancé : dans quelques jours, Kang et Kodos feront leur entrée fracassante dans Fortnite, marquant le début d’une ère Springfield. Entre nostalgie, humour décalé et mécaniques inédites, cette collaboration a tout pour devenir l’une des plus mémorables du jeu. Les joueurs ont rendez-vous le 1er novembre à 17h pour vivre l’événement en direct, avec à la clé des récompenses exclusives et une transition vers une saison 5 prometteuse.
Une chose est sûre : après les super-héros et les monstres, Fortnite prouve une fois de plus qu’il peut tout oser. Même inviter deux extraterrestres verts à dîner… à condition qu’ils ne mangent pas tous les donuts de l’île.
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"Kang et Kodos enlèvent Fortnite : Quand les Simpsons s’invitent dans le Battle Royale" - Un crossover aussi inattendu qu’excitant, mais est-ce que les Simpsons vont vraiment sauver Fortnite de la monotonie ?
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic
Star Wars: Unlimited TCG – Intro Battle Hoth : Le Kit Parfait pour Débuter dans la Guerre des Étoiles
Soluce

Il y a 1 jour

Star Wars: Unlimited TCG – Intro Battle Hoth : Le Kit Parfait pour Débuter dans la Guerre des Étoiles

Un coffret clé en main pour plonger dans l’univers Star Wars: Unlimited TCG, inspiré des meilleurs kits d’initiation comme ceux de Pokémon ou Disney Lorcana. Avec Intro Battle Hoth, Asmodee propose une expérience immersive, rapide et accessible, idéale pour les débutants comme pour les fans de la saga. Deux decks préconstruits, des accessoires complets et un thème narratif fort : tout est réuni pour vivre la bataille de Hoth en 20 minutes chrono.

A retenir :

  • Un kit d’initiation inspiré des Battle Academy de Pokémon, avec une approche pédagogique et un thème narratif ancré dans L’Empire contre-attaque.
  • Deux decks préconstruits équilibrés (Princesse Leia vs. Dark Vador), 104 cartes exclusives et des accessoires complets pour jouer sans achat supplémentaire.
  • Une partie en 20 minutes, idéale pour découvrir les mécaniques du TCG sans complexité, dès 12 ans.
  • Une transition fluide vers les autres produits de la gamme, comme les Starter Sets (ex. Shadows of the Galaxy) ou les Booster Boxes pour collectionneurs.
  • Un coffret autonome à 20 $, parfait pour les néophytes comme pour les fans souhaitant revivre la bataille de Hoth.

Un Kit d’Initiation dans la Pure Tradition Pokémon… mais avec la Force

Asmodee ne réinvente pas la roue, mais peaufine une formule qui a fait ses preuves. Avec Intro Battle Hoth, le géant du jeu de société s’inspire directement des Pokémon Battle Academy et des Gateway de Disney Lorcana pour proposer un kit d’initiation à Star Wars: Unlimited TCG. Le pari ? Attirer les nouveaux joueurs avec une expérience clé en main, rapide et immersive, le tout pour 20 dollars seulement. Un prix abordable pour un coffret autonome, centré sur un épisode culte de la saga : la bataille de Hoth, tirée de L’Empire contre-attaque.

Le choix de Hoth n’est pas anodin. Cette bataille, avec ses AT-AT impériaux écrasant les défenses rebelles et ses duels épiques entre Dark Vador et Luke Skywalker, est l’un des moments les plus emblématiques de Star Wars. En l’intégrant à un kit d’initiation, Asmodee mise sur la nostalgie des fans tout en offrant aux néophytes un point d’entrée thématique et spectaculaire. Une stratégie gagnante, déjà éprouvée par d’autres licences, mais ici renforcée par la puissance narrative de l’univers Star Wars.


Hoth en Boîte : Un Duel Épique en 20 Minutes Chrono

Conçu pour deux joueurs dès 12 ans, Intro Battle Hoth se distingue par sa simplicité et sa rapidité. Une partie dure environ 20 minutes, ce qui en fait un outil idéal pour une initiation sans prise de tête. Le coffret inclut :

  • Deux decks préconstruits de 50 cartes chacun, opposant les forces rebelles de la princesse Leia à l’armée impériale de Dark Vador.
  • Un plateau illustré avec des zones dédiées pour organiser le jeu (main, défausse, réserve, etc.).
  • Des compteurs de dégâts et d’actions épiques (57 marqueurs au total), ainsi qu’un livret de règles complet mais accessible.
  • Aucun achat supplémentaire nécessaire : tout est fourni pour jouer immédiatement, dans la pure tradition des kits "prêts à l’emploi".

L’approche rappelle celle des Pokémon Battle Academy, mais avec un cadre narratif bien plus immersif. Ici, chaque carte et chaque mécanisme renvoie à des scènes cultes de L’Empire contre-attaque, ce qui ajoute une dimension émotionnelle et cinématographique au gameplay. Les accessoires, comme les compteurs d’actions épiques, sont conçus pour fluidifier les parties et éviter toute frustration liée à des règles trop complexes.


Derrière les Lignes : Comment Asmodee a Adapté Hoth pour les Débutants

Ce qui frappe avec Intro Battle Hoth, c’est la façon dont Asmodee a simplifié les mécaniques du TCG sans sacrifier la profondeur stratégique. Contrairement aux extensions classiques de Star Wars: Unlimited, ce kit évite délibérément la complexité des decks personnalisables pour se concentrer sur une expérience équilibrée et didactique.

Les deux decks préconstruits sont asymétriques mais équilibrés : celui de Leia mise sur la résistance et les tactiques de guérilla, tandis que celui de Dark Vador privilégie la puissance brute et la pression constante. Une dynamique qui reflète parfaitement le conflit entre Rebelles et Empire dans L’Empire contre-attaque. Le livret de règles, quant à lui, est progressif : il commence par les bases (comment poser une carte, comment attaquer) avant d’introduire des concepts plus avancés comme les actions épiques ou les combinaisons de cartes.

Autre détail marquant : les 104 cartes incluses (50 par deck + accessoires) sont exclusives à ce coffret. Une aubaine pour les collectionneurs, qui y verront une valeur ajoutée, mais aussi pour les débutants, qui pourront découvrir des illustrations et des mécaniques uniques sans avoir à investir dans des boosters. Une stratégie déjà utilisée avec succès par les Battle Academy de Pokémon, mais ici renforcée par l’attrait d’un thème narratif fort.


Et Après ? La Transition vers l’Univers Compétitif de Star Wars: Unlimited

Pour ceux qui auront été séduits par Intro Battle Hoth, la suite est toute tracée. Asmodee a conçu une progression logique vers les autres produits de la gamme Star Wars: Unlimited TCG, avec des options adaptées à tous les profils :

  • Les Starter Sets (35 $) : Comme Shadows of the Galaxy, qui oppose Moff Gideon au Mandalorien, ces coffrets proposent des decks plus élaborés avec 10 cartes exclusives, idéaux pour approfondir ses stratégies.
  • Les Spotlight Decks (25 $) : Centrés sur des personnages iconiques comme Darth Maul ou Qui-Gon Jinn, ils permettent d’explorer des archétypes de jeu thématiques (aggro, contrôle, combo…).
  • Les Booster Boxes (à partir de 73 $) : Avec des sets comme Jump to Lightspeed, elles s’adressent aux collectionneurs et joueurs compétitifs, avec une répartition garantie (9 cartes communes, 3 peu communes, 1 rare ou légendaire par paquet).

Cette progression est fluide et intuitive : un joueur ayant maîtrisé Intro Battle Hoth n’aura aucun mal à passer aux Starter Sets, puis aux decks construits ou aux tournois locaux. Asmodee a même prévu des événements d’initiation en magasin pour accompagner cette transition, avec des kits dédiés et des animateurs formés.

Enfin, pour les plus ambitieux, le format compétitif de Star Wars: Unlimited commence à se structurer, avec des championnats nationaux et une scène esport naissante. Une belle perspective pour ceux qui voudraient aller plus loin après avoir découvert le jeu avec Hoth !


Le Mot de la Fin : Un Coffret qui Tient ses Promesses (et Plus)

Si Intro Battle Hoth s’inspire clairement des Battle Academy de Pokémon, il va bien au-delà en termes d’immersion narrative et de valeur perçue. Grâce à son thème fort, ses cartes exclusives et sa progression pédagogique, ce kit réussit le tour de force d’être à la fois :

  • Accessible pour les débutants (règles claires, parties courtes, aucun achat supplémentaire).
  • Attractif pour les fans de Star Wars (narratif fidèle, illustrations soignées).
  • Évolutif pour ceux qui voudraient approfondir (transition facile vers les Starter Sets et les boosters).

Bien sûr, certains pourraient regretter l’absence de personnalisation des decks ou de mécaniques plus avancées. Mais c’est précisément ce qui fait la force de ce coffret : il se concentre sur l’essentiel, sans disperser le joueur. Pour 20 dollars, c’est une porte d’entrée parfaite dans l’univers du TCG Star Wars, et une excellente façon de revivre la bataille de Hoth… autour d’une table.

Intro Battle Hoth confirme qu’Asmodee a trouvé la bonne formule pour initier les joueurs au TCG Star Wars: Unlimited. Entre nostalgie, pédagogie et immersion, ce coffret offre une expérience complète en à peine 20 minutes. Les débutants y découvriront un jeu accessible et captivant, tandis que les collectionneurs apprécieront ses cartes exclusives et son thème fidèle à L’Empire contre-attaque. Une réussite qui donne envie d’explorer la suite, des Starter Sets aux tournois compétitifs. À quand une version centrée sur Endor ou la bataille de Geonosis ?
L'Avis de la rédaction
Par Celtic
"Asmodee a réussi à transformer un classique de Star Wars en un kit d'initiation qui fait mouche. Avec 'Intro Battle Hoth', ils ont su capturer l'essence de la bataille de Hoth tout en rendant le jeu accessible et immersif. C'est comme si ils avaient pris un épisode culte et l'avaient mis en boîte, prêt à être joué en 20 minutes chrono. Pour 20 dollars, c'est un coup de maître. Si tu cherches à initier quelqu'un à Star Wars ou simplement à passer un bon moment, ce kit est ton pote. Et pour les collectionneurs, les cartes exclusives sont un plus non négligeable. Bref, Asmodee a réussi à faire de ce coffret un incontournable pour les fans et les néophytes. Un grand bravo pour cette initiative qui pourrait bien devenir un classique du genre."
Article rédigé par SkimAI
Révisé et complété par Celtic